Les cours du pétrole se repliaient un peu, hier, en cours d'échanges européens, après de nouveaux développements en Libye qui apaisaient quelque peu les inquiétudes. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai ressortait à 125,99 dollars, en baisse de 66 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance reculait de 46 cents à 112,33 dollars. En début d'échanges asiatiques, le Brent est monté jusqu'à 127,02 dollars, un sommet depuis le 1er août 2008, tandis que le WTI atteignait 113,46 dollars, son plus haut niveau depuis septembre 2008. Les cours du baril, qui avaient engrangé plus de 7 dollars (+6,3%) la semaine passée à Londres, ont cependant rapidement effacé leurs gains, les investisseurs s'assurant quelques bénéfices alors que s'apaisaient quelque peu les inquiétudes sur la Libye et le Nigeria. Le colonel Kadhafi a accepté dimanche une "feuille de route" visant à trouver une issue pacifique au conflit en Libye, proposée par une délégation de l'Union africaine (UA). De même, "la nervosité du marché (quant à la situation au Nigeria) s'est un peu calmée aujourd'hui, alors qu'une première étape du processus électoral dans le pays a été franchie cette semaine", assuraient les analystes. Par ailleurs, les observateurs scruteront les rapports mensuels de l'Agence internationale de (AIE) et de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), tous deux publiés mardi. Les cours du pétrole se repliaient un peu, hier, en cours d'échanges européens, après de nouveaux développements en Libye qui apaisaient quelque peu les inquiétudes. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai ressortait à 125,99 dollars, en baisse de 66 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance reculait de 46 cents à 112,33 dollars. En début d'échanges asiatiques, le Brent est monté jusqu'à 127,02 dollars, un sommet depuis le 1er août 2008, tandis que le WTI atteignait 113,46 dollars, son plus haut niveau depuis septembre 2008. Les cours du baril, qui avaient engrangé plus de 7 dollars (+6,3%) la semaine passée à Londres, ont cependant rapidement effacé leurs gains, les investisseurs s'assurant quelques bénéfices alors que s'apaisaient quelque peu les inquiétudes sur la Libye et le Nigeria. Le colonel Kadhafi a accepté dimanche une "feuille de route" visant à trouver une issue pacifique au conflit en Libye, proposée par une délégation de l'Union africaine (UA). De même, "la nervosité du marché (quant à la situation au Nigeria) s'est un peu calmée aujourd'hui, alors qu'une première étape du processus électoral dans le pays a été franchie cette semaine", assuraient les analystes. Par ailleurs, les observateurs scruteront les rapports mensuels de l'Agence internationale de (AIE) et de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), tous deux publiés mardi.