Les prix du pétrole montaient légèrement hier en cours d'échanges européens, soutenus par un affaiblissement du dollar et de bonnes perspectives sur la demande mondiale. Hier matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 98,19 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 39 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en février gagnait quant à lui 45 cents à 91,83 dollars. Les cours du baril, qui avaient évolué en dents de scie mardi dans un marché nerveux, gagnaient du terrain sur fond de net affaiblissement de la monnaie américaine, propre à favoriser les achats de brut libellés en dollars.Par ailleurs, "les prix restent portés par des températures hivernales en dessous de la moyenne dans l'hémisphère nord, et l'optimisme qui domine parmi les opérateurs" sur les perspectives de la consommation mondiale, relevait un analyste. A la suite de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), l'Agence internationale de l'Energie (AIE) a une nouvelle fois, dans son rapport mensuel publié mardi, revu en nette hausse sa prévision de demande mondiale de pétrole pour 2010 et 2011. Les prix avaient bondi de plus de 3,50 dollars la semaine dernière à New-York et franchi vendredi à Londres la barre des 99 dollars pour la première fois depuis octobre 2008. Les prix du pétrole montaient légèrement hier en cours d'échanges européens, soutenus par un affaiblissement du dollar et de bonnes perspectives sur la demande mondiale. Hier matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, s'échangeait à 98,19 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 39 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en février gagnait quant à lui 45 cents à 91,83 dollars. Les cours du baril, qui avaient évolué en dents de scie mardi dans un marché nerveux, gagnaient du terrain sur fond de net affaiblissement de la monnaie américaine, propre à favoriser les achats de brut libellés en dollars.Par ailleurs, "les prix restent portés par des températures hivernales en dessous de la moyenne dans l'hémisphère nord, et l'optimisme qui domine parmi les opérateurs" sur les perspectives de la consommation mondiale, relevait un analyste. A la suite de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), l'Agence internationale de l'Energie (AIE) a une nouvelle fois, dans son rapport mensuel publié mardi, revu en nette hausse sa prévision de demande mondiale de pétrole pour 2010 et 2011. Les prix avaient bondi de plus de 3,50 dollars la semaine dernière à New-York et franchi vendredi à Londres la barre des 99 dollars pour la première fois depuis octobre 2008.