La politique du renouveau rural demeure le meilleur instrument pour la réduction des disparités territoriales a souligné, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa. La politique du renouveau rural demeure le meilleur instrument pour la réduction des disparités territoriales a souligné, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa. L'invité de la Radio nationale a indiqué que « le développement ne peut être durable que s'il touche toutes les zones territoriales sans exclusion, et sans marginalisation aucune ». Le ministre a ainsi rappelé que l'ensemble des investissements de l'Etat et du secteur privé, dans le secteur agricole, sont en synergie pour accélérer le développement des zones rurales, et en faire des espaces de vie socio-économique dynamique. Dans ce sens, il convient de préciser que le secteur de l'agriculture, qui n'est pas le seul à intervenir dans la politique des projets de proximité et de développement rural intégré (PPDRI), mobilise annuellement quelque 60 milliards de dinars. Ce qui ne représente que 40% de ce qui est mis au profit des PPDRI, outre 40 % des contributions à partir des collectivités locales et 20% à partir des autres secteurs hors logement rural. M. Benaïssa a, concernant les projets déjà réalisés et ceux en perspective, déclaré que plus de 2.000 projets ont été mis en œuvre dans ce contexte. Il a, en outre, indiqué que quelque 12.000 projets de PPDRI seront réalisés comme seuil minimal à l'horizon 2014. Selon le ministre, la réalisation des PPDRI devrait toucher quelque 5 à 6 millions d'habitants des zones rurales, directement ou non, grâce aux programmes mis en place par la Direction générale des forêts (DGF) avec le concours des collectivités locales et de la société civile. Il a, pour contrer les lenteurs ayant été constatées dans l'accompagnement administratif de ces actions d'envergure, évoqué l'introduction de certaines mesures de facilitation notamment la création d'une entreprise algérienne de génie rural. Notons, dans ce contexte, que cette dernière est en contrat direct avec la DGF pour prendre en charge rapidement les actions arrêtées au profit des zones rurales au niveau national. Par ailleurs, la valorisation des produits du terroir est l'un des grands créneaux que compte développer le ministère pour fixer les populations rurales, d'une part, et, d'autre part pour développer certains produits de l'agriculture locale, ainsi que les produits dérivés de l'élevage. Pour ce qui est du problème de l'exode rural, M. Benaïssa a évoqué les mesures de facilitation prises pour favoriser les investissements en milieu rural, notamment à travers la création de 500.000 logements ruraux qui ont stabilisé près de 2,5 millions de personnes, en plus de 700.000 logements prévus. L'invité de la Radio nationale a indiqué que « le développement ne peut être durable que s'il touche toutes les zones territoriales sans exclusion, et sans marginalisation aucune ». Le ministre a ainsi rappelé que l'ensemble des investissements de l'Etat et du secteur privé, dans le secteur agricole, sont en synergie pour accélérer le développement des zones rurales, et en faire des espaces de vie socio-économique dynamique. Dans ce sens, il convient de préciser que le secteur de l'agriculture, qui n'est pas le seul à intervenir dans la politique des projets de proximité et de développement rural intégré (PPDRI), mobilise annuellement quelque 60 milliards de dinars. Ce qui ne représente que 40% de ce qui est mis au profit des PPDRI, outre 40 % des contributions à partir des collectivités locales et 20% à partir des autres secteurs hors logement rural. M. Benaïssa a, concernant les projets déjà réalisés et ceux en perspective, déclaré que plus de 2.000 projets ont été mis en œuvre dans ce contexte. Il a, en outre, indiqué que quelque 12.000 projets de PPDRI seront réalisés comme seuil minimal à l'horizon 2014. Selon le ministre, la réalisation des PPDRI devrait toucher quelque 5 à 6 millions d'habitants des zones rurales, directement ou non, grâce aux programmes mis en place par la Direction générale des forêts (DGF) avec le concours des collectivités locales et de la société civile. Il a, pour contrer les lenteurs ayant été constatées dans l'accompagnement administratif de ces actions d'envergure, évoqué l'introduction de certaines mesures de facilitation notamment la création d'une entreprise algérienne de génie rural. Notons, dans ce contexte, que cette dernière est en contrat direct avec la DGF pour prendre en charge rapidement les actions arrêtées au profit des zones rurales au niveau national. Par ailleurs, la valorisation des produits du terroir est l'un des grands créneaux que compte développer le ministère pour fixer les populations rurales, d'une part, et, d'autre part pour développer certains produits de l'agriculture locale, ainsi que les produits dérivés de l'élevage. Pour ce qui est du problème de l'exode rural, M. Benaïssa a évoqué les mesures de facilitation prises pour favoriser les investissements en milieu rural, notamment à travers la création de 500.000 logements ruraux qui ont stabilisé près de 2,5 millions de personnes, en plus de 700.000 logements prévus.