La rencontre organisée par l'Association nationale italienne de solidarité avec le peuple sahraoui (ANSPS) s'est déroulée en présence de dirigeants d'organisations pour jeunes appartenant aux différents partis italiens et du secrétaire d'Etat sahraoui pour la Jeunesse et les Sports, Mouloud Mohamed Fadhel. La rencontre organisée par l'Association nationale italienne de solidarité avec le peuple sahraoui (ANSPS) s'est déroulée en présence de dirigeants d'organisations pour jeunes appartenant aux différents partis italiens et du secrétaire d'Etat sahraoui pour la Jeunesse et les Sports, Mouloud Mohamed Fadhel. La "révolte des jeunes Sahraouis contre l'occupation marocaine" a été au cœur d'un débat animé lundi dernier par des organisations et associations italiennes à la lumière du démantèlement par la force du "camp de la liberté" le 14 novembre dernier, près d'El Ayoun occupée. La rencontre organisée par l'Association nationale italienne de solidarité avec le peuple sahraoui (ANSPS) s'est déroulée en présence de dirigeants d'organisations pour jeunes appartenant aux différents partis italiens et du secrétaire d'Etat sahraoui pour la Jeunesse et les Sports, Mouloud Mohamed Fadhel. Dans son intervention à cette occasion, M. Fadhel a souligné que sa participation constituait "une halte à la mémoire des sacrifices des jeunes Sahraouis trois mois après le démantèlement du camp de la liberté par les forces de l'armée d'occupation marocaine". Ces évènements nous interpellent pour reconnaître la force des jeunes Sahraouis qui ont pu se libérer de la peur et qui ont démontré que "la force de la jeunesse est en mesure de vaincre le désespoir". Le secrétaire d'Etat sahraoui a appelé les organisations italiennes pour jeunes à visiter les camps sahraouis et à soutenir les jeunes qui fêtent le 35e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). De son côté, l'avocate Francesca Doria qui occupe le poste d'observateur international des procès intentés dans les régions occupées a exprimé "sa préoccupation" quant aux procédures suivies pour juger les militants sahraouis des droits de l'Homme dans les territoires occupés, notamment les sept ayant passé plus d'une année sans procès alors qu'ils étaient censés être jugés par un tribunal militaire avant de transférer leurs dossiers vers un tribunal civil. Elle a également témoigné des "entraves" qu'elle avait rencontrés lors de l'accomplissement de ses missions s'interrogeant sur le déroulement des procès de certains prisonniers d'opinion "en l'absence des citoyens sahraouis qui ont peur de se voir emprisonnés". Par ailleurs, Mme Doria n'a pas manqué d'afficher son étonnement face "aux accusations lancées par l'Administration marocaine contre les observateurs internationaux qu'elle accuse d'être à la solde d'autres pays". Elle a appelé, dans ce contexte, les organisations pour jeunes à visiter les territoires occupés pour transmettre au monde entier la situation des droits de l'Homme dans la région et apporter leur soutien aux jeunes Sahraouis dans leur lutte contre l'occupation. De leur côté, les dirigeants d'organisations pour jeunes ont exprimé, tour à tour, leurs positions de solidarité avec la cause sahraouie et la lutte des jeunes Sahraouis pour la liberté et la dignité. Dans ce contexte, Giovanni Corbo, responsable des relations extérieures au Forum national de la jeunesse italienne a affirmé connaître la cause sahraouie depuis plus de dix ans s'interrogant sur l'aspect négatif des positions de la Minurso "face aux violations des droits de l'Homme au Sahara occidental". Pour sa part, Brando Benifei, responsable des relations extérieures de la jeunesse démocratique a salué cette initiative "sans précédant qui a réuni tous les courants du mouvement juvénile italien pour exprimer leur soutien à la lutte juste du peuple sahraoui". Il a également mis en exergue le rôle joué par les jeunes dans les évènements de Gdeim Izik relevant "les injustices et la privation des droits dans les régions sahraouies occupées". La "révolte des jeunes Sahraouis contre l'occupation marocaine" a été au cœur d'un débat animé lundi dernier par des organisations et associations italiennes à la lumière du démantèlement par la force du "camp de la liberté" le 14 novembre dernier, près d'El Ayoun occupée. La rencontre organisée par l'Association nationale italienne de solidarité avec le peuple sahraoui (ANSPS) s'est déroulée en présence de dirigeants d'organisations pour jeunes appartenant aux différents partis italiens et du secrétaire d'Etat sahraoui pour la Jeunesse et les Sports, Mouloud Mohamed Fadhel. Dans son intervention à cette occasion, M. Fadhel a souligné que sa participation constituait "une halte à la mémoire des sacrifices des jeunes Sahraouis trois mois après le démantèlement du camp de la liberté par les forces de l'armée d'occupation marocaine". Ces évènements nous interpellent pour reconnaître la force des jeunes Sahraouis qui ont pu se libérer de la peur et qui ont démontré que "la force de la jeunesse est en mesure de vaincre le désespoir". Le secrétaire d'Etat sahraoui a appelé les organisations italiennes pour jeunes à visiter les camps sahraouis et à soutenir les jeunes qui fêtent le 35e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). De son côté, l'avocate Francesca Doria qui occupe le poste d'observateur international des procès intentés dans les régions occupées a exprimé "sa préoccupation" quant aux procédures suivies pour juger les militants sahraouis des droits de l'Homme dans les territoires occupés, notamment les sept ayant passé plus d'une année sans procès alors qu'ils étaient censés être jugés par un tribunal militaire avant de transférer leurs dossiers vers un tribunal civil. Elle a également témoigné des "entraves" qu'elle avait rencontrés lors de l'accomplissement de ses missions s'interrogeant sur le déroulement des procès de certains prisonniers d'opinion "en l'absence des citoyens sahraouis qui ont peur de se voir emprisonnés". Par ailleurs, Mme Doria n'a pas manqué d'afficher son étonnement face "aux accusations lancées par l'Administration marocaine contre les observateurs internationaux qu'elle accuse d'être à la solde d'autres pays". Elle a appelé, dans ce contexte, les organisations pour jeunes à visiter les territoires occupés pour transmettre au monde entier la situation des droits de l'Homme dans la région et apporter leur soutien aux jeunes Sahraouis dans leur lutte contre l'occupation. De leur côté, les dirigeants d'organisations pour jeunes ont exprimé, tour à tour, leurs positions de solidarité avec la cause sahraouie et la lutte des jeunes Sahraouis pour la liberté et la dignité. Dans ce contexte, Giovanni Corbo, responsable des relations extérieures au Forum national de la jeunesse italienne a affirmé connaître la cause sahraouie depuis plus de dix ans s'interrogant sur l'aspect négatif des positions de la Minurso "face aux violations des droits de l'Homme au Sahara occidental". Pour sa part, Brando Benifei, responsable des relations extérieures de la jeunesse démocratique a salué cette initiative "sans précédant qui a réuni tous les courants du mouvement juvénile italien pour exprimer leur soutien à la lutte juste du peuple sahraoui". Il a également mis en exergue le rôle joué par les jeunes dans les évènements de Gdeim Izik relevant "les injustices et la privation des droits dans les régions sahraouies occupées".