Un citoyen enlevé dimanche a retrouvé les siens hier aux environs de midi. Répondant aux initiales I. K., âgé de 38 ans et habitant au village Abizar (commune de Timizart), à une trentaine de kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, il est tombé dans la soirée de dimanche dernier dans un faux barrage. C'était sur la route reliant son village, Abizar à la ville de Fréha. Le citoyen en question, propriétaire d'un garage de mécanique, a été retenu en captivité jusqu'à hier à la mi-journée où il a été retrouvé au lieu dit Azrou, entre Abizar et Ouaguenoun. Selon différentes sources, la famille de l'otage avait été contactée par les ravisseurs qui auraient exigé le versement d'une rançon de 150 millions de centimes en contrepartie de la libération de leur fils. Juste après le kidnapping, les citoyens de la région se sont mobilisés pour exiger la libération de l'otage. Une cellule de crise a été constituée. Devant cette mobilisation, les ravisseurs ont cédé et libéré I. K. Les émeutiers en liberté provisoire Le groupe de 12 émeutiers arrêtés le 7 janvier dernier à Tizi-Ouzou a bénéficié de la liberté provisoire. La chambre d'accusation du tribunal de Tizi-Ouzou a accédé à leur demande formulée par le biais de leurs avocats. C'est donc en tant que prévenus libres que les douze mis en cause auront à comparaître pour répondre aux chefs d'accusations retenus contre eux. La date du procès n'a pas encore été fixée. Un citoyen enlevé dimanche a retrouvé les siens hier aux environs de midi. Répondant aux initiales I. K., âgé de 38 ans et habitant au village Abizar (commune de Timizart), à une trentaine de kilomètres au sud de Tizi-Ouzou, il est tombé dans la soirée de dimanche dernier dans un faux barrage. C'était sur la route reliant son village, Abizar à la ville de Fréha. Le citoyen en question, propriétaire d'un garage de mécanique, a été retenu en captivité jusqu'à hier à la mi-journée où il a été retrouvé au lieu dit Azrou, entre Abizar et Ouaguenoun. Selon différentes sources, la famille de l'otage avait été contactée par les ravisseurs qui auraient exigé le versement d'une rançon de 150 millions de centimes en contrepartie de la libération de leur fils. Juste après le kidnapping, les citoyens de la région se sont mobilisés pour exiger la libération de l'otage. Une cellule de crise a été constituée. Devant cette mobilisation, les ravisseurs ont cédé et libéré I. K. Les émeutiers en liberté provisoire Le groupe de 12 émeutiers arrêtés le 7 janvier dernier à Tizi-Ouzou a bénéficié de la liberté provisoire. La chambre d'accusation du tribunal de Tizi-Ouzou a accédé à leur demande formulée par le biais de leurs avocats. C'est donc en tant que prévenus libres que les douze mis en cause auront à comparaître pour répondre aux chefs d'accusations retenus contre eux. La date du procès n'a pas encore été fixée.