Aïda Guechoud, qui fut l'une des actrices principales du feuilleton myhique El Hariq (L'incendie) réalisé par feu Mustapha Badie dans les années 70, a revisité samedi le village de Beni Boublène (Tlemcen). Aujourd'hui âgée de 58 ans, Aïda a été très émue lorsqu'elle a foulé, 29 ans après le premier coup de manivelle de ce feuilleton, le sol de cette dechra historique située dans la périphérie sud de la ville de Tlemcen, qui constitue un des nombreux repères de l'histoire de la guerre de Libération nationale. A peine arrivée dans ce village, l'actrice, qui se trouve à Tlemcen avec la troupe théâtrale de Skikda dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique", a tenu à boire de l'eau fraîche qui déborde de sa fontaine publique. Tout en larmes, elle se rappelle des personnes avec lesquelles elle avait travaillé alors qu'elle n'avait que 17 ans, à l'instar du défunt réalisateur Mustapha Badie, qu'elle considère comme son père, Omar, Lla Aïni (superbement campé par Chafia Boudraâ) et bien d'autres acteurs et actrices qu'elle avait connus dans ce village durant le tournage. Cette virée, organisée à l'initiative du département de la communication de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique" lui a permis de faire une rétrospective de son premier passage à Tlemcen et des conditions de déroulement du tournage de ce feuilleton adapté du célèbre roman de Mohamed Dib. Tout en se rappelant les cascades d'El Ourit, le village d'Aïn Houtz et plusieurs autres endroits où elle avait tourné, elle a tenu encore une fois à remercier les gens de Béni Boublène pour leur hospitalité et leur grande générosité et les responsables du département de la communication de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011" qui lui ont permis de revivre sa jeunesse. Aïda, qui est aujourd'hui grand-mère a à son actif près d'une centaine de films dont le dernier Les ailes brisées où elle a partagé les rôles avec Sid-Ali Kouiret. Actuellement, elle aide à la formation des jeunes comédiens et comédiennes du Théâtre régional de Skikda avec lesquels elle partage beaucoup de bonheur, selon elle. Aïda Guechoud, qui fut l'une des actrices principales du feuilleton myhique El Hariq (L'incendie) réalisé par feu Mustapha Badie dans les années 70, a revisité samedi le village de Beni Boublène (Tlemcen). Aujourd'hui âgée de 58 ans, Aïda a été très émue lorsqu'elle a foulé, 29 ans après le premier coup de manivelle de ce feuilleton, le sol de cette dechra historique située dans la périphérie sud de la ville de Tlemcen, qui constitue un des nombreux repères de l'histoire de la guerre de Libération nationale. A peine arrivée dans ce village, l'actrice, qui se trouve à Tlemcen avec la troupe théâtrale de Skikda dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique", a tenu à boire de l'eau fraîche qui déborde de sa fontaine publique. Tout en larmes, elle se rappelle des personnes avec lesquelles elle avait travaillé alors qu'elle n'avait que 17 ans, à l'instar du défunt réalisateur Mustapha Badie, qu'elle considère comme son père, Omar, Lla Aïni (superbement campé par Chafia Boudraâ) et bien d'autres acteurs et actrices qu'elle avait connus dans ce village durant le tournage. Cette virée, organisée à l'initiative du département de la communication de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique" lui a permis de faire une rétrospective de son premier passage à Tlemcen et des conditions de déroulement du tournage de ce feuilleton adapté du célèbre roman de Mohamed Dib. Tout en se rappelant les cascades d'El Ourit, le village d'Aïn Houtz et plusieurs autres endroits où elle avait tourné, elle a tenu encore une fois à remercier les gens de Béni Boublène pour leur hospitalité et leur grande générosité et les responsables du département de la communication de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011" qui lui ont permis de revivre sa jeunesse. Aïda, qui est aujourd'hui grand-mère a à son actif près d'une centaine de films dont le dernier Les ailes brisées où elle a partagé les rôles avec Sid-Ali Kouiret. Actuellement, elle aide à la formation des jeunes comédiens et comédiennes du Théâtre régional de Skikda avec lesquels elle partage beaucoup de bonheur, selon elle.