Un taux de 50,5 % de jeunes universitaires présentent des pratiques sexuelles à risque, ont averti des experts algériens à l'occasion de la présentation mardi à Alger d'une étude sur le VIH/sida. «Un taux de 50,5% de jeunes universitaires ont des relations sexuelles à risque, c'est-à-dire qu'ils pratiquent l'acte sexuel avec différents partenaires ou ne se protégent pas lors de leurs rapports sexuels», ont expliqué des chercheurs lors de la présentation des résultats de cette étude à l'Institut national de santé publique (Alger). En effet, la proportion d'étudiants ayant eu des relations sexuelles avec un partenaire non régulier au cours des 12 derniers mois est de 70,4%. Au cours de ces pratiques, 42,8% déclarent avoir utilisé des préservatifs quoique les étudiants de sexe masculin «se protégent mieux que ceux du sexe opposé». L'étude a relevé que 11% des étudiants ont des rapports sexuels avant l'âge de 15 ans et plus de la moitié déclarent ne pas se protéger lors des rapports sexuels et seulement 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA. En revanche, seulement 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA, ont conclu des experts algériens à l'occasion de la présentation mardi d'une étude sur ce fléau. «Un taux de 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent à la fois toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA, tout en rejetant les fausses idées liées à ce fléau», a précisé la principale auteur de cette étude l'experte Toudeft Fadéla du CHU de Tizi-Ouzou lors de la présentation des résultats de cette étude à l'Institut national de santé publique (Alger). Les experts ont aussi montré, grâce à cette étude, que 88,4% des étudiants enquêtés, tous sexes confondus, connaissent la gravité de l'infection au VIH/SIDA, mais moins du tiers (30,9%) savent qu'il existent un traitement contre ce fléau. Les experts ont déploré, par ailleurs, que l'évolution de l'infection en Algérie qui, selon ONUSIDA est à faible prévalence, touche particulièrement les jeunes filles et les jeunes garçons, ajoutant que l'infection est également caractérisée par une féminisation «grandissante». L'étude, menée auprès d'un échantillon de 1.798 étudiants des deux sexes, avait pour objectif de faire la lumière sur les connaissances, attitudes et comportements des jeunes universitaires concernant l'infection au VIH/SIDA. Cette étude, menée avec l'appui de l'Association pour l'information sur les drogues et Sida (Aids-Algérie), s'inscrit dans le cadre du projet de l'année 2010, intitulé «Appui à l'accès à l'information sur les IST/VIH/SIDA et à la promotion du dépistage volontaire et gratuit auprès des jeunes universitaires». Le projet est financé conjointement par les ambassades des Pays-Bas et de France avec l'appui technique de l'ONUSIDA. Un taux de 50,5 % de jeunes universitaires présentent des pratiques sexuelles à risque, ont averti des experts algériens à l'occasion de la présentation mardi à Alger d'une étude sur le VIH/sida. «Un taux de 50,5% de jeunes universitaires ont des relations sexuelles à risque, c'est-à-dire qu'ils pratiquent l'acte sexuel avec différents partenaires ou ne se protégent pas lors de leurs rapports sexuels», ont expliqué des chercheurs lors de la présentation des résultats de cette étude à l'Institut national de santé publique (Alger). En effet, la proportion d'étudiants ayant eu des relations sexuelles avec un partenaire non régulier au cours des 12 derniers mois est de 70,4%. Au cours de ces pratiques, 42,8% déclarent avoir utilisé des préservatifs quoique les étudiants de sexe masculin «se protégent mieux que ceux du sexe opposé». L'étude a relevé que 11% des étudiants ont des rapports sexuels avant l'âge de 15 ans et plus de la moitié déclarent ne pas se protéger lors des rapports sexuels et seulement 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA. En revanche, seulement 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA, ont conclu des experts algériens à l'occasion de la présentation mardi d'une étude sur ce fléau. «Un taux de 2,9% de jeunes universitaires maîtrisent à la fois toutes les connaissances relatives à la transmission du virus du VIH/SIDA, tout en rejetant les fausses idées liées à ce fléau», a précisé la principale auteur de cette étude l'experte Toudeft Fadéla du CHU de Tizi-Ouzou lors de la présentation des résultats de cette étude à l'Institut national de santé publique (Alger). Les experts ont aussi montré, grâce à cette étude, que 88,4% des étudiants enquêtés, tous sexes confondus, connaissent la gravité de l'infection au VIH/SIDA, mais moins du tiers (30,9%) savent qu'il existent un traitement contre ce fléau. Les experts ont déploré, par ailleurs, que l'évolution de l'infection en Algérie qui, selon ONUSIDA est à faible prévalence, touche particulièrement les jeunes filles et les jeunes garçons, ajoutant que l'infection est également caractérisée par une féminisation «grandissante». L'étude, menée auprès d'un échantillon de 1.798 étudiants des deux sexes, avait pour objectif de faire la lumière sur les connaissances, attitudes et comportements des jeunes universitaires concernant l'infection au VIH/SIDA. Cette étude, menée avec l'appui de l'Association pour l'information sur les drogues et Sida (Aids-Algérie), s'inscrit dans le cadre du projet de l'année 2010, intitulé «Appui à l'accès à l'information sur les IST/VIH/SIDA et à la promotion du dépistage volontaire et gratuit auprès des jeunes universitaires». Le projet est financé conjointement par les ambassades des Pays-Bas et de France avec l'appui technique de l'ONUSIDA.