La Russie a rejeté, hier, d'éventuelles résolutions de l'Onu sur la Libye, prévoyant un recours à la force, a-t-on déclaré de source officielle. "Si une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l'ONU mène à une escalade de la guerre civile et prévoit un recours à la force, nous ne pourrons pas la soutenir", a affirmé le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, cité par l'agence RIA Novosti. En revanche, si elle "prévoit la fin immédiate des violences et un appel aux parties en conflit à se mettre à la table des négociations, la Russie la soutiendra entièrement", a-t-il souligné. Moscou s'est montrée critique depuis la mise en œuvre de la résolution onusienne 1973, autorisant l'intervention d'une coalition internationale en Libye et le déclenchement de frappes aériennes. M. Lavrov a estimé notamment que cette intervention risquait de prendre la forme d'une opération "terrestre", un acte "risqué et aux conséquences imprévisibles", a-t-il averti. La Russie a rejeté, hier, d'éventuelles résolutions de l'Onu sur la Libye, prévoyant un recours à la force, a-t-on déclaré de source officielle. "Si une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l'ONU mène à une escalade de la guerre civile et prévoit un recours à la force, nous ne pourrons pas la soutenir", a affirmé le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, cité par l'agence RIA Novosti. En revanche, si elle "prévoit la fin immédiate des violences et un appel aux parties en conflit à se mettre à la table des négociations, la Russie la soutiendra entièrement", a-t-il souligné. Moscou s'est montrée critique depuis la mise en œuvre de la résolution onusienne 1973, autorisant l'intervention d'une coalition internationale en Libye et le déclenchement de frappes aériennes. M. Lavrov a estimé notamment que cette intervention risquait de prendre la forme d'une opération "terrestre", un acte "risqué et aux conséquences imprévisibles", a-t-il averti.