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Participation de l'Algérie
22e Fespaco de Ouagadougou
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 02 - 2011

La 22e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision (Fespaco) de Ouagadougou se tiendra du 26 février au 5 mars dans la capitale burkinabé, sous le thème : "Cinéma africain et marchés" et avec la participation de 28 pays du continent.
La 22e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision (Fespaco) de Ouagadougou se tiendra du 26 février au 5 mars dans la capitale burkinabé, sous le thème : "Cinéma africain et marchés" et avec la participation de 28 pays du continent.
Des colloques et des journées d'études sont prévus autour de ce thème générique dans le but de rechercher des solutions pour les problèmes de financement, de production et de diffusion des films de cinéma sur le continent africain. Les 28 nationalités présentes doivent présenter, pendant ce rendez vous bisannuel, 111 films en compétition officielle et 84 en hors compétition, toutes catégories confondues.
Les films en compétition concernent sept catégories (long métrage, court métrage, télé vidéo fiction, série télé vidéo, documentaire, diaspora et les films des écoles africaines de cinéma). En hors compétition, cinq sections sont au programme ("Panorama des cinémas d'Afrique et des Caraïbes, "l'Afrique vue par", "Films du monde", "Séances spéciales" et "Hommages").
Pas moins de 18 longs métrages venant de 11 pays africains, dont deux productions algériennes (Essaha de Dahmane Ouzid et Voyage à Alger de Abdelkrim Bahloul), seront en compétition pour l'Etalon d'or de Yennenga, le plus grand prix du palmarès officiel du festival. Six films dans cette sélection seront présentés en avant-première mondiale. L'Algérie participera avec douze (12) productions dans différentes catégories.
Garagouz et Khouya de Abdenour Zahzah et Yannis Koussim, respectivement, seront en lice dans la catégorie courts métrages, alors que dans la section documentaires, l'on retrouvera deux autres productions algériennes : Le docker noir, Sembene Ousmane de Fatma-Zohra Zaamoum et Dans le silence, je sens rouler terre de Lakhdar Tati. Fespaco 2011 a enregistré au 31 octobre 2010, date officielle de clôture des inscriptions, 475 demandes toutes catégories confondues, alors que les prévisions des organisateurs tournaient autour de 300, a été considéré comme "un indice du développement de la production cinématographique africaine" et une marque d'intérêt croissant pour le festival. sélection de la 22e édition de la biennale de Ouagadougou propose un regard très large sur l'ensemble du continent avec toutefois une prédominance, les films retenus, du cinéma du Maghreb et de l'Afrique de l'Ouest.
Les principaux thèmes traités par les films admis pour cette édition autour de la valorisation de l'histoire et du patrimoine culturel, et la bonne gouvernance ainsi que l'immigration ainsi avec deux longs métrages pour l'Etalon d'or Yennenga, la plus haute distinction du festival : Essaha, une comédie musicale Ouzid, et Voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul. Courts-métrages, deux productions algériennes sont , à savoir Garagouz d'Abdenour Zahzah et Khouya de Yanis Koussim.
Dans le silence, je sens rouler la terre de Lakhdar Tati, et Le docker noir, Sembene Ousmane, de Fatma-Zohra Zaamoum, représenteront l'Algérie pour la compétition officielle de films documentaires. Une seule production concourra, par ailleurs, dans la catégorie des fictions télévisuelles, en l'occurrence Le dernier voyage de Djamel Azizi.
Quatre autres produits algériens seront présentés, en outre, en sélection officielle hors compétition. La première participation de l'Algérie au Fespaco date de 1970, lors de la 2e édition du Festival. Depuis, l'Algérie n'a presque jamais manqué ce rendez-vous panafricain du cinéma et de la télévision. Toutefois, un seul long métrage algérien a décroché l'Etalon d'or de Yennenga édition 1985, L'histoire d'une rencontre de Brahim Tsaki.
Le Mali est le seul pays à avoir décroché 3 Etalons d'or. Le Burkina Faso, le Maroc, la Côte d'Ivoire et la Mauritanie ont été par contre primés chacun deux fois. Au cours de l'édition qui commence samedi prochain, 111 productions sont représentées en compétition officielle et 84 en hors compétition.
Le pays organisateur (le Burkina Faso) et le Maroc participent avec le plus grand nombre de longs métrages, à raison de trois pour chaque pays. L'Algérie, l'Afrique du Sud et l'Egypte participeront chacun avec 2 longs métrages, alors que cinq autres Etats (Mali, Côte d'Ivoire, Nigéria, Mozambique et Tchad) se présenteront chacun avec un seul long métrage.
APS
Des colloques et des journées d'études sont prévus autour de ce thème générique dans le but de rechercher des solutions pour les problèmes de financement, de production et de diffusion des films de cinéma sur le continent africain. Les 28 nationalités présentes doivent présenter, pendant ce rendez vous bisannuel, 111 films en compétition officielle et 84 en hors compétition, toutes catégories confondues.
Les films en compétition concernent sept catégories (long métrage, court métrage, télé vidéo fiction, série télé vidéo, documentaire, diaspora et les films des écoles africaines de cinéma). En hors compétition, cinq sections sont au programme ("Panorama des cinémas d'Afrique et des Caraïbes, "l'Afrique vue par", "Films du monde", "Séances spéciales" et "Hommages").
Pas moins de 18 longs métrages venant de 11 pays africains, dont deux productions algériennes (Essaha de Dahmane Ouzid et Voyage à Alger de Abdelkrim Bahloul), seront en compétition pour l'Etalon d'or de Yennenga, le plus grand prix du palmarès officiel du festival. Six films dans cette sélection seront présentés en avant-première mondiale. L'Algérie participera avec douze (12) productions dans différentes catégories.
Garagouz et Khouya de Abdenour Zahzah et Yannis Koussim, respectivement, seront en lice dans la catégorie courts métrages, alors que dans la section documentaires, l'on retrouvera deux autres productions algériennes : Le docker noir, Sembene Ousmane de Fatma-Zohra Zaamoum et Dans le silence, je sens rouler terre de Lakhdar Tati. Fespaco 2011 a enregistré au 31 octobre 2010, date officielle de clôture des inscriptions, 475 demandes toutes catégories confondues, alors que les prévisions des organisateurs tournaient autour de 300, a été considéré comme "un indice du développement de la production cinématographique africaine" et une marque d'intérêt croissant pour le festival. sélection de la 22e édition de la biennale de Ouagadougou propose un regard très large sur l'ensemble du continent avec toutefois une prédominance, les films retenus, du cinéma du Maghreb et de l'Afrique de l'Ouest.
Les principaux thèmes traités par les films admis pour cette édition autour de la valorisation de l'histoire et du patrimoine culturel, et la bonne gouvernance ainsi que l'immigration ainsi avec deux longs métrages pour l'Etalon d'or Yennenga, la plus haute distinction du festival : Essaha, une comédie musicale Ouzid, et Voyage à Alger d'Abdelkrim Bahloul. Courts-métrages, deux productions algériennes sont , à savoir Garagouz d'Abdenour Zahzah et Khouya de Yanis Koussim.
Dans le silence, je sens rouler la terre de Lakhdar Tati, et Le docker noir, Sembene Ousmane, de Fatma-Zohra Zaamoum, représenteront l'Algérie pour la compétition officielle de films documentaires. Une seule production concourra, par ailleurs, dans la catégorie des fictions télévisuelles, en l'occurrence Le dernier voyage de Djamel Azizi.
Quatre autres produits algériens seront présentés, en outre, en sélection officielle hors compétition. La première participation de l'Algérie au Fespaco date de 1970, lors de la 2e édition du Festival. Depuis, l'Algérie n'a presque jamais manqué ce rendez-vous panafricain du cinéma et de la télévision. Toutefois, un seul long métrage algérien a décroché l'Etalon d'or de Yennenga édition 1985, L'histoire d'une rencontre de Brahim Tsaki.
Le Mali est le seul pays à avoir décroché 3 Etalons d'or. Le Burkina Faso, le Maroc, la Côte d'Ivoire et la Mauritanie ont été par contre primés chacun deux fois. Au cours de l'édition qui commence samedi prochain, 111 productions sont représentées en compétition officielle et 84 en hors compétition.
Le pays organisateur (le Burkina Faso) et le Maroc participent avec le plus grand nombre de longs métrages, à raison de trois pour chaque pays. L'Algérie, l'Afrique du Sud et l'Egypte participeront chacun avec 2 longs métrages, alors que cinq autres Etats (Mali, Côte d'Ivoire, Nigéria, Mozambique et Tchad) se présenteront chacun avec un seul long métrage.
APS


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