Le montant financier de ce projet n'a pas encore été précisé et non rendu public par les autorités du Venezuela, cependant, les données sur le gisement de gaz en question montrent qu'il s'agit d'une réserve appréciable contenant de gigantesques quantités. Le montant financier de ce projet n'a pas encore été précisé et non rendu public par les autorités du Venezuela, cependant, les données sur le gisement de gaz en question montrent qu'il s'agit d'une réserve appréciable contenant de gigantesques quantités. La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, va participer activement à un projet d'exploitation d'un gisement de gaz offshore au Venezuela, selon l'agence de presse Reuters, qui précise que «la société nationale (la première entreprise au niveau africain) a été sélectionnée pour contribuer à cet ambitieux projet gazier, par la société publique pétrolière vénézuélienne PVDSA, en coopération commune avec trois autres groupes et firmes pétroliers internationaux, à l'image du consortium russe parrainé par Rosneft, de la société chinoise CNOOC et de la compagnie de Malaisie Petronas». Alors que le montant financier de ce projet n'a pas encore été précisé et non rendu public par les autorités du Venezuela, cependant, les données sur le gisement de gaz en question montrent qu'il s'agit d'une réserve appréciable contenant de gigantesques quantités. La nouvelle de cette découverte de gaz a réjouit, en fait, les autorités de ce pays qui cherchaient depuis de longues années des partenaires fiables ayant une grande expérience dans le domaine de la recherche, l'exploration et l'exploitation gazière, sachant que le Venezuela entretient des relations étroites avec Sonatrach, laquelle intervient également dans des projets d'exploration d'hydrocarbures en Amérique du Sud, tel que le Pérou. Ce partenariat avec le Venezuela apparaît après les efforts consentis par Sonatrach dans ses activités de développement à l'international dans la mesure où la compagnie pétrolière a déjà entrepris d'autres actions de coopération avec des partenaires étrangers, notamment l'entrée en service, en 2010, et durant les années 2013 et 2015, des gazoducs Medgaz, Galsi et TSGP.Les responsables de Sonatrach précisent que «le déploiement des activités de Sonatrach à l'international a pour objectif essentiel de permettre l'acquisition de nouvelles réserves à travers le monde». Néanmoins, l'ambition de la compagnie des hydrocarbures dans prochaines années réside «dans l'optique d'arriver à produire 30 % (pétrole et gaz) à partir de ses activités à l'international». Rappelons que la stratégie de développement de Sonatrach à l'international, selon les responsables de cette compagnie, «se déploie dans l'amont, le transport et l'aval pétrolier et gazier, avec une présence, en partenariat sur le champ de Camiséa au Pérou, et dans différents pays d'Afrique sub-saharienne et du Maghreb». Tandis qu'en Europe, en Asie et en Amérique, Sonatrach s'active notamment à se diversifier dans ses opérations d'exploitation, notamment «à travers des prises de participation dans des projets pétrochimiques, d'électrification et de réservation dans des terminaux de regazéification», selon la direction de cette compagnie, passant, en quelques années d'une fonction de transport et de commercialisation des hydrocarbures à celle d'exploration et de production. Sur le plan africain, Sonatrach intervient, notamment, dans des projets au Mali, en Mauritanie, en Egypte et au Niger.Avec le voisin libyen, la compagnie travaille sur un bloc d'exploration de pétrole à travers sa filiale ‘'Sonatrach International Petroleum exploration & production'' (Sipex) en étroite coopération avec la National Oil corporation (NOC) libyenne. La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, va participer activement à un projet d'exploitation d'un gisement de gaz offshore au Venezuela, selon l'agence de presse Reuters, qui précise que «la société nationale (la première entreprise au niveau africain) a été sélectionnée pour contribuer à cet ambitieux projet gazier, par la société publique pétrolière vénézuélienne PVDSA, en coopération commune avec trois autres groupes et firmes pétroliers internationaux, à l'image du consortium russe parrainé par Rosneft, de la société chinoise CNOOC et de la compagnie de Malaisie Petronas». Alors que le montant financier de ce projet n'a pas encore été précisé et non rendu public par les autorités du Venezuela, cependant, les données sur le gisement de gaz en question montrent qu'il s'agit d'une réserve appréciable contenant de gigantesques quantités. La nouvelle de cette découverte de gaz a réjouit, en fait, les autorités de ce pays qui cherchaient depuis de longues années des partenaires fiables ayant une grande expérience dans le domaine de la recherche, l'exploration et l'exploitation gazière, sachant que le Venezuela entretient des relations étroites avec Sonatrach, laquelle intervient également dans des projets d'exploration d'hydrocarbures en Amérique du Sud, tel que le Pérou. Ce partenariat avec le Venezuela apparaît après les efforts consentis par Sonatrach dans ses activités de développement à l'international dans la mesure où la compagnie pétrolière a déjà entrepris d'autres actions de coopération avec des partenaires étrangers, notamment l'entrée en service, en 2010, et durant les années 2013 et 2015, des gazoducs Medgaz, Galsi et TSGP.Les responsables de Sonatrach précisent que «le déploiement des activités de Sonatrach à l'international a pour objectif essentiel de permettre l'acquisition de nouvelles réserves à travers le monde». Néanmoins, l'ambition de la compagnie des hydrocarbures dans prochaines années réside «dans l'optique d'arriver à produire 30 % (pétrole et gaz) à partir de ses activités à l'international». Rappelons que la stratégie de développement de Sonatrach à l'international, selon les responsables de cette compagnie, «se déploie dans l'amont, le transport et l'aval pétrolier et gazier, avec une présence, en partenariat sur le champ de Camiséa au Pérou, et dans différents pays d'Afrique sub-saharienne et du Maghreb». Tandis qu'en Europe, en Asie et en Amérique, Sonatrach s'active notamment à se diversifier dans ses opérations d'exploitation, notamment «à travers des prises de participation dans des projets pétrochimiques, d'électrification et de réservation dans des terminaux de regazéification», selon la direction de cette compagnie, passant, en quelques années d'une fonction de transport et de commercialisation des hydrocarbures à celle d'exploration et de production. Sur le plan africain, Sonatrach intervient, notamment, dans des projets au Mali, en Mauritanie, en Egypte et au Niger.Avec le voisin libyen, la compagnie travaille sur un bloc d'exploration de pétrole à travers sa filiale ‘'Sonatrach International Petroleum exploration & production'' (Sipex) en étroite coopération avec la National Oil corporation (NOC) libyenne.