Les 25 ex-travailleurs de Socothyd, une entreprise spécialisée dans la fabrication du coton hydrophile, aux Issers, à l'est de Boumerdès, n'en démordent pas. Trois d'entre eux en entamés, hier, une grève de la faim illimitée devant le siège de la SGP Gephac, à Hussein Dey, à Alger. Quant au reste des travailleurs, soit 22, ils observent un rassemblement de soutien aux grévistes de la faim devant ladite SGP qui relève du ministère de l'Industrie et des Investissements. Les grévistes réclament leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Ils ont été licenciés par les responsables de l'entreprise suite à une grève illimitée de 56 jours qui a paralysé totalement l'activité au sein de l'usine Socothyd aux Issers en 2006. Contacté par téléphone, un des travailleurs nous a déclaré que « l'administration de la SGP Gephac a refusé de nous recevoir sous prétexte de l'indisponibilité du directeur ». Notre interlocuteur a ajouté que « la semaine écoulée, des responsables de ladite SGP nous ont promis de transmettre nos revendications aux responsables concernés, mais aujourd'hui, ils refusent carrément de nous recevoir ». A l'heure où nous mettons sous presse, l'état de santé des trois grévistes de faim était satisfaisant, mais le pire est à craindre dans les prochains jours. Par ailleurs, il est utile de rappeler que les 25 travailleurs poursuivent depuis plus de deux mois leur rassemblement devant le siège de l'entreprise aux Issers pour réclamer leur réintégration. Au lendemain de la tentative d'immolation de trois travailleurs, le conseil d'administration avait accepté de réintégrer 14 d'entre eux et ce, en application d'une décision de justice datant de 2008. quant aux autres travailleurs, selon le directeur de Socothyd, M. Achaibou, leur cas sera tranché par la Cour suprême. Les 25 ex-travailleurs de Socothyd, une entreprise spécialisée dans la fabrication du coton hydrophile, aux Issers, à l'est de Boumerdès, n'en démordent pas. Trois d'entre eux en entamés, hier, une grève de la faim illimitée devant le siège de la SGP Gephac, à Hussein Dey, à Alger. Quant au reste des travailleurs, soit 22, ils observent un rassemblement de soutien aux grévistes de la faim devant ladite SGP qui relève du ministère de l'Industrie et des Investissements. Les grévistes réclament leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Ils ont été licenciés par les responsables de l'entreprise suite à une grève illimitée de 56 jours qui a paralysé totalement l'activité au sein de l'usine Socothyd aux Issers en 2006. Contacté par téléphone, un des travailleurs nous a déclaré que « l'administration de la SGP Gephac a refusé de nous recevoir sous prétexte de l'indisponibilité du directeur ». Notre interlocuteur a ajouté que « la semaine écoulée, des responsables de ladite SGP nous ont promis de transmettre nos revendications aux responsables concernés, mais aujourd'hui, ils refusent carrément de nous recevoir ». A l'heure où nous mettons sous presse, l'état de santé des trois grévistes de faim était satisfaisant, mais le pire est à craindre dans les prochains jours. Par ailleurs, il est utile de rappeler que les 25 travailleurs poursuivent depuis plus de deux mois leur rassemblement devant le siège de l'entreprise aux Issers pour réclamer leur réintégration. Au lendemain de la tentative d'immolation de trois travailleurs, le conseil d'administration avait accepté de réintégrer 14 d'entre eux et ce, en application d'une décision de justice datant de 2008. quant aux autres travailleurs, selon le directeur de Socothyd, M. Achaibou, leur cas sera tranché par la Cour suprême.