Un crédit sans intérêts, pendant les cinq premières années de sa validité, sera octroyé avant la fin du mois en cours au profit des jeunes investisseurs qui veulent créer de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage sur des terres relevant du domaine privé de l'Etat et sur celles appartenant aux propriétaires privés, a déclaré, hier à Alger, Rachid Benaïssa, ministre de l'Agriculture et du Développement rural. Présidant une journée d'information et de vulgarisation sur les mesures arrêtées en Conseil des ministres et des dispositions de la circulaire interministérielle relatives au dispositif de création de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage ainsi que celles concernant l'insertion des jeunes dans le domaine d'activités agricoles et rurales, M. Benaïssa a déclaré que son département par le biais de la Banque de l'agriculture et du développement rural (BADR) lancera avant la fin de ce mois «un crédit sans intérêt au profit des jeunes et autres désireux de créer de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage» ajoutant « nous sommes en train de finaliser les normes d'application de ce crédit avec la BADR». Indiquant que les bénéficiaires dudit crédit qui ne rembourseraient pas à l'échéance qui est «en étude» et qui devrait être «de 2 ou 3 ans», devront se soumettre à des taux bonifiés. M. Benaïssa a fait entendre qu'ils ne le seront qu'après la cinquième année. «Le taux d'intérêt est bonifié à 1% pour les crédits qui dépassent cinq ans et est à 3% après la septième année», a-t-il précisé. Il a, en outre, fait savoir que ledit crédit n'a pas encore de dénomination mais que cela sera probablement «le crédit du défi». M. Benaïssa a, sur ce dernier point, mis en exergue que «relever le défi de la sécurité alimentaire renforcera notre souveraineté et notre prise de décisions par la création de richesse». Par ailleurs, le ministre a, tout en notant que la politique du renouveau agricole et rural a commencé graduellement depuis 2005, rappelé que plusieurs décisions ont été prises par l'Etat au profit des exploitants agricoles à l'image du crédit «Rfig», lequel est un l'autre crédit à taux d'intérêt 0% pour les agriculteurs et éleveurs exerçant déjà, ainsi que celles concernant l'attribution de la concession de terres en vue de la création d'exploitations agricoles. «On a essayé durant ces deux dernières années de lever tous les obstacles » a-t-il soutenu. Notons que ce crédit, d'un million de dinars par hectare, compte parmi les nouvelles mesures prises par l'Etat pour augmenter la base productive agricole et créer, par ricochet, davantage d'emplois. Un crédit sans intérêts, pendant les cinq premières années de sa validité, sera octroyé avant la fin du mois en cours au profit des jeunes investisseurs qui veulent créer de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage sur des terres relevant du domaine privé de l'Etat et sur celles appartenant aux propriétaires privés, a déclaré, hier à Alger, Rachid Benaïssa, ministre de l'Agriculture et du Développement rural. Présidant une journée d'information et de vulgarisation sur les mesures arrêtées en Conseil des ministres et des dispositions de la circulaire interministérielle relatives au dispositif de création de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage ainsi que celles concernant l'insertion des jeunes dans le domaine d'activités agricoles et rurales, M. Benaïssa a déclaré que son département par le biais de la Banque de l'agriculture et du développement rural (BADR) lancera avant la fin de ce mois «un crédit sans intérêt au profit des jeunes et autres désireux de créer de nouvelles exploitations agricoles et d'élevage» ajoutant « nous sommes en train de finaliser les normes d'application de ce crédit avec la BADR». Indiquant que les bénéficiaires dudit crédit qui ne rembourseraient pas à l'échéance qui est «en étude» et qui devrait être «de 2 ou 3 ans», devront se soumettre à des taux bonifiés. M. Benaïssa a fait entendre qu'ils ne le seront qu'après la cinquième année. «Le taux d'intérêt est bonifié à 1% pour les crédits qui dépassent cinq ans et est à 3% après la septième année», a-t-il précisé. Il a, en outre, fait savoir que ledit crédit n'a pas encore de dénomination mais que cela sera probablement «le crédit du défi». M. Benaïssa a, sur ce dernier point, mis en exergue que «relever le défi de la sécurité alimentaire renforcera notre souveraineté et notre prise de décisions par la création de richesse». Par ailleurs, le ministre a, tout en notant que la politique du renouveau agricole et rural a commencé graduellement depuis 2005, rappelé que plusieurs décisions ont été prises par l'Etat au profit des exploitants agricoles à l'image du crédit «Rfig», lequel est un l'autre crédit à taux d'intérêt 0% pour les agriculteurs et éleveurs exerçant déjà, ainsi que celles concernant l'attribution de la concession de terres en vue de la création d'exploitations agricoles. «On a essayé durant ces deux dernières années de lever tous les obstacles » a-t-il soutenu. Notons que ce crédit, d'un million de dinars par hectare, compte parmi les nouvelles mesures prises par l'Etat pour augmenter la base productive agricole et créer, par ricochet, davantage d'emplois.