Les pouvoirs publics ont décidé d'effacer les pénalités de retard dues au non remboursement par les opérateurs économiques des crédits octroyés dans le cadre du Plan national de développement agricole et rural (PNDRA) entre 2000 et 2008, a indiqué, hier, le ministre en charge du secteur, M. Rachid Benaïssa. L'Etat a décidé également de rééchelonner leurs dettes contractées auprès de la Banque de l'agriculture et du développement rural (BADR), a précisé le ministre en marge d'une réunion des cadres destinée à la mise en œuvre des dernières décisions du Conseil des ministres. M. Benaïssa répondait à la presse qui l'interrogeait sur l'exclusion de ces investisseurs des mesures d'effacement de la dette des agriculteurs et des éleveurs annoncées en février 2009 par le président de la République pour un total de 41 milliards DA. Le ministre a rappelé que ces opérateurs n'étaient pas concerné par la mesure d'effacement de leurs dettes, parce qu'ils avaient bénéficié d'un soutien de l'Etat pour leurs investissements. En plus d'un crédit bancaire, ces opérateurs ont bénéficié d'une aide de l'Etat à hauteur de 400 millions de centimes pour installer, entre autres, des huileries, des chambres froides et des activités avicoles. M. Benaïssa a fait savoir que ces opérateurs pouvaient également bénéficier des différents dispositifs d'aide et d'accompagnement mis en place par l'Etat. Il a rappelé que 37 milliards DA sur les 41 milliards ont été effacés à ce jour, touchant plus de 77.000 agriculteurs. APS Les pouvoirs publics ont décidé d'effacer les pénalités de retard dues au non remboursement par les opérateurs économiques des crédits octroyés dans le cadre du Plan national de développement agricole et rural (PNDRA) entre 2000 et 2008, a indiqué, hier, le ministre en charge du secteur, M. Rachid Benaïssa. L'Etat a décidé également de rééchelonner leurs dettes contractées auprès de la Banque de l'agriculture et du développement rural (BADR), a précisé le ministre en marge d'une réunion des cadres destinée à la mise en œuvre des dernières décisions du Conseil des ministres. M. Benaïssa répondait à la presse qui l'interrogeait sur l'exclusion de ces investisseurs des mesures d'effacement de la dette des agriculteurs et des éleveurs annoncées en février 2009 par le président de la République pour un total de 41 milliards DA. Le ministre a rappelé que ces opérateurs n'étaient pas concerné par la mesure d'effacement de leurs dettes, parce qu'ils avaient bénéficié d'un soutien de l'Etat pour leurs investissements. En plus d'un crédit bancaire, ces opérateurs ont bénéficié d'une aide de l'Etat à hauteur de 400 millions de centimes pour installer, entre autres, des huileries, des chambres froides et des activités avicoles. M. Benaïssa a fait savoir que ces opérateurs pouvaient également bénéficier des différents dispositifs d'aide et d'accompagnement mis en place par l'Etat. Il a rappelé que 37 milliards DA sur les 41 milliards ont été effacés à ce jour, touchant plus de 77.000 agriculteurs. APS