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The Social Network projeté à Alger
Aux sources du mystère Facebook
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 03 - 2011

La salle El Mougar d'Alger propose depuis le 1er mars 2011 le film «The Social Network» (le réseau social) de David Fincher sur Facebook. Sorti en octobre 2010 ce long-métrage américain de 2 heures qui a été réalisé avec un budget de 40 millions de dollars a drainé en France, 1,8 million de spectateurs et a engrangé 220.801.348 de dollars de recettes dans le monde.
La salle El Mougar d'Alger propose depuis le 1er mars 2011 le film «The Social Network» (le réseau social) de David Fincher sur Facebook. Sorti en octobre 2010 ce long-métrage américain de 2 heures qui a été réalisé avec un budget de 40 millions de dollars a drainé en France, 1,8 million de spectateurs et a engrangé 220.801.348 de dollars de recettes dans le monde.
L'œuvre est adaptée du roman paru en 2009 sous le titre The Accidental Billionaires: The Founding Of Facebook, A Tale of Sex, Money, Genius, and Betrayal de Ben Mezrich. L'ouvrage a été traduit en français aux éditions Max Milo en janvier 2010 sous le titre La revanche d'un solitaire - La véritable histoire du fondateur de Facebook. Sur l'initiative de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), ce film (César 2011 du Meilleur film étranger) sera projeté également le vendredi 4 mars à 14h et 17h, le samedi 5 mars à 14h, le lundi 7 mars à 14H, 17H et 20h, et le lundi 14 mars à 14h.
Les promoteurs du film tablent sur une audience jamais atteinte dans le monde, à savoir quelque chose comme 500 millions de spectateurs, soit le peuple qui utilise Facebook.
«Vous ne pouvez pas avoir 500 millions d'amis sans vous faire quelques ennemis» telle est la bande annonce de ce film qui retrace le parcours de Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, rôle campé par Jesse Eisenberg.
Le film a bien sûr défrayé la chronique en associant l'actuel richissime et patron de Facebook à une histoire d'ambition liée au désir de séduire les femmes et de conquérir du pouvoir. Cette œuvre cinématographique est venue troubler en fait la fête d'un empire financier, l'un des plus phénoménaux au monde. Les responsables de Facebook à coup sûr ne l'aiment pas tellement ce film donne d'eux une image peu reluisante.
Eh bien cet empire a été fondé dans une chambre d'étudiants, pas moins que ça ! L'histoire débute du reste par une déception sentimentale.
En octobre 2003, Mark Zuckerberg, ne gobe pas le rejet dont il est l'objet de la part de sa petite amie. Il va alors pirater le système informatique de l'Université de Harvard, il en tire tous les renseignements qui concernent les étudiantes de son université et les met dans un site qu'il a appelé Facemash.
Ceux qui s'y connectent pourront donc visionner deux photos mises côte à côte, avant de se voir demander de voter pour la plus séduisante. Le succès fut si foudroyant que le site devient source de virus qui finit par détruire le système de Harvard.
Outre qu'on découvre la misogynie du campus, Mark Zuckerberg est accusé d'avoir attenté à la vie privée et violé la sécurité et les droits d'une institution légale. A ce niveau de l'histoire, on est face à un tournant puisque Mark ne tarde pas à créer thefacebook.com, qui va devenir facebook tout court.
Le site se répand d'abord au niveau de Harvard avant de s'élargir aux autres universités des Etats-Unis. Mais les choses ne sont pas aussi simples. Il y a tellement d'intérêts en jeu que beaucoup peuvent revendiquer la paternité de cette invention qui a déjà eu raison de l'amitié liant ses initiateurs.
Mark qui n'a que 23 ans devient ainsi le plus jeune milliardaire du monde, il y apparaît du reste comme un étudiant froid sans scrupules, prêt à trahir sans cesse ses amis les uns après les autres et animé de l'idée de séduire les filles. Ses cartes de visite, à en croire Ben Mezrich, portaient au tout début de Facebook, la mention «je suis P-dg, s...».
Il reste bien entendu que l'histoire raconté par Benzrich lui a été inspiré par les anciens d'Harvard qui en veulent à Marc, ce qui veut dire que les faits racontés pourraient ne pas correspondre aux faits qui se sont réellement passés. L. G.
L'œuvre est adaptée du roman paru en 2009 sous le titre The Accidental Billionaires: The Founding Of Facebook, A Tale of Sex, Money, Genius, and Betrayal de Ben Mezrich. L'ouvrage a été traduit en français aux éditions Max Milo en janvier 2010 sous le titre La revanche d'un solitaire - La véritable histoire du fondateur de Facebook. Sur l'initiative de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), ce film (César 2011 du Meilleur film étranger) sera projeté également le vendredi 4 mars à 14h et 17h, le samedi 5 mars à 14h, le lundi 7 mars à 14H, 17H et 20h, et le lundi 14 mars à 14h.
Les promoteurs du film tablent sur une audience jamais atteinte dans le monde, à savoir quelque chose comme 500 millions de spectateurs, soit le peuple qui utilise Facebook.
«Vous ne pouvez pas avoir 500 millions d'amis sans vous faire quelques ennemis» telle est la bande annonce de ce film qui retrace le parcours de Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, rôle campé par Jesse Eisenberg.
Le film a bien sûr défrayé la chronique en associant l'actuel richissime et patron de Facebook à une histoire d'ambition liée au désir de séduire les femmes et de conquérir du pouvoir. Cette œuvre cinématographique est venue troubler en fait la fête d'un empire financier, l'un des plus phénoménaux au monde. Les responsables de Facebook à coup sûr ne l'aiment pas tellement ce film donne d'eux une image peu reluisante.
Eh bien cet empire a été fondé dans une chambre d'étudiants, pas moins que ça ! L'histoire débute du reste par une déception sentimentale.
En octobre 2003, Mark Zuckerberg, ne gobe pas le rejet dont il est l'objet de la part de sa petite amie. Il va alors pirater le système informatique de l'Université de Harvard, il en tire tous les renseignements qui concernent les étudiantes de son université et les met dans un site qu'il a appelé Facemash.
Ceux qui s'y connectent pourront donc visionner deux photos mises côte à côte, avant de se voir demander de voter pour la plus séduisante. Le succès fut si foudroyant que le site devient source de virus qui finit par détruire le système de Harvard.
Outre qu'on découvre la misogynie du campus, Mark Zuckerberg est accusé d'avoir attenté à la vie privée et violé la sécurité et les droits d'une institution légale. A ce niveau de l'histoire, on est face à un tournant puisque Mark ne tarde pas à créer thefacebook.com, qui va devenir facebook tout court.
Le site se répand d'abord au niveau de Harvard avant de s'élargir aux autres universités des Etats-Unis. Mais les choses ne sont pas aussi simples. Il y a tellement d'intérêts en jeu que beaucoup peuvent revendiquer la paternité de cette invention qui a déjà eu raison de l'amitié liant ses initiateurs.
Mark qui n'a que 23 ans devient ainsi le plus jeune milliardaire du monde, il y apparaît du reste comme un étudiant froid sans scrupules, prêt à trahir sans cesse ses amis les uns après les autres et animé de l'idée de séduire les filles. Ses cartes de visite, à en croire Ben Mezrich, portaient au tout début de Facebook, la mention «je suis P-dg, s...».
Il reste bien entendu que l'histoire raconté par Benzrich lui a été inspiré par les anciens d'Harvard qui en veulent à Marc, ce qui veut dire que les faits racontés pourraient ne pas correspondre aux faits qui se sont réellement passés. L. G.


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