Les mesures prises par Israël depuis 1967 concernant la résidence des Palestiniens d'El Qods-Est occupée, leur accès à l'éducation et la santé, ainsi que leur capacité à planifier et développer leurs communautés, ont modifié le statut de la ville sainte, violant le droit international et augmentant leur vulnérabilité, estime un rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) publié ce mercredi. Intitulé "El Qods-Est occupée : les préoccupations humanitaires clés", ce rapport d'une centaine de pages, estime que ces mesures israéliennes ont "accru l'isolement d'El Qods-Est occupée par rapport aux Territoires palestiniens occupés" et que si "ces facteurs de pressions" ne sont pas traités, "la présence des Palestiniens à El Qods-Est occupée est remise en cause à long terme". Selon l'agence onusienne, 14.000 Palestiniens ont vu leur statut de résident d'El Qods-Est occupée résilié par l'occupant israélien depuis 1967. OCHA demande à l'occupant israélien "d'arrêter de révoquer le statut de résidence des résidents palestiniens de la ville sainte, de restaurer la résidence de ceux dont le statut a été révoqué, d'octroyer un statut de résident aux couples et à leurs enfants". Soulevant ensuite le problème des logements des Palestiniens à El Qods-Est occupée, le rapport stipule que "depuis 1967, Israël n'a pas réussi à fournir aux résidents palestiniens de la ville une cadre de planification leur permettant de répondre à leurs besoin de logements de base et de développement". Il relève en particulier que "plus d'un tiers des propriétaires de terres à El Qods-Est occupée ont été expropriés pour construire des colonies israéliennes", alors que "seulement 13% sont consacrés aux constructions palestiniennes, dont une grande partie déjà bâtie". "Ce n'est que dans cette zone limitée que les Palestiniens peuvent demander des permis de construire, et le nombre de permis accordés chaque année ne répond pas aux besoins de logement", indique-t-il encore, soulignant "la grave pénurie de logements" à laquelle les Palestiniens d'El Qods-Est occupée sont confrontés. Les mesures prises par Israël depuis 1967 concernant la résidence des Palestiniens d'El Qods-Est occupée, leur accès à l'éducation et la santé, ainsi que leur capacité à planifier et développer leurs communautés, ont modifié le statut de la ville sainte, violant le droit international et augmentant leur vulnérabilité, estime un rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) publié ce mercredi. Intitulé "El Qods-Est occupée : les préoccupations humanitaires clés", ce rapport d'une centaine de pages, estime que ces mesures israéliennes ont "accru l'isolement d'El Qods-Est occupée par rapport aux Territoires palestiniens occupés" et que si "ces facteurs de pressions" ne sont pas traités, "la présence des Palestiniens à El Qods-Est occupée est remise en cause à long terme". Selon l'agence onusienne, 14.000 Palestiniens ont vu leur statut de résident d'El Qods-Est occupée résilié par l'occupant israélien depuis 1967. OCHA demande à l'occupant israélien "d'arrêter de révoquer le statut de résidence des résidents palestiniens de la ville sainte, de restaurer la résidence de ceux dont le statut a été révoqué, d'octroyer un statut de résident aux couples et à leurs enfants". Soulevant ensuite le problème des logements des Palestiniens à El Qods-Est occupée, le rapport stipule que "depuis 1967, Israël n'a pas réussi à fournir aux résidents palestiniens de la ville une cadre de planification leur permettant de répondre à leurs besoin de logements de base et de développement". Il relève en particulier que "plus d'un tiers des propriétaires de terres à El Qods-Est occupée ont été expropriés pour construire des colonies israéliennes", alors que "seulement 13% sont consacrés aux constructions palestiniennes, dont une grande partie déjà bâtie". "Ce n'est que dans cette zone limitée que les Palestiniens peuvent demander des permis de construire, et le nombre de permis accordés chaque année ne répond pas aux besoins de logement", indique-t-il encore, soulignant "la grave pénurie de logements" à laquelle les Palestiniens d'El Qods-Est occupée sont confrontés.