L'Algérie a souhaité lundi dernier à New York que la prochaine conférence de Rio sur le développement durable aboutisse à un programme d'actions concret, doté d'un financement adéquat. Intervenant lors de la réunion du Comité préparatoire de la Conférence des Nations unies sur le développement durable (Conférence Rio+20 en 2012 à Rio de Janeiro), le représentant algérien a indiqué, rapporte l'APS, que la préoccupation majeure de l'Algérie, comme de l'Afrique du Nord en général,sont la désertification et la sécheresse. Pour lui, l'objectif de Rio+20 doit consister aussi à examiner les raisons qui expliqueraient les maigres résultats enregistrés depuis 1992 en matière de lutte contre la désertification et de la promotion du développement durable. Dans ce sens, le représentant de l'Algérie a soutenu que la Conférence ne doit renégocier ni les conclusions ni les principes retenus lors de la Conférence de 1992. Il a également préconisé que les brevets de propriété intellectuelle ne doivent pas devenir un obstacle aux transferts de technologie. La conférence ''Rio+20'', qui marquera le vingtième anniversaire de la première Conférence de l'Onu sur l'environnement et le développement qui a eu lieu à Rio (Sommet de la Terre), aura pour thèmes principaux l'économie verte, considérée comme un concept à l'intersection de l'environnement et de l'économie, et le cadre institutionnel du développement durable. Lors de cette réunion préparatoire, les délégations ont abordé le thème de la promotion de l'économie verte dans le cadre du développement durable et de l'éradication de la pauvreté. A son tour, le secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Sha Zukang, qui est également secrétaire général de la Conférence Rio+20, a expliqué que la création d'une telle économie "devra se faire à partir de la base, et en répondant aux besoins de chaque pays et aux priorités locales". La question du financement des objectifs de développement durable a également été abordée. Le représentant du Népal, qui s'exprimait au nom du Groupe des pays les moins avancés (PMA), a déclaré qu'au nom de l'économie verte, il faudrait encourager les Etats membres à faciliter le transfert effectif des nouvelles technologies environnementales vers les PMA. L'Algérie a souhaité lundi dernier à New York que la prochaine conférence de Rio sur le développement durable aboutisse à un programme d'actions concret, doté d'un financement adéquat. Intervenant lors de la réunion du Comité préparatoire de la Conférence des Nations unies sur le développement durable (Conférence Rio+20 en 2012 à Rio de Janeiro), le représentant algérien a indiqué, rapporte l'APS, que la préoccupation majeure de l'Algérie, comme de l'Afrique du Nord en général,sont la désertification et la sécheresse. Pour lui, l'objectif de Rio+20 doit consister aussi à examiner les raisons qui expliqueraient les maigres résultats enregistrés depuis 1992 en matière de lutte contre la désertification et de la promotion du développement durable. Dans ce sens, le représentant de l'Algérie a soutenu que la Conférence ne doit renégocier ni les conclusions ni les principes retenus lors de la Conférence de 1992. Il a également préconisé que les brevets de propriété intellectuelle ne doivent pas devenir un obstacle aux transferts de technologie. La conférence ''Rio+20'', qui marquera le vingtième anniversaire de la première Conférence de l'Onu sur l'environnement et le développement qui a eu lieu à Rio (Sommet de la Terre), aura pour thèmes principaux l'économie verte, considérée comme un concept à l'intersection de l'environnement et de l'économie, et le cadre institutionnel du développement durable. Lors de cette réunion préparatoire, les délégations ont abordé le thème de la promotion de l'économie verte dans le cadre du développement durable et de l'éradication de la pauvreté. A son tour, le secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Sha Zukang, qui est également secrétaire général de la Conférence Rio+20, a expliqué que la création d'une telle économie "devra se faire à partir de la base, et en répondant aux besoins de chaque pays et aux priorités locales". La question du financement des objectifs de développement durable a également été abordée. Le représentant du Népal, qui s'exprimait au nom du Groupe des pays les moins avancés (PMA), a déclaré qu'au nom de l'économie verte, il faudrait encourager les Etats membres à faciliter le transfert effectif des nouvelles technologies environnementales vers les PMA.