Les prix du pétrole perdaient à nouveau du terrain jeudi en cours d'échanges européens, pénalisés par des prises de bénéfices et une hausse du dollar, sur un marché toujours prudent après une forte hausse des stocks américains et la dégradation de la note du Japon. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 97,58 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, perdant 33 cents par rapport à la clôture de mercredi. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance lâchait 93 cents à 86,40 dollars. Les cours du baril cédaient du terrain, certains investisseurs engrangeant des bénéfices après la forte hausse enregistrée la veille. Les prix avaient bondi de plus de 1 dollar à New York et de plus de 2 dollars à Londres, mettant fin à six séances de baisse, portés par l'annonce du maintien des mesures de relance de la banque centrale américaine (Fed). Le marché renouait cependant jeudi avec la prudence, alors que l'appréciation de la monnaie américaine, à la suite de la dégradation de la note du Japon par l'agence de notation financière Standard & Poor's, rendait moins attractifs les achats de brut libellés en dollars. Si à la mi-janvier les cours s'étaient rapproché des 100 dollars le baril à Londres, l'humeur du marché n'est pas propice, à court terme, à un retour vers ce seuil très symbolique. Les prix du pétrole perdaient à nouveau du terrain jeudi en cours d'échanges européens, pénalisés par des prises de bénéfices et une hausse du dollar, sur un marché toujours prudent après une forte hausse des stocks américains et la dégradation de la note du Japon. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 97,58 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, perdant 33 cents par rapport à la clôture de mercredi. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance lâchait 93 cents à 86,40 dollars. Les cours du baril cédaient du terrain, certains investisseurs engrangeant des bénéfices après la forte hausse enregistrée la veille. Les prix avaient bondi de plus de 1 dollar à New York et de plus de 2 dollars à Londres, mettant fin à six séances de baisse, portés par l'annonce du maintien des mesures de relance de la banque centrale américaine (Fed). Le marché renouait cependant jeudi avec la prudence, alors que l'appréciation de la monnaie américaine, à la suite de la dégradation de la note du Japon par l'agence de notation financière Standard & Poor's, rendait moins attractifs les achats de brut libellés en dollars. Si à la mi-janvier les cours s'étaient rapproché des 100 dollars le baril à Londres, l'humeur du marché n'est pas propice, à court terme, à un retour vers ce seuil très symbolique.