De nombreuses décisions, portant sur la nécessité du dialogue et du travail en commun ont été finalement prises par l'ensemble des acteurs, à savoir les grévistes et leurs tutelles, en l'occurrence l'Enseignement supérieur et la Santé. De nombreuses décisions, portant sur la nécessité du dialogue et du travail en commun ont été finalement prises par l'ensemble des acteurs, à savoir les grévistes et leurs tutelles, en l'occurrence l'Enseignement supérieur et la Santé. Ces décisions ont été prises lors du dernier jour de la conférence nationale des recteurs des facultés de médecine à laquelle les recteurs des facultés des sciences médicales, les représentants des étudiants en médecine, en pharmacie et chirurgie dentaire ainsi que les médecins résidents ont pris part pour exposer leurs préoccupations socioprofessionnelles. Les deux ministres : Rachid Harraoubia et Djamel Ould Abbès, présents à cette conférence, ont parlé du consensus qui s'est dégagé après les recommandations ayant sanctionné les travaux de ladite conférence. M. Harraoubia a indiqué que les rapports de quatre ateliers mis en place «ont été adoptés à l'unanimité à la faveur d'un dialogue de fond entre les étudiants, les professeurs des différentes facultés, les recteurs et les chefs de département». Le ministre a souligné que la prochaine étape consistera «à œuvrer à la mise en œuvre de ces recommandations dans les plus brefs délais», ajoutant que son département « réunira tous les moyens nécessaires à cet effet et les mettra à la disposition du président de la conférence nationale des recteurs des facultés de médecine, Moussa Arrada ». De son côté, Djamel Ould Abbès a exprimé sa satisfaction des recommandations de la conférence, affirmant que « le plus important maintenant est la mise en œuvre de ces décisions ». Il a précisé qu'il a été convenu avec le président de la conférence d'examiner les modalités d'application de ces recommandations lors d'une prochaine rencontre, prévue le 26 avril, et au cours de laquelle sera élaborée une «plateforme de solutions» pour répondre aux revendications des médecins résidents et des étudiants dans les différentes spécialités. Dans ce sens, le responsable s'est engagé à mettre à la disposition des étudiants toutes les structures relevant de son département. Les deux ministres ont également mis l'accent sur l'importance du dialogue «élargi et sérieux» ayant caractérisé les travaux de la rencontre ainsi que la qualité des propositions formulées prenant en compte toutes les normes scientifiques et pédagogiques en vigueur. Ils ont, par ailleurs, salué la concertation entre toutes les parties actives dans le domaine des sciences médicales, ce qui permettrait, ont-ils dit, de trouver des solutions effectives aux questions soulevées et difficultés conjoncturelles des facultés de médecine. Pour rappel, la Conférence nationale des recteurs des facultés de médecine s'est ouverte, dimanche dernier, pour examiner les revendications des étudiants en graduation dans les différentes spécialités des sciences médicales. Les travaux de cette conférence se sont déroulés en quatre ateliers dont 3 consacrés aux études de graduation et 1 aux médecins résidents. Des séances plénières ont également été tenues durant lesquelles les représentants des médecins résidents et des étudiants ont souligné la nécessité de trouver des solutions «urgentes» aux revendications pour contenir la situation, améliorer leurs conditions socioprofessionnelles et la qualité de la formation. Ces décisions ont été prises lors du dernier jour de la conférence nationale des recteurs des facultés de médecine à laquelle les recteurs des facultés des sciences médicales, les représentants des étudiants en médecine, en pharmacie et chirurgie dentaire ainsi que les médecins résidents ont pris part pour exposer leurs préoccupations socioprofessionnelles. Les deux ministres : Rachid Harraoubia et Djamel Ould Abbès, présents à cette conférence, ont parlé du consensus qui s'est dégagé après les recommandations ayant sanctionné les travaux de ladite conférence. M. Harraoubia a indiqué que les rapports de quatre ateliers mis en place «ont été adoptés à l'unanimité à la faveur d'un dialogue de fond entre les étudiants, les professeurs des différentes facultés, les recteurs et les chefs de département». Le ministre a souligné que la prochaine étape consistera «à œuvrer à la mise en œuvre de ces recommandations dans les plus brefs délais», ajoutant que son département « réunira tous les moyens nécessaires à cet effet et les mettra à la disposition du président de la conférence nationale des recteurs des facultés de médecine, Moussa Arrada ». De son côté, Djamel Ould Abbès a exprimé sa satisfaction des recommandations de la conférence, affirmant que « le plus important maintenant est la mise en œuvre de ces décisions ». Il a précisé qu'il a été convenu avec le président de la conférence d'examiner les modalités d'application de ces recommandations lors d'une prochaine rencontre, prévue le 26 avril, et au cours de laquelle sera élaborée une «plateforme de solutions» pour répondre aux revendications des médecins résidents et des étudiants dans les différentes spécialités. Dans ce sens, le responsable s'est engagé à mettre à la disposition des étudiants toutes les structures relevant de son département. Les deux ministres ont également mis l'accent sur l'importance du dialogue «élargi et sérieux» ayant caractérisé les travaux de la rencontre ainsi que la qualité des propositions formulées prenant en compte toutes les normes scientifiques et pédagogiques en vigueur. Ils ont, par ailleurs, salué la concertation entre toutes les parties actives dans le domaine des sciences médicales, ce qui permettrait, ont-ils dit, de trouver des solutions effectives aux questions soulevées et difficultés conjoncturelles des facultés de médecine. Pour rappel, la Conférence nationale des recteurs des facultés de médecine s'est ouverte, dimanche dernier, pour examiner les revendications des étudiants en graduation dans les différentes spécialités des sciences médicales. Les travaux de cette conférence se sont déroulés en quatre ateliers dont 3 consacrés aux études de graduation et 1 aux médecins résidents. Des séances plénières ont également été tenues durant lesquelles les représentants des médecins résidents et des étudiants ont souligné la nécessité de trouver des solutions «urgentes» aux revendications pour contenir la situation, améliorer leurs conditions socioprofessionnelles et la qualité de la formation.