Les lycéens de Tizi Ouzou ont observé une grève durant toute la journée d'hier, mercredi, ainsi qu'une marche. Ainsi, le mouvement de protestation qui a soufflé sur quelques daïras de la wilaya, depuis une quinzaine de jours, semble avoir fait tache d'huile en touchant le chef lieu. Pas moins de sept lycées situés dans la ville de Tizi Ouzou ont été paralysés par la grève des lycéens. Parallèlement à ce débrayage, les élèves sont sortis en groupe et se sont retrouvés devant l'un des lycées les plus anciens de Tizi Ouzou, à savoir le lycée « Amirouche ». Après quoi, une marche s'est ébranlée et les lycéens ont traversé quelques rues principales de la ville des Genêts dont le boulevard Abane-Ramdane. Les lycéens ont terminé leur action de rue au niveau de la direction de wilaya de l'éducation. La marche a été silencieuse et aucun incident ne l'a émaillée. Les lycéens ont transcrit leurs revendications sur des banderoles qu'ils ont brandies tout au long de la marche. L'action avait pour but de demander l'allégement des programmes scolaires car les concernés estiment que ces derniers sont trop chargés et dépasseraient leurs capacités. L.B. Les lycéens de Tizi Ouzou ont observé une grève durant toute la journée d'hier, mercredi, ainsi qu'une marche. Ainsi, le mouvement de protestation qui a soufflé sur quelques daïras de la wilaya, depuis une quinzaine de jours, semble avoir fait tache d'huile en touchant le chef lieu. Pas moins de sept lycées situés dans la ville de Tizi Ouzou ont été paralysés par la grève des lycéens. Parallèlement à ce débrayage, les élèves sont sortis en groupe et se sont retrouvés devant l'un des lycées les plus anciens de Tizi Ouzou, à savoir le lycée « Amirouche ». Après quoi, une marche s'est ébranlée et les lycéens ont traversé quelques rues principales de la ville des Genêts dont le boulevard Abane-Ramdane. Les lycéens ont terminé leur action de rue au niveau de la direction de wilaya de l'éducation. La marche a été silencieuse et aucun incident ne l'a émaillée. Les lycéens ont transcrit leurs revendications sur des banderoles qu'ils ont brandies tout au long de la marche. L'action avait pour but de demander l'allégement des programmes scolaires car les concernés estiment que ces derniers sont trop chargés et dépasseraient leurs capacités. L.B.