Les réactions de la classe politique, par rapport à la marche d'hier, initiée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) et soutenue par le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) sont mitigées. Les réactions de la classe politique, par rapport à la marche d'hier, initiée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) et soutenue par le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) sont mitigées. Pour le FNA, cette marche lui manquait de la « publicité », alors que le MSP s'y oppose catégoriquement en estimant que d'autres moyens pacifiques peuvent être plus efficaces. Le PT, quant à lui, se dit avoir étudié la situation dans les structures de son parti. Pour Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA) les autorités auraient autorisé cette marche si les initiateurs de cette dernière avaient garanti qu'aucun dérapage ni atteinte aux biens publics et privés n'auront lieu. « On doit donner l'autorisation (…) il n'y a pas de garanti », a-t-il dit à ce propos, ajoutant que « les initiateurs ne peuvent pas garantir qu'aucun dérapage ne se produise ». Touati a, par ailleurs, estimé que cette marche qui « n'a pas de but », aurait été plus « attractive » si ses « initiateurs ont fait comprendre aux citoyens leurs revendications ». Il a, dans ce sens, noté que « si les citoyens ont compris les revendications, ils auront investi le terrain ». Le Parti des travailleurs (PT) a, au moment où nous mettons sous presse, préféré ne pas rendre public sa position avant le point de presse prévu aujourd'hui. « On ne peut rien vous dire avant le point de presse de demain (aujourd'hui) » a déclaré Djeloul Djoudi, membre du secrétariat politique du parti de Louisa Hanoune. Pour rappel, le PT a, concernant la dernière marche du RCD et qui a été avortée par les forces de l'ordre, fait entendre qu'il aurait investi le terrain si le RCD, muni d'une autorisation, lui avait adressé une invitation. Pour ce qui est du Mouvement de la société pour la paix (MSP), il a été catégorique quant à cette marche. « Nous ne participons pas à ces marches » a déclaré Mohamed Djemaa, chargé de communication du Parti de l'Alliance présidentielle, joint hier par téléphone. Pour le MSP, les pouvoirs publics ont pour mission de maintenir l'ordre public. Ce qui justifie, selon Djemaa, la non autorisation de cette marche. En revanche, « nous avons d'autres moyens pacifiques », a-t-il indiqué, tout en rappelant les instructions de président de la République, lors du dernier Conseil des ministres, tenu le 03 de ce mois en cours, pour la prise en charge, sans délai, des attentes des citoyens notamment des jeunes, en matière d'emploi ainsi que la levé éminente de l'Etat d'urgence. Il est toutefois utile de noter que quelles que soient les positions prises par les partis politiques, pour le moment, le citoyen, pour sa part, n'a de soucis que ses préoccupations de vie quotidienne. A.B. Pour le FNA, cette marche lui manquait de la « publicité », alors que le MSP s'y oppose catégoriquement en estimant que d'autres moyens pacifiques peuvent être plus efficaces. Le PT, quant à lui, se dit avoir étudié la situation dans les structures de son parti. Pour Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA) les autorités auraient autorisé cette marche si les initiateurs de cette dernière avaient garanti qu'aucun dérapage ni atteinte aux biens publics et privés n'auront lieu. « On doit donner l'autorisation (…) il n'y a pas de garanti », a-t-il dit à ce propos, ajoutant que « les initiateurs ne peuvent pas garantir qu'aucun dérapage ne se produise ». Touati a, par ailleurs, estimé que cette marche qui « n'a pas de but », aurait été plus « attractive » si ses « initiateurs ont fait comprendre aux citoyens leurs revendications ». Il a, dans ce sens, noté que « si les citoyens ont compris les revendications, ils auront investi le terrain ». Le Parti des travailleurs (PT) a, au moment où nous mettons sous presse, préféré ne pas rendre public sa position avant le point de presse prévu aujourd'hui. « On ne peut rien vous dire avant le point de presse de demain (aujourd'hui) » a déclaré Djeloul Djoudi, membre du secrétariat politique du parti de Louisa Hanoune. Pour rappel, le PT a, concernant la dernière marche du RCD et qui a été avortée par les forces de l'ordre, fait entendre qu'il aurait investi le terrain si le RCD, muni d'une autorisation, lui avait adressé une invitation. Pour ce qui est du Mouvement de la société pour la paix (MSP), il a été catégorique quant à cette marche. « Nous ne participons pas à ces marches » a déclaré Mohamed Djemaa, chargé de communication du Parti de l'Alliance présidentielle, joint hier par téléphone. Pour le MSP, les pouvoirs publics ont pour mission de maintenir l'ordre public. Ce qui justifie, selon Djemaa, la non autorisation de cette marche. En revanche, « nous avons d'autres moyens pacifiques », a-t-il indiqué, tout en rappelant les instructions de président de la République, lors du dernier Conseil des ministres, tenu le 03 de ce mois en cours, pour la prise en charge, sans délai, des attentes des citoyens notamment des jeunes, en matière d'emploi ainsi que la levé éminente de l'Etat d'urgence. Il est toutefois utile de noter que quelles que soient les positions prises par les partis politiques, pour le moment, le citoyen, pour sa part, n'a de soucis que ses préoccupations de vie quotidienne. A.B.