Comme l'a toujours affirmé en accueillant favorablement la mesure des pouvoirs publics relative à la dépénalisation de l'acte de gestion, le président de la Confédération générale des entrepreneurs et opérateurs économiques algériens (CGEOA), Habib Yousfi, a indiqué qu'il y a une discrimination vis-à-vis du secteur privé national qui est marginalisé concernant l'octroi de commande publique. Comme l'a toujours affirmé en accueillant favorablement la mesure des pouvoirs publics relative à la dépénalisation de l'acte de gestion, le président de la Confédération générale des entrepreneurs et opérateurs économiques algériens (CGEOA), Habib Yousfi, a indiqué qu'il y a une discrimination vis-à-vis du secteur privé national qui est marginalisé concernant l'octroi de commande publique. Ainsi, en dénonçant le monnayage dans l'attribution des marchés, hier sur les ondes de la radio Chaîne III, il a plaidé pour une transparence en proposant des paramètres de sélection et d'éligibilité afin de mettre un terme au favoritisme et au système de relation dans la politique des marchés publics. Il faut, quand même, reconnaître que l'administration algérienne défavorise énormément le secteur privé qui demeure le parent pauvre de l'économie nationale alors qu'il est très important, sachant que dans les pays avancés et industrialisés (Etats-Unis d'Amérique, Italie et Allemagne), les entreprises privées sont le moteur de la croissance en créant des richesses et des milliers d'emploi. Yousfi sollicite, donc, plus de considération pour les entreprises du secteur privé en mettant en place des procédures d'attribution des marchés publics sur des bases saines équitables et suivant les performances des entreprises. Relatant l'épineuse problématique du chômage en Algérie, dont le taux dépasse largement les 11 %, selon les statistiques officielles, Yousfi estime que le secteur privé du bâtiment, travaux publics et hydraulique (BTPH) voit son cahier des charges s'amoindrir alors qu'il est un pourvoyeur d'emplois massifs, en ce sens que quand le bâtiment va, tout va. Estimant que la dépénalisation de l'acte de gestion des entreprises est considérée comme une avancée notable susceptible de relancer l'instrument de financement de l'économie en boostant la croissance économique, Yousfi estime que la suppression de cette contrainte décourageante pour les entreprises est considérée comme une avancée notable susceptible d'aboutir à la relance de l'économie et de stimuler l'instrument de financement en donnant aux entreprises (plus de 450.000 PME) l'accès aux lignes de crédit bancaires.Il a stigmatisé l'absence de moyens financiers dont souffrent bon nombre d'entreprises complètement neutralisées par la limitation d'octroi de lignes de crédit. Abordant les lenteurs bureaucratiques et les entraves administratives, il a indiqué que «les entreprises doivent bénéficier des avantages octroyés par le Fonds de garantie pour les PME afin de permettre aux entreprises de contribuer à la création de richesses en recevant l'aide financière nécessaire». Ainsi, en dénonçant le monnayage dans l'attribution des marchés, hier sur les ondes de la radio Chaîne III, il a plaidé pour une transparence en proposant des paramètres de sélection et d'éligibilité afin de mettre un terme au favoritisme et au système de relation dans la politique des marchés publics. Il faut, quand même, reconnaître que l'administration algérienne défavorise énormément le secteur privé qui demeure le parent pauvre de l'économie nationale alors qu'il est très important, sachant que dans les pays avancés et industrialisés (Etats-Unis d'Amérique, Italie et Allemagne), les entreprises privées sont le moteur de la croissance en créant des richesses et des milliers d'emploi. Yousfi sollicite, donc, plus de considération pour les entreprises du secteur privé en mettant en place des procédures d'attribution des marchés publics sur des bases saines équitables et suivant les performances des entreprises. Relatant l'épineuse problématique du chômage en Algérie, dont le taux dépasse largement les 11 %, selon les statistiques officielles, Yousfi estime que le secteur privé du bâtiment, travaux publics et hydraulique (BTPH) voit son cahier des charges s'amoindrir alors qu'il est un pourvoyeur d'emplois massifs, en ce sens que quand le bâtiment va, tout va. Estimant que la dépénalisation de l'acte de gestion des entreprises est considérée comme une avancée notable susceptible de relancer l'instrument de financement de l'économie en boostant la croissance économique, Yousfi estime que la suppression de cette contrainte décourageante pour les entreprises est considérée comme une avancée notable susceptible d'aboutir à la relance de l'économie et de stimuler l'instrument de financement en donnant aux entreprises (plus de 450.000 PME) l'accès aux lignes de crédit bancaires.Il a stigmatisé l'absence de moyens financiers dont souffrent bon nombre d'entreprises complètement neutralisées par la limitation d'octroi de lignes de crédit. Abordant les lenteurs bureaucratiques et les entraves administratives, il a indiqué que «les entreprises doivent bénéficier des avantages octroyés par le Fonds de garantie pour les PME afin de permettre aux entreprises de contribuer à la création de richesses en recevant l'aide financière nécessaire».