Assad Si El Hachimi a indiqué, lors d'une conférence de presse tenue à la Maison de la culture de Tizi-Ouzou, que le choix d'Azeffoun pour le déroulement du festival revêt une grande symbolique. Il se veut un vibrant hommage aux grands artistes enfantés par cette localité à l'image des illustres El Hadj Mhamed El Anka, Boudjemâa El Ankis, Mohamed Hilmi, Rouiched, Hnifa, Fellag, Issiakhem, Djaout, Iguerbouchen… Assad Si El Hachimi a indiqué, lors d'une conférence de presse tenue à la Maison de la culture de Tizi-Ouzou, que le choix d'Azeffoun pour le déroulement du festival revêt une grande symbolique. Il se veut un vibrant hommage aux grands artistes enfantés par cette localité à l'image des illustres El Hadj Mhamed El Anka, Boudjemâa El Ankis, Mohamed Hilmi, Rouiched, Hnifa, Fellag, Issiakhem, Djaout, Iguerbouchen… Assad a aussi expliqué aux journalistes que les préparatifs tirent à leur fin dans cette ville côtière où une mobilisation pour un événement culturel sans précédent a été enregistrée. Selon le conférencier, le mouvement associatif, les autorités locales, les services de la Protection civile et des citoyens à titre individuel n'ont lésiné sur aucun effort pour mettre en place tout le dispositif nécessaire pour la tenue du festival en question. Aujourd'hui, a précisé encore Assad, la ville d'Azeffoun est prête à 100% pour accueillir l'événement qui a bénéficié, en plus d'une subvention de 10 millions de dinars de la part de l'Etat, de plusieurs apports financiers de la part des opérateurs privés en qualité de sponsors. Aucun obstacle politique n'entrave la tenue et l'organisation de ce festival, a laissé comprendre l'orateur qui a parlé de l'aide du ministère de la Culture et ce, depuis son institutionnalisation. Au total, onze productions audiovisuelles en langue amazighe dans ses différentes variantes régionales, seront projetées dans le cadre de la compétition pour l'Olivier d'Or. Il s'agit de courts métrages et de documentaires. L'orateur a déploré l'absence de longs métrages pour cette édition à cause du retard mis dans la réalisation de certains films ayant bénéficié de subventions de la part du ministère de la Culture. Toutefois, avec une grande pointe d'optimisme, Assad a souligné que le court métrage et le documentaire, c'est aussi du cinéma mais, a-t-il insisté, le festival table plus sur la qualité des productions, plus qu'il ne le fait sur le volet quantitatif. Si El Hachimi Assad a informé les journalistes qu'un hommage particulier sera rendu à Tahar Djaout avec la projection d'un documentaire sur ce romancier et poète. Notons que le jury de ce festival qui se tiendra du 19 au 23 mars courant sera présidé par le célèbre réalisateur Mohamed Iftissène. Assad a aussi expliqué aux journalistes que les préparatifs tirent à leur fin dans cette ville côtière où une mobilisation pour un événement culturel sans précédent a été enregistrée. Selon le conférencier, le mouvement associatif, les autorités locales, les services de la Protection civile et des citoyens à titre individuel n'ont lésiné sur aucun effort pour mettre en place tout le dispositif nécessaire pour la tenue du festival en question. Aujourd'hui, a précisé encore Assad, la ville d'Azeffoun est prête à 100% pour accueillir l'événement qui a bénéficié, en plus d'une subvention de 10 millions de dinars de la part de l'Etat, de plusieurs apports financiers de la part des opérateurs privés en qualité de sponsors. Aucun obstacle politique n'entrave la tenue et l'organisation de ce festival, a laissé comprendre l'orateur qui a parlé de l'aide du ministère de la Culture et ce, depuis son institutionnalisation. Au total, onze productions audiovisuelles en langue amazighe dans ses différentes variantes régionales, seront projetées dans le cadre de la compétition pour l'Olivier d'Or. Il s'agit de courts métrages et de documentaires. L'orateur a déploré l'absence de longs métrages pour cette édition à cause du retard mis dans la réalisation de certains films ayant bénéficié de subventions de la part du ministère de la Culture. Toutefois, avec une grande pointe d'optimisme, Assad a souligné que le court métrage et le documentaire, c'est aussi du cinéma mais, a-t-il insisté, le festival table plus sur la qualité des productions, plus qu'il ne le fait sur le volet quantitatif. Si El Hachimi Assad a informé les journalistes qu'un hommage particulier sera rendu à Tahar Djaout avec la projection d'un documentaire sur ce romancier et poète. Notons que le jury de ce festival qui se tiendra du 19 au 23 mars courant sera présidé par le célèbre réalisateur Mohamed Iftissène.