L'ensemble des étudiants des grandes écoles, maintiennent leur mouvement de protestations et menacent même de passer à d'autres actions plus radicales dans le cas de la non prise en charge de leurs doléances dans un délai de trois jours Les étudiants des écoles supérieures à savoir ENSH, ENSA, ENSTP, EPAU, ENP, ENSSMAL, ne semblent pas du tout vouloir baisser les bras après maintenant plus de trois semaines de grève et ils affirment, encore une fois : «Maintenir leurs mouvements de protestations jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications». Ils accordent ainsi «trois jours au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avant de passer à d'autres actions plus radicales dans le cas de la non prise en charge de leurs doléances», explique leur communiqué dont le Midi Libre, détient une copie. Il faut dire qu'après la proposition du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique concernant le débat pour l'élaboration des textes régissant les correspondances entre le système classique et le système LMD, les délégués des grandes écoles «ont tenu une réunion le 28 du mois dernier et après débat objectif», les étudiants se sont engagés à reprendre les cours pendant que leurs délégués participeraient aux dialogues proposés par leur ministère de tutelle, «si et seulement si, le ministère de l'Enseignement supérieur s'engage d'une manière officielle et écrite à prendre en charge toutes nos revendications, tout en assurant la satisfaction de ces derniers», diront les délégués des étudiants dans leur communiqué. Le ministère avait proposé un dialogue conditionné et ce du 27 février au 27 mars», nous dira Hafidh, représentant des protestataires rassemblés devant le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, hier à Alger. Des débats pas encore entamés nous explique-t-il parce que : «Nous aussi nous avons nos conditions pour prendre part à ce dialogue dont la participation des délégués élus par les étudiants aux différentes conférences locales, régionales et nationales». «L'ensemble des étudiants des grandes écoles décident de reprendre leurs sit-in devant le siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique jusqu'à ce que les conditions sus-citées soient remplies et comptent aussi maintenir leur grève jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications», précise le communiqué. Pour rappel, M. Haraoubia, ministre de l'Enseignement supérieu et de la Recherche scientifique avait annoncé officiellement, l'annulation du décret présidentielle datant du 17 décembre lequel stipule que le master (BAC + 5) est l'équivalent du magister (BAC+7). Il y a eu aussitôt la levée de boucliers des étudiants de l'ancien système qui protestent contre la dévalorisation de leurs diplômes. Les étudiants des écoles préparatoires sciences et techniques situées à Alger, Oran, Tlemcen et Annaba affirment tenir à leurs revendications qui, en plus de la demande de l'abrogation du décret incriminé ainsi que le refus de la généralisation du système LMD à leurs filières, dénoncent depuis maintenant plus de deux mois, les mauvaises conditions pédagogiques au sein de leurs écoles. C. K. L'ensemble des étudiants des grandes écoles, maintiennent leur mouvement de protestations et menacent même de passer à d'autres actions plus radicales dans le cas de la non prise en charge de leurs doléances dans un délai de trois jours Les étudiants des écoles supérieures à savoir ENSH, ENSA, ENSTP, EPAU, ENP, ENSSMAL, ne semblent pas du tout vouloir baisser les bras après maintenant plus de trois semaines de grève et ils affirment, encore une fois : «Maintenir leurs mouvements de protestations jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications». Ils accordent ainsi «trois jours au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avant de passer à d'autres actions plus radicales dans le cas de la non prise en charge de leurs doléances», explique leur communiqué dont le Midi Libre, détient une copie. Il faut dire qu'après la proposition du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique concernant le débat pour l'élaboration des textes régissant les correspondances entre le système classique et le système LMD, les délégués des grandes écoles «ont tenu une réunion le 28 du mois dernier et après débat objectif», les étudiants se sont engagés à reprendre les cours pendant que leurs délégués participeraient aux dialogues proposés par leur ministère de tutelle, «si et seulement si, le ministère de l'Enseignement supérieur s'engage d'une manière officielle et écrite à prendre en charge toutes nos revendications, tout en assurant la satisfaction de ces derniers», diront les délégués des étudiants dans leur communiqué. Le ministère avait proposé un dialogue conditionné et ce du 27 février au 27 mars», nous dira Hafidh, représentant des protestataires rassemblés devant le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, hier à Alger. Des débats pas encore entamés nous explique-t-il parce que : «Nous aussi nous avons nos conditions pour prendre part à ce dialogue dont la participation des délégués élus par les étudiants aux différentes conférences locales, régionales et nationales». «L'ensemble des étudiants des grandes écoles décident de reprendre leurs sit-in devant le siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique jusqu'à ce que les conditions sus-citées soient remplies et comptent aussi maintenir leur grève jusqu'à satisfaction totale de leurs revendications», précise le communiqué. Pour rappel, M. Haraoubia, ministre de l'Enseignement supérieu et de la Recherche scientifique avait annoncé officiellement, l'annulation du décret présidentielle datant du 17 décembre lequel stipule que le master (BAC + 5) est l'équivalent du magister (BAC+7). Il y a eu aussitôt la levée de boucliers des étudiants de l'ancien système qui protestent contre la dévalorisation de leurs diplômes. Les étudiants des écoles préparatoires sciences et techniques situées à Alger, Oran, Tlemcen et Annaba affirment tenir à leurs revendications qui, en plus de la demande de l'abrogation du décret incriminé ainsi que le refus de la généralisation du système LMD à leurs filières, dénoncent depuis maintenant plus de deux mois, les mauvaises conditions pédagogiques au sein de leurs écoles. C. K.