Le tribunal criminel près la cour d'Alger a prononcé, jeudi, des peines allant de 18 mois à 3 ans de prison ferme contre 30 ressortissants africains (Niger, Nigeria, Mali, Cameroun et Tchad) poursuivis pour association de malfaiteurs, trafic de faux billets, faux et usage de faux, séjour illégal et contrefaçon de sceaux de l'Etat. Deux Algériens poursuivis dans cette affaire pour non-déclaration, hébergement et transport sans autorisation de ressortissants étrangers ont également été condamnés à une amende allant de 8.000 à 20.000 DA. Le juge ne s'est, toutefois, pas prononcé au sujet de 8 Africains en fuite. Le tribunal a condamné 6 autres Africains à 3 ans de prison ferme et à une amende de 100.000 DA. Deux ans de prison ferme ont été retenues contre deux autres ressortissants africains pour association de malfaiteurs, contrefaçon de sceaux de l'Etat et faux et usage de faux. Une peine de 18 mois a été prononcée contre huit autres accusés pour séjour illégal. Le Malien Diakti Ibrahim a, quant à lui, été relaxé. Selon l'arrêt de renvoi, les faits remontent au 10 juillet 2009 lorsque les services de sécurité ont reçu des informations sur la présence de ressortissants africains dans deux appartements adjacents à Bab Ezzouar qui s'adonnaient au trafic de faux billets, rappelle-t-on. Lors de la perquisition de ces appartements, les services de sécurité ont récupéré une importante quantité de faux billets de banque de 200 et 100 euros et 84 fausses coupures de 100 dollars. Ils ont aussi récupéré trois ordinateurs, une imprimante, un scanner, des produits chimiques et du papier destiné à la fabrication de faux billets. De faux passeports, des documents portant le sceau des consulats de Côte d'Ivoire et du Mali et un sceau du poste frontalier de Bordj Badji-Mokhtar ont également été récupérés. La perquisition s'est soldée par l'arrestation de 30 personnes, dont 4 femmes. Lors de l'interrogatoire, les mis en cause ont nié les faits qui leur sont reprochés, prétendant être entrés en Algérie par Tamanrasset sans passeports ou avec de faux passeports, demandant pour certains, notamment les Nigériens, l'asile politique en Algérie. Le tribunal criminel près la cour d'Alger a prononcé, jeudi, des peines allant de 18 mois à 3 ans de prison ferme contre 30 ressortissants africains (Niger, Nigeria, Mali, Cameroun et Tchad) poursuivis pour association de malfaiteurs, trafic de faux billets, faux et usage de faux, séjour illégal et contrefaçon de sceaux de l'Etat. Deux Algériens poursuivis dans cette affaire pour non-déclaration, hébergement et transport sans autorisation de ressortissants étrangers ont également été condamnés à une amende allant de 8.000 à 20.000 DA. Le juge ne s'est, toutefois, pas prononcé au sujet de 8 Africains en fuite. Le tribunal a condamné 6 autres Africains à 3 ans de prison ferme et à une amende de 100.000 DA. Deux ans de prison ferme ont été retenues contre deux autres ressortissants africains pour association de malfaiteurs, contrefaçon de sceaux de l'Etat et faux et usage de faux. Une peine de 18 mois a été prononcée contre huit autres accusés pour séjour illégal. Le Malien Diakti Ibrahim a, quant à lui, été relaxé. Selon l'arrêt de renvoi, les faits remontent au 10 juillet 2009 lorsque les services de sécurité ont reçu des informations sur la présence de ressortissants africains dans deux appartements adjacents à Bab Ezzouar qui s'adonnaient au trafic de faux billets, rappelle-t-on. Lors de la perquisition de ces appartements, les services de sécurité ont récupéré une importante quantité de faux billets de banque de 200 et 100 euros et 84 fausses coupures de 100 dollars. Ils ont aussi récupéré trois ordinateurs, une imprimante, un scanner, des produits chimiques et du papier destiné à la fabrication de faux billets. De faux passeports, des documents portant le sceau des consulats de Côte d'Ivoire et du Mali et un sceau du poste frontalier de Bordj Badji-Mokhtar ont également été récupérés. La perquisition s'est soldée par l'arrestation de 30 personnes, dont 4 femmes. Lors de l'interrogatoire, les mis en cause ont nié les faits qui leur sont reprochés, prétendant être entrés en Algérie par Tamanrasset sans passeports ou avec de faux passeports, demandant pour certains, notamment les Nigériens, l'asile politique en Algérie.