Troquant sa casquette de Premier ministre l'espace d'une réunion avec les cadres de son parti, le secrétaire général du RND, M. Ahmed Ouyahia a, dans un point de presse, tenu à revenir sur plusieurs questions alimentant l'actualité nationale et même internationale en confirmant, encore une fois, les affirmations qu'il avait évoquées lors de son passage dans une émission de la télévision algériennne il y a un peu plus d'une semaine. Troquant sa casquette de Premier ministre l'espace d'une réunion avec les cadres de son parti, le secrétaire général du RND, M. Ahmed Ouyahia a, dans un point de presse, tenu à revenir sur plusieurs questions alimentant l'actualité nationale et même internationale en confirmant, encore une fois, les affirmations qu'il avait évoquées lors de son passage dans une émission de la télévision algériennne il y a un peu plus d'une semaine. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique, mais néanmoins Premier ministre, s'est départi, hier à l'occasion de la tenue d'une conférence de presse qu'il a animée à Alger à l'issue de la clôture de la réunion du Bureau national du parti, des chiffres et des longues tirades pour expliquer la situation politique et social du pays. Bref et concis dans ses réponses aux journalistes, le secrétaire général du RND a réitéré sa conviction que la crise que traverse l'Algérie "n'est pas une crise politique". Pour le premier responsable du RND, les réformes politiques ne sont pas liées aux évènements de janvier dernier, tout au contraire "la poursuite d'un processus" annoncé en 2008, par le président de la République. Ahmed Ouyahia avoue ne pas savoir ce que va proposer le chef de l'Etat, mais souligne que le RND est contre le régime parlementaire et révèle qu'aucun parti politique n'a été consulté par le chef de l'Etat sur cette question et dit ne pas savoir le timing du président de la République. Ahmed Ouyahia est revenu sur les émeutes de janvier dernier s'interrogeant sur les bénéficiaires de la situation. Le secrétaire général du RND donne la réponse. Ce sont les lobbys, et à Ahmed Ouyahia d'exprimer ses craintes à la prise du pouvoir des puissances de l'argent si ce n'est déja fait. M. Ouyahia avoue que ces lobbys ont eu ce qu'ils voulaient. Pour les revendications salariales, le secrétaire général du RND fait savoir que les enseignants ont eu leurs statuts et régimes indemnitaires et les autres suivront et souligne que même s'ils sont légitimes, les fortes augmentations de salaires risquent "de couler l'entreprise. ll pense qu'il n'y a pas de discrimination dans l'octroi de logement et estime que cela donne un espoir aux jeunes qui constituent 65% de la population. Pour ce qui est des évènements dans le Monde arabe, le secrétaire général du RND estime que la sphère arabe fait face à un évènement soixante huitard et avoue l'impuissance de l'UMA dont le président passe un mauvais quart d'heure. "Nous n'accepterons pas qu'un Algérien meurt pour un autre pays que l'Algérie, rappelant que l'Algérie a combattu seule le terrorisme et que la leçon a été apprise. Nous ne sommes pas prêts à faire la guerre à la planète, se justifie Ahmed Ouyahia à propos de la Libye, et déclare que nous n'avons pas à prendre position pour une partie contre une autre. Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique, mais néanmoins Premier ministre, s'est départi, hier à l'occasion de la tenue d'une conférence de presse qu'il a animée à Alger à l'issue de la clôture de la réunion du Bureau national du parti, des chiffres et des longues tirades pour expliquer la situation politique et social du pays. Bref et concis dans ses réponses aux journalistes, le secrétaire général du RND a réitéré sa conviction que la crise que traverse l'Algérie "n'est pas une crise politique". Pour le premier responsable du RND, les réformes politiques ne sont pas liées aux évènements de janvier dernier, tout au contraire "la poursuite d'un processus" annoncé en 2008, par le président de la République. Ahmed Ouyahia avoue ne pas savoir ce que va proposer le chef de l'Etat, mais souligne que le RND est contre le régime parlementaire et révèle qu'aucun parti politique n'a été consulté par le chef de l'Etat sur cette question et dit ne pas savoir le timing du président de la République. Ahmed Ouyahia est revenu sur les émeutes de janvier dernier s'interrogeant sur les bénéficiaires de la situation. Le secrétaire général du RND donne la réponse. Ce sont les lobbys, et à Ahmed Ouyahia d'exprimer ses craintes à la prise du pouvoir des puissances de l'argent si ce n'est déja fait. M. Ouyahia avoue que ces lobbys ont eu ce qu'ils voulaient. Pour les revendications salariales, le secrétaire général du RND fait savoir que les enseignants ont eu leurs statuts et régimes indemnitaires et les autres suivront et souligne que même s'ils sont légitimes, les fortes augmentations de salaires risquent "de couler l'entreprise. ll pense qu'il n'y a pas de discrimination dans l'octroi de logement et estime que cela donne un espoir aux jeunes qui constituent 65% de la population. Pour ce qui est des évènements dans le Monde arabe, le secrétaire général du RND estime que la sphère arabe fait face à un évènement soixante huitard et avoue l'impuissance de l'UMA dont le président passe un mauvais quart d'heure. "Nous n'accepterons pas qu'un Algérien meurt pour un autre pays que l'Algérie, rappelant que l'Algérie a combattu seule le terrorisme et que la leçon a été apprise. Nous ne sommes pas prêts à faire la guerre à la planète, se justifie Ahmed Ouyahia à propos de la Libye, et déclare que nous n'avons pas à prendre position pour une partie contre une autre.