Les deux phénomènes ont-ils tendance à prendre de l'ampleur ? Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales relativise et tente de rassurer les citoyens. Un chiffre, fourni par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales et qui renseigne sur l'ampleur du phénomène : cent cinquante sept cas d'enlèvement ont été traités au cours des dix premiers mois de l'année 2010. Selon le ministre qui répondait à une question orale d'un membre du Conseil de la Nation sur la propagation du phénomène d'enlèvement d'enfants, lors d'une séance plénière au Sénat, tous ces cas « ont connu un heureux dénouement grâce à l'intervention rapide des forces de sécurité ». Daho Ould Kablia dément de manière "catégorique" les allégations selon lesquelles les enlèvements d'enfants sont motivés par le trafic d'organes, assurant que les services de sûreté " n'ont enregistré à ce jour aucun cas de trafic d'organes qu'il s'agisse de cas d'enlèvement d'adultes ou d'enfants. Il accuse certains médias de "l'amplification des faits « et rassure que "ce type de crime n'a pas connu une hausse sensible ». Autre phénomène qui prend de l'ampleur et sur lequel le ministre est revenu, les agressions sexuelles. Les chiffres fournis par le ministre font ressortir une baisse relative en 2010. Selon lui, « les services de sécurité ont enregistré 1.395 cas d'agression sexuelle sur mineurs en 2010 contre 1.660 cas en 2009 ». Il assure dans ce cadre que les services de sécurité ont tout mis en œuvre pour la prévention et la lutte contre ce type de crime "ignoble" indiquant que "cela reste insuffisant sans la contribution effective de la société civile » et il décline « une stratégie globale » de lutte contre le crime que les services de sécurité ont mis en œuvre en 2010. Elle prévoit, a-t-il précisé, « l'organisation, au niveau des établissements éducatifs à travers l'ensemble des wilayas du pays, de campagnes de sensibilisation, de rencontres scientifiques et de portes ouvertes sur les enlèvements et les agressions sexuelles et la conduite à observer dans ces cas ». Selon lui, « le développement et la généralisation de l'Internet conduirait à l'accroissement du nombre de criminels et de victimes d'agressions sexuelles ». Un diagnostic qui « nous appelle à rénover nos méthodes de travail et nos moyens d'intervention », a-t-il plaidé. Les deux phénomènes ont-ils tendance à prendre de l'ampleur ? Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales relativise et tente de rassurer les citoyens. Un chiffre, fourni par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales et qui renseigne sur l'ampleur du phénomène : cent cinquante sept cas d'enlèvement ont été traités au cours des dix premiers mois de l'année 2010. Selon le ministre qui répondait à une question orale d'un membre du Conseil de la Nation sur la propagation du phénomène d'enlèvement d'enfants, lors d'une séance plénière au Sénat, tous ces cas « ont connu un heureux dénouement grâce à l'intervention rapide des forces de sécurité ». Daho Ould Kablia dément de manière "catégorique" les allégations selon lesquelles les enlèvements d'enfants sont motivés par le trafic d'organes, assurant que les services de sûreté " n'ont enregistré à ce jour aucun cas de trafic d'organes qu'il s'agisse de cas d'enlèvement d'adultes ou d'enfants. Il accuse certains médias de "l'amplification des faits « et rassure que "ce type de crime n'a pas connu une hausse sensible ». Autre phénomène qui prend de l'ampleur et sur lequel le ministre est revenu, les agressions sexuelles. Les chiffres fournis par le ministre font ressortir une baisse relative en 2010. Selon lui, « les services de sécurité ont enregistré 1.395 cas d'agression sexuelle sur mineurs en 2010 contre 1.660 cas en 2009 ». Il assure dans ce cadre que les services de sécurité ont tout mis en œuvre pour la prévention et la lutte contre ce type de crime "ignoble" indiquant que "cela reste insuffisant sans la contribution effective de la société civile » et il décline « une stratégie globale » de lutte contre le crime que les services de sécurité ont mis en œuvre en 2010. Elle prévoit, a-t-il précisé, « l'organisation, au niveau des établissements éducatifs à travers l'ensemble des wilayas du pays, de campagnes de sensibilisation, de rencontres scientifiques et de portes ouvertes sur les enlèvements et les agressions sexuelles et la conduite à observer dans ces cas ». Selon lui, « le développement et la généralisation de l'Internet conduirait à l'accroissement du nombre de criminels et de victimes d'agressions sexuelles ». Un diagnostic qui « nous appelle à rénover nos méthodes de travail et nos moyens d'intervention », a-t-il plaidé.