Après de longs mois d'absence, le directeur général d'ATM Mobilis, M. Azouaou Mehmel, a tenu un point de presse en marge du lancement d'un nouveau service dédié aux entreprises. Le premier responsable de l'opérateur public de téléphonie mobile s'est prononcé, notamment, sur les objectifs de Mobilis pour cette nouvelle année, mais également sur les inconvénients auxquels fait face cet opérateur. Après de longs mois d'absence, le directeur général d'ATM Mobilis, M. Azouaou Mehmel, a tenu un point de presse en marge du lancement d'un nouveau service dédié aux entreprises. Le premier responsable de l'opérateur public de téléphonie mobile s'est prononcé, notamment, sur les objectifs de Mobilis pour cette nouvelle année, mais également sur les inconvénients auxquels fait face cet opérateur. En effet, M. Azouaou a été très explicite dans ses dires : « ATM Mobilis est une entreprise publique, ce qui la rend restreinte en termes de réglementation. Pour lancer une nouvelle offre, à titre d'exemple, elle devrait lancer au préalable un avis d'appel d'offre et suivre toutes les démarches administratives qui prennent bien souvent de longs mois », a-t-il expliqué. Selon lui, la plupart des offres et services lancées par la concurrence étaient à la base des idées de Mobilis. « Les offres disponibles actuellement sur le marché sont dans leur majorité nos idées, mais à cause du statut de Mobilis (opérateur public), cela a fait profiter la concurrence qui a vite saisi ces occasions…Ceci nous pénalise… », a précisé M. Mehmel. Abordant le bilan enregistré par ATM Mobilis durant l'exercice précédent, le conférencier s'est contenté de dire que le trafic de l'opérateur est en augmentation. « Même si nous connaissons quelques difficultés, nous ne sommes pas déficitaires… », a-t-il noté. Par ailleurs, le DG de Mobilis s'est montré très optimiste pour l'avenir. « En lançant de nouveaux services et offres, nous espérons faire face à la concurrence », a-t-il indiqué. L'année 2011, poursuit-il, sera également l'année dans laquelle Mobilis compte se rapprocher davantage de ses clients. Il a toutefois souligné que l'opérateur public de téléphonie mobile souhaiterait contribuer davantage au courant de cette année dans la croissance du Groupe Algérie Télécom. « Le fait d'être filiale de l'opérateur historique de téléphonie fixe ne nous a jamais bloqué, bien au contraire cela nous a bien souvent aidé à concrétiser certains projets tels que l'injection du crédit à partir de son compte CCP », a-t-il dit. M. Azouaou a espéré que l'année 2011 verra l'application de la téléphonie de 3e Génération. « Mobilis est le premier opérateur qui a expérimenté cette technologie que nous pensons être à l'origine d'un grand changement dans le marché de la téléphonie », a-t-il ajouté. Interrogé sur l'opération d'identification des puces anonymes, M. Azouaou a relevé que cette opération n'a jamais été clôturée. « L'assainissement de notre parc mobile continu…Cela est devenu un travail quotidien ». Pour rappel, Mobilis dispose actuellement d'un parc de plus de 10 millions d'abonnés, constitué principalement de clients postpayés. En effet, M. Azouaou a été très explicite dans ses dires : « ATM Mobilis est une entreprise publique, ce qui la rend restreinte en termes de réglementation. Pour lancer une nouvelle offre, à titre d'exemple, elle devrait lancer au préalable un avis d'appel d'offre et suivre toutes les démarches administratives qui prennent bien souvent de longs mois », a-t-il expliqué. Selon lui, la plupart des offres et services lancées par la concurrence étaient à la base des idées de Mobilis. « Les offres disponibles actuellement sur le marché sont dans leur majorité nos idées, mais à cause du statut de Mobilis (opérateur public), cela a fait profiter la concurrence qui a vite saisi ces occasions…Ceci nous pénalise… », a précisé M. Mehmel. Abordant le bilan enregistré par ATM Mobilis durant l'exercice précédent, le conférencier s'est contenté de dire que le trafic de l'opérateur est en augmentation. « Même si nous connaissons quelques difficultés, nous ne sommes pas déficitaires… », a-t-il noté. Par ailleurs, le DG de Mobilis s'est montré très optimiste pour l'avenir. « En lançant de nouveaux services et offres, nous espérons faire face à la concurrence », a-t-il indiqué. L'année 2011, poursuit-il, sera également l'année dans laquelle Mobilis compte se rapprocher davantage de ses clients. Il a toutefois souligné que l'opérateur public de téléphonie mobile souhaiterait contribuer davantage au courant de cette année dans la croissance du Groupe Algérie Télécom. « Le fait d'être filiale de l'opérateur historique de téléphonie fixe ne nous a jamais bloqué, bien au contraire cela nous a bien souvent aidé à concrétiser certains projets tels que l'injection du crédit à partir de son compte CCP », a-t-il dit. M. Azouaou a espéré que l'année 2011 verra l'application de la téléphonie de 3e Génération. « Mobilis est le premier opérateur qui a expérimenté cette technologie que nous pensons être à l'origine d'un grand changement dans le marché de la téléphonie », a-t-il ajouté. Interrogé sur l'opération d'identification des puces anonymes, M. Azouaou a relevé que cette opération n'a jamais été clôturée. « L'assainissement de notre parc mobile continu…Cela est devenu un travail quotidien ». Pour rappel, Mobilis dispose actuellement d'un parc de plus de 10 millions d'abonnés, constitué principalement de clients postpayés.