Les Etats-Unis d'Amérique font preuve d'un intérêt particulier envers l'Algérie. Les deux pays entretiennent « une relation très importante », de l'aveu même de la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, attendue en Algérie dans l'année en cours, selon le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Les Etats-Unis d'Amérique font preuve d'un intérêt particulier envers l'Algérie. Les deux pays entretiennent « une relation très importante », de l'aveu même de la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, attendue en Algérie dans l'année en cours, selon le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Mourad Medelci, en visite dans la capitale fédérale américaine, lundi et mardi dernier, a estimé que "ce qui est retenu principalement de cette visite est la consolidation des relations bilatérales qui sont déjà importantes et qui se développent d'une année à une autre". Pour Mourad Medelci, "cette visite s'inscrit dans le cadre de la régularité des consultations entre l'Algérie et les Etats-Unis, qui ont donné également l'occasion à plusieurs responsables américains d'effectuer fréquemment des visites en Algérie". Au sujet de la rencontre qu'il a eue mardi dernier avec Mme Clinton, il a souligné avoir saisi cette occasion pour relever "les efforts engagés par l'Algérie et les Etats-Unis afin de développer la coopération dans les domaines aussi importants que la lutte contre le terrorisme". A ce propos, Hillary Clinton a témoigné que les Etats-Unis sont "très reconnaissants pour l'excellente coopération" dont ils ont bénéficié de l'Algérie en matière de lutte contre ce fléau et de sécurité. Les deux parties se sont concertées sur toutes les questions de l'heure, à savoir la situation en Libye, en Tunisie et dans la sous-région du Sahel ainsi que dans le Maroc ébranlé par un attentat kamikaze signé Aqmi et qui avait fait plusieurs victimes parmi des touristes étrangers. Outre les relations bilatérales, l'entretien avec Mme Clinton a permis au ministre de lui donner un aperçu général sur la situation en Algérie et expliciter le contenu des réformes annoncées par le Président Abdelaziz Bouteflika le 15 avril dernier, dont les objectifs et le calendrier ont été précisés récemment lors d'un conseil des ministres. En prenant connaissance des détails de ce vaste programme de réformes, Mme Clinton l'a considéré d"extrêmement encourageant", a affirmé Mourad Medelci. A l'évidence, la conjoncture politique qui marque actuellement plusieurs pays de la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du nord a été également au menu des entretiens. Sur ce point, Medelci a indiqué que l'Algérie et les Etats-Unis ont exprimé les "mêmes préoccupations à l'égard de la situation en Libye" et qu'ils ont relevé qu'il était "absolument nécessaire qu'un cessez-le-feu soit décidé le plus rapidement possible par l'ensemble des parties concernées". Ceci "afin qu'une solution politique répondant aux aspirations légitimes du peuple libyen puisse se développer et permettre une solution finale à cette crise", a-t-il précisé. Sur la question du Sahara occidental, Mourad Medelci et Hillary Clinton ont "convenu que le devenir de ce dossier soit entre les mains de l'ONU et qu'ils devront encourager et continuer à le faire", rappelant que l'Envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, avait formulé l'espoir que l'année 2011 puisse effectivement enregistrer une reprise des négociations officielles entre les le Front Polisario et le Maroc. La question "a été évoquée sous l'angle de notre conviction qu'il fallait, maintenant, que les deux parties puissent diligenter plus d'efforts pour aboutir, sous l'égide des Nations-Unies, à une solution le plus tôt possible", a insisté le ministre des AE. Mourad Medelci, en visite dans la capitale fédérale américaine, lundi et mardi dernier, a estimé que "ce qui est retenu principalement de cette visite est la consolidation des relations bilatérales qui sont déjà importantes et qui se développent d'une année à une autre". Pour Mourad Medelci, "cette visite s'inscrit dans le cadre de la régularité des consultations entre l'Algérie et les Etats-Unis, qui ont donné également l'occasion à plusieurs responsables américains d'effectuer fréquemment des visites en Algérie". Au sujet de la rencontre qu'il a eue mardi dernier avec Mme Clinton, il a souligné avoir saisi cette occasion pour relever "les efforts engagés par l'Algérie et les Etats-Unis afin de développer la coopération dans les domaines aussi importants que la lutte contre le terrorisme". A ce propos, Hillary Clinton a témoigné que les Etats-Unis sont "très reconnaissants pour l'excellente coopération" dont ils ont bénéficié de l'Algérie en matière de lutte contre ce fléau et de sécurité. Les deux parties se sont concertées sur toutes les questions de l'heure, à savoir la situation en Libye, en Tunisie et dans la sous-région du Sahel ainsi que dans le Maroc ébranlé par un attentat kamikaze signé Aqmi et qui avait fait plusieurs victimes parmi des touristes étrangers. Outre les relations bilatérales, l'entretien avec Mme Clinton a permis au ministre de lui donner un aperçu général sur la situation en Algérie et expliciter le contenu des réformes annoncées par le Président Abdelaziz Bouteflika le 15 avril dernier, dont les objectifs et le calendrier ont été précisés récemment lors d'un conseil des ministres. En prenant connaissance des détails de ce vaste programme de réformes, Mme Clinton l'a considéré d"extrêmement encourageant", a affirmé Mourad Medelci. A l'évidence, la conjoncture politique qui marque actuellement plusieurs pays de la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du nord a été également au menu des entretiens. Sur ce point, Medelci a indiqué que l'Algérie et les Etats-Unis ont exprimé les "mêmes préoccupations à l'égard de la situation en Libye" et qu'ils ont relevé qu'il était "absolument nécessaire qu'un cessez-le-feu soit décidé le plus rapidement possible par l'ensemble des parties concernées". Ceci "afin qu'une solution politique répondant aux aspirations légitimes du peuple libyen puisse se développer et permettre une solution finale à cette crise", a-t-il précisé. Sur la question du Sahara occidental, Mourad Medelci et Hillary Clinton ont "convenu que le devenir de ce dossier soit entre les mains de l'ONU et qu'ils devront encourager et continuer à le faire", rappelant que l'Envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, avait formulé l'espoir que l'année 2011 puisse effectivement enregistrer une reprise des négociations officielles entre les le Front Polisario et le Maroc. La question "a été évoquée sous l'angle de notre conviction qu'il fallait, maintenant, que les deux parties puissent diligenter plus d'efforts pour aboutir, sous l'égide des Nations-Unies, à une solution le plus tôt possible", a insisté le ministre des AE.