Les Palestiniens ont mis en garde les Etats-Unis contre le recours au droit d'opposer leur véto au projet de résolution sur la colonisation juive qui sera soumis au vote à l'Onu, au risque de perdre leur "crédibilité comme parrain du processus de paix" israélo-palestinien. "Nous les avertissons que s'ils usent de leur droit de veto, ils perdront, aujourd'hui et demain, ce qui leur reste de crédibilité comme parrain du processus de paix", a déclaré à la presse le négociateur palestinien Nabil Chaath, en visite lundi à Doha, au Qatar. M. Chaath a souligné que cette résolution qui sera adressée au Conseil de sécurité onusien vise à "exercer des pressions sur Israël" du moment que l'Administration américaine "a échoué à arrêter la colonisation". Un veto américain serait "illogique", a-t-il dit. "Nous n'accepterons pas que les Etats-Unis usent de leur droit de veto" au Conseil de sécurité où "les 14 (autres) pays, y compris la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine, quatre des cinq membres permanents du Conseil, nous ont assurés de leur vote en faveur du projet de résolution", a-t-il ajouté. Les Palestiniens ont mis en garde les Etats-Unis contre le recours au droit d'opposer leur véto au projet de résolution sur la colonisation juive qui sera soumis au vote à l'Onu, au risque de perdre leur "crédibilité comme parrain du processus de paix" israélo-palestinien. "Nous les avertissons que s'ils usent de leur droit de veto, ils perdront, aujourd'hui et demain, ce qui leur reste de crédibilité comme parrain du processus de paix", a déclaré à la presse le négociateur palestinien Nabil Chaath, en visite lundi à Doha, au Qatar. M. Chaath a souligné que cette résolution qui sera adressée au Conseil de sécurité onusien vise à "exercer des pressions sur Israël" du moment que l'Administration américaine "a échoué à arrêter la colonisation". Un veto américain serait "illogique", a-t-il dit. "Nous n'accepterons pas que les Etats-Unis usent de leur droit de veto" au Conseil de sécurité où "les 14 (autres) pays, y compris la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine, quatre des cinq membres permanents du Conseil, nous ont assurés de leur vote en faveur du projet de résolution", a-t-il ajouté.