«Nous étudions les propositions des opérateurs économiques jordaniens dans le secteur des services qui est un secteur sensible sachant que le rôle joué est important dans le développement économique de l'Algérie et de la Jordanie. En effet, le rôle des services dans le plan quinquennal actuel doté de 285 milliards dollars peut attirer les hommes jordaniens » a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le représentant du ministre du Commerce, M. Medjahed, à l'ouverture des travaux du premier forum de partenariat algéro-jordanien dans le secteur des services. Il estime que les hommes d'affaires de Jordanie spécialisés dans les services connaissent les opportunités existantes dans ce secteur, et doivent par conséquent, se rapprocher des opérateurs économiques algériens pour l'exécution du programme quinquennal. Dès le début des travaux d'hier (et qui vont se poursuivre aujourd'hui), les hommes d'affaires des deux pays (plus de 280 rencontres d'entreprises algériennes et 32 entrepreneurs jordaniens) ont montré un certain engouement et un intérêt particulier pour développer des relations de partenariat et de coopération dans les secteurs stratégiques du consulting, la formation, l'engineering, les technologies de l'information et de la communication, les prestations et la santé.Le gouvernement algérien est prêt à accélérer les échanges commerciaux et les expériences avec une bonne circulation des informations économiques avec la Jordanie sachant que les entreprises jordaniennes possèdent une expertise et que les entreprises algériennes sont également arrivées à un niveau élevé de technologie et de savoir-faire. D'où la complémentarité dans le partenariat et dont le représentant de Mustapha Benbada souhaite que ces rencontres entre les hommes d'affaires des deux pays soient couronnées par un coup d'accélérateur pour dynamiser le partenariat.Pour sa part, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) Tahar Kellil, a affirmé que « les investisseurs jordaniens ont une véritable opportunité d'investissement en Algérie à tous les niveaux tant il y existe les ressources naturelles, l'engineering, le savoir-faire humain et la stabilité économique et financière». Les marchés maghrébin, africain et européen sont intéressants, selon lui, alors que le programme de construction des infrastructures entamé en 2009 prévoit la réalisation de nombreux logements, ports et aéroports avec une enveloppe financière de l'ordre de plus de 280 milliards dollars. Aussi, il estime que l'environnement économique est viable et le climat des affaires excellent en Algérie. La santé, les services et l'engineering : créneaux privilégiés Ces atouts vont attirer les investisseurs jordaniens, d'autant plus que des conventions d'accords existent déjà entre la Caci et l'Association des exportateurs jordaniens et l'union des chambres de commerce et industrielle de Jordanie. Cela conforte donc la volonté des deux délégations d'intensifier les échanges économiques et commerciaux à un niveau comparable à celui en vigueur dans les pays arabes, selon Kellil. Les membres de la mission jordanienne sont également actifs et entreprenants puisqu'ils réalisent d'importants efforts pour sceller la coopération bilatérale, en ce sens que le vice-président de la Chambre de commerce et d'industrie de Jordanie et représentant des secteurs pharmaceutique et de la santé, a plaidé pour le renforcement du partenariat et de la coopération dans le secteur des services qui comportent d'importantes capacités et opportunités d'investissement. Aussi, le responsable de la corporation et de l'entreprise jordanienne de développement, Yarub Qudah, a mis en relief la nécessité d'instaurer un marché algéro-jordanien dans le secteur des services, notamment, pour permettre aux produits et marchandises algériens de conquérir les marchés palestinien et irakien où les produits d'origine jordanienne sont bien prisés et commercialisés. « Il s'agit de trouver une coopération avec les opérateurs économiques algériens et mettre en place un partenariat gagnant-gagnant pour percer dans les marchés arabe et africain. Nous pouvons développer un partenariat dans les secteurs de la santé (lus 100 hôpitaux en Jordanie dont 60 privés et plus de 250 000 malades étrangers se sont soignés en Jordanie en 2010 ayant généré plus de 500 millions d'euros) des TIC, le consulting et la formation». Les 32 entreprises jordaniennes présentes à ce forum sont réparties dans les secteurs des technologies de l'information et de la communication (12 entreprises), conseil et formation (11PME), l'architecture et l'engineering (6 PME) et le santé et les services (3 PME). «Nous étudions les propositions des opérateurs économiques jordaniens dans le secteur des services qui est un secteur sensible sachant que le rôle joué est important dans le développement économique de l'Algérie et de la Jordanie. En effet, le rôle des services dans le plan quinquennal actuel doté de 285 milliards dollars peut attirer les hommes jordaniens » a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le représentant du ministre du Commerce, M. Medjahed, à l'ouverture des travaux du premier forum de partenariat algéro-jordanien dans le secteur des services. Il estime que les hommes d'affaires de Jordanie spécialisés dans les services connaissent les opportunités existantes dans ce secteur, et doivent par conséquent, se rapprocher des opérateurs économiques algériens pour l'exécution du programme quinquennal. Dès le début des travaux d'hier (et qui vont se poursuivre aujourd'hui), les hommes d'affaires des deux pays (plus de 280 rencontres d'entreprises algériennes et 32 entrepreneurs jordaniens) ont montré un certain engouement et un intérêt particulier pour développer des relations de partenariat et de coopération dans les secteurs stratégiques du consulting, la formation, l'engineering, les technologies de l'information et de la communication, les prestations et la santé.Le gouvernement algérien est prêt à accélérer les échanges commerciaux et les expériences avec une bonne circulation des informations économiques avec la Jordanie sachant que les entreprises jordaniennes possèdent une expertise et que les entreprises algériennes sont également arrivées à un niveau élevé de technologie et de savoir-faire. D'où la complémentarité dans le partenariat et dont le représentant de Mustapha Benbada souhaite que ces rencontres entre les hommes d'affaires des deux pays soient couronnées par un coup d'accélérateur pour dynamiser le partenariat.Pour sa part, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) Tahar Kellil, a affirmé que « les investisseurs jordaniens ont une véritable opportunité d'investissement en Algérie à tous les niveaux tant il y existe les ressources naturelles, l'engineering, le savoir-faire humain et la stabilité économique et financière». Les marchés maghrébin, africain et européen sont intéressants, selon lui, alors que le programme de construction des infrastructures entamé en 2009 prévoit la réalisation de nombreux logements, ports et aéroports avec une enveloppe financière de l'ordre de plus de 280 milliards dollars. Aussi, il estime que l'environnement économique est viable et le climat des affaires excellent en Algérie. La santé, les services et l'engineering : créneaux privilégiés Ces atouts vont attirer les investisseurs jordaniens, d'autant plus que des conventions d'accords existent déjà entre la Caci et l'Association des exportateurs jordaniens et l'union des chambres de commerce et industrielle de Jordanie. Cela conforte donc la volonté des deux délégations d'intensifier les échanges économiques et commerciaux à un niveau comparable à celui en vigueur dans les pays arabes, selon Kellil. Les membres de la mission jordanienne sont également actifs et entreprenants puisqu'ils réalisent d'importants efforts pour sceller la coopération bilatérale, en ce sens que le vice-président de la Chambre de commerce et d'industrie de Jordanie et représentant des secteurs pharmaceutique et de la santé, a plaidé pour le renforcement du partenariat et de la coopération dans le secteur des services qui comportent d'importantes capacités et opportunités d'investissement. Aussi, le responsable de la corporation et de l'entreprise jordanienne de développement, Yarub Qudah, a mis en relief la nécessité d'instaurer un marché algéro-jordanien dans le secteur des services, notamment, pour permettre aux produits et marchandises algériens de conquérir les marchés palestinien et irakien où les produits d'origine jordanienne sont bien prisés et commercialisés. « Il s'agit de trouver une coopération avec les opérateurs économiques algériens et mettre en place un partenariat gagnant-gagnant pour percer dans les marchés arabe et africain. Nous pouvons développer un partenariat dans les secteurs de la santé (lus 100 hôpitaux en Jordanie dont 60 privés et plus de 250 000 malades étrangers se sont soignés en Jordanie en 2010 ayant généré plus de 500 millions d'euros) des TIC, le consulting et la formation». Les 32 entreprises jordaniennes présentes à ce forum sont réparties dans les secteurs des technologies de l'information et de la communication (12 entreprises), conseil et formation (11PME), l'architecture et l'engineering (6 PME) et le santé et les services (3 PME).