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Très loin des aspirations citoyennes
Marché des fruits et légumes de Bouzaréah
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 02 - 2011

Le marché des fruits et légumes de la commune de Bouzaréah à Alger, demeure hélas et toujours très loin de répondre aux besoins des citoyens, ni des aspirations des commerçants qui l'occupent. Une dégradation totale des lieux dont la vieillesse et l'abandon demeurent très apparents. Depuis l'incendie qui a sérieusement endommagé le marché il y a plus de sept ans, maintenant où les commerçants ont repris leurs activités dans un lieux très abîmé, le marché n'a eu aucune opération de réaménagement ou de remise en valeur pourtant il est l'unique espace commercial public dans la région et il connaît un grand afflux des habitants de la commune et même de celles avoisinantes. Les commerçants ont effectué eux-mêmes quelques travaux de réhabilitation après l'incendie de 2003 mais cela n'a pas été suffisant vu l'ampleur de la catastrophe qui a gravement endommagé le toit du marché, ses murs et même son sol. Cette situation fatigue et les commerçants qui n'offrent plus de bonnes conditions pour attirer davantage les clients et pour le consommateur qui n'a pourtant d'autre choix que de se procurer ses besoins d'un milieu infect qui ne répond en aucun cas aux normes du commerce de proximité et encore moins à un marché de fruits et légumes. Il faut noter aussi que l'état d'insalubrité que connaît ledit marché ne participe qu' à faire fuir les habitués des marchés qui préfèrent à présent payer plus chez les magasins que d'exposer leurs vies aux dangers. D'autre part, les habitants de la commune de Bouzaréah déplorent l'extension de l'informel dans leur localité puisque des dizaines de marchands de fruits et légumes préfèrent exposer leurs marchandises d'une manière anarchique à l'entrée du marché qui lui aussi se trouve à proximité de la station urbaine des bus ce qui provoque un embouteillage monstre au niveau de ce marché. L'intervention des services concernés demeure donc plus que nécessaire pour mettre fin à cette anarchie qui atteint gravement l'image de nos villes et à la santé des consommateurs.
Le marché des fruits et légumes de la commune de Bouzaréah à Alger, demeure hélas et toujours très loin de répondre aux besoins des citoyens, ni des aspirations des commerçants qui l'occupent. Une dégradation totale des lieux dont la vieillesse et l'abandon demeurent très apparents. Depuis l'incendie qui a sérieusement endommagé le marché il y a plus de sept ans, maintenant où les commerçants ont repris leurs activités dans un lieux très abîmé, le marché n'a eu aucune opération de réaménagement ou de remise en valeur pourtant il est l'unique espace commercial public dans la région et il connaît un grand afflux des habitants de la commune et même de celles avoisinantes. Les commerçants ont effectué eux-mêmes quelques travaux de réhabilitation après l'incendie de 2003 mais cela n'a pas été suffisant vu l'ampleur de la catastrophe qui a gravement endommagé le toit du marché, ses murs et même son sol. Cette situation fatigue et les commerçants qui n'offrent plus de bonnes conditions pour attirer davantage les clients et pour le consommateur qui n'a pourtant d'autre choix que de se procurer ses besoins d'un milieu infect qui ne répond en aucun cas aux normes du commerce de proximité et encore moins à un marché de fruits et légumes. Il faut noter aussi que l'état d'insalubrité que connaît ledit marché ne participe qu' à faire fuir les habitués des marchés qui préfèrent à présent payer plus chez les magasins que d'exposer leurs vies aux dangers. D'autre part, les habitants de la commune de Bouzaréah déplorent l'extension de l'informel dans leur localité puisque des dizaines de marchands de fruits et légumes préfèrent exposer leurs marchandises d'une manière anarchique à l'entrée du marché qui lui aussi se trouve à proximité de la station urbaine des bus ce qui provoque un embouteillage monstre au niveau de ce marché. L'intervention des services concernés demeure donc plus que nécessaire pour mettre fin à cette anarchie qui atteint gravement l'image de nos villes et à la santé des consommateurs.

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