Le rideau tombe ce soir sur la onzième édition du festival national du film amazigh après cinq jours de compétition et d'animation culturelle ayant fait extraire la ville d'Azeffoun de sa monotonie. Cet après midi, l'ensemble des regards seront braqués sur les membres du jury présidé par le célèbre réalisateur Mohamed Iftissen. Les festivaliers mais surtout les réalisateurs participants vivront le moment le plus long de ce festival. Sur onze produits audiovisuels, dont principalement des courts métrages et des documentaires, seul deux seront distingués en se voyant attribués le Prix de l'Olivier d'Or d'une valeur symbolique de 250.000 dinars pour chacun. Il s'agit essentiellement de films mettant en relief la culture algérienne, son histoire, ses traditions mais aussi les problèmes sociaux que vit notre société avec notamment ses endurances et ses souffrances nées de plusieurs facteurs dont celui de l'adaptation difficile mais inévitable à la modernité. Les réalisateurs ont accordé beaucoup d'importance au thème choisi car ils savent, par expérience, que les membres du jury donnent également une priorité à ce critère. Jusqu'à hier soir, les avis étaient partagés concernant la qualité des onze films en compétition. Aucun de ces derniers n'a eu l'unanimité aussi bien du public mais aussi de celle des autres hommes du cinéma invités au festival et des journalistes. Il sera donc difficile de pronostiquer sur le réalisateur qui sera aux anges ce soir. Notons qu'en plus de l'Olivier d'Or du meilleur court métrage, le jury décernera un autre prix au meilleur documentaire ainsi qu'une mention spécial à un troisième film. Le jury aura aussi la liberté de décider s'il va attribuer ou pas des prix à la meilleure interprétation masculine et à la meilleure interprétation féminine. Par ailleurs, rappelons qu'une deuxième compétition a eu lieu à l'occasion de ce festival. Il s'agit de la compétition du panorama amazigh. Plusieurs longs métrages, des courts métrages et des documentaires ont pris part à cette joute. Des prix seront aussi décernés par un deuxième jury présidé par la poétesse Hadjira Oubachir. Des cinéastes corses hôtes d'Azeffoun Beaucoup d'invités au festival du film amazigh sont venus de l'étranger dont le Maroc, la Tunisie, la France, etc. Mais l'invité spécial du festival pour cette onzième édition est la Corse. La délégation de la Corse a été ravie de découvrir la belle région d'Azeffoun où la mer, la montagne et la forêt se côtoient harmonieusement. La délégation est présidée par Danièle Maoudj. Cette dernière a enseigné à l'université de Corse où elle a organisé des rencontres autour de l'identité et des médias, du cinéma et de la littérature méditerranéenne. Danièle Maoudj a aussi cofondé, en 1982, le festival du film des cultures méditerranéennes et en 1986 le collectif anti raciste Ava Basta. Les organisateurs du festival du film amazigh soulignent que cette onzième édition donne un coup de projecteur sur un cinéma corse encore à la croisée des chemins. Les organisateurs ont proposé au public en partenariat avec la cinémathèque Corse, de FR3-Corse et de Ghjenti un panorama de la production corse « certes non exhaustif mais qui nous offre des images permettant d'interroger les représentations de la société et sans doute de visionner des correspondances avec la culture amazighe comme l'exil, la géographie, la langue et la culture ». Le rideau tombe ce soir sur la onzième édition du festival national du film amazigh après cinq jours de compétition et d'animation culturelle ayant fait extraire la ville d'Azeffoun de sa monotonie. Cet après midi, l'ensemble des regards seront braqués sur les membres du jury présidé par le célèbre réalisateur Mohamed Iftissen. Les festivaliers mais surtout les réalisateurs participants vivront le moment le plus long de ce festival. Sur onze produits audiovisuels, dont principalement des courts métrages et des documentaires, seul deux seront distingués en se voyant attribués le Prix de l'Olivier d'Or d'une valeur symbolique de 250.000 dinars pour chacun. Il s'agit essentiellement de films mettant en relief la culture algérienne, son histoire, ses traditions mais aussi les problèmes sociaux que vit notre société avec notamment ses endurances et ses souffrances nées de plusieurs facteurs dont celui de l'adaptation difficile mais inévitable à la modernité. Les réalisateurs ont accordé beaucoup d'importance au thème choisi car ils savent, par expérience, que les membres du jury donnent également une priorité à ce critère. Jusqu'à hier soir, les avis étaient partagés concernant la qualité des onze films en compétition. Aucun de ces derniers n'a eu l'unanimité aussi bien du public mais aussi de celle des autres hommes du cinéma invités au festival et des journalistes. Il sera donc difficile de pronostiquer sur le réalisateur qui sera aux anges ce soir. Notons qu'en plus de l'Olivier d'Or du meilleur court métrage, le jury décernera un autre prix au meilleur documentaire ainsi qu'une mention spécial à un troisième film. Le jury aura aussi la liberté de décider s'il va attribuer ou pas des prix à la meilleure interprétation masculine et à la meilleure interprétation féminine. Par ailleurs, rappelons qu'une deuxième compétition a eu lieu à l'occasion de ce festival. Il s'agit de la compétition du panorama amazigh. Plusieurs longs métrages, des courts métrages et des documentaires ont pris part à cette joute. Des prix seront aussi décernés par un deuxième jury présidé par la poétesse Hadjira Oubachir. Des cinéastes corses hôtes d'Azeffoun Beaucoup d'invités au festival du film amazigh sont venus de l'étranger dont le Maroc, la Tunisie, la France, etc. Mais l'invité spécial du festival pour cette onzième édition est la Corse. La délégation de la Corse a été ravie de découvrir la belle région d'Azeffoun où la mer, la montagne et la forêt se côtoient harmonieusement. La délégation est présidée par Danièle Maoudj. Cette dernière a enseigné à l'université de Corse où elle a organisé des rencontres autour de l'identité et des médias, du cinéma et de la littérature méditerranéenne. Danièle Maoudj a aussi cofondé, en 1982, le festival du film des cultures méditerranéennes et en 1986 le collectif anti raciste Ava Basta. Les organisateurs du festival du film amazigh soulignent que cette onzième édition donne un coup de projecteur sur un cinéma corse encore à la croisée des chemins. Les organisateurs ont proposé au public en partenariat avec la cinémathèque Corse, de FR3-Corse et de Ghjenti un panorama de la production corse « certes non exhaustif mais qui nous offre des images permettant d'interroger les représentations de la société et sans doute de visionner des correspondances avec la culture amazighe comme l'exil, la géographie, la langue et la culture ».