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La fin d'une ère ?
Mort de Ben Laden
Publié dans Le Midi Libre le 11 - 05 - 2011

Pour certains, le chef d'Al Qaida n'est pas mort, pour d'autres il continue de hanter les esprits mais surtout il continue de préoccuper les Américains. Les cinq vidéos que le Pentagone a présentées à la télévision ont présenté un Ben Laden avec une barbe grisonnante qu'il teintait lors de ces apparitions lorsqu'il diffusait des communiqués. C'est dire qu'il tenait à tout prix à son image de marque pour l'extérieur lui le redoutable pourfendeur de l'Amérique. Et l'on comprend aisément pourquoi les Etats-Unis ont tenu à présenter ces vidéos, «un acteur vieillissant qui imagine un come-back» pour paraphraser le New-York Times au monde entier. Des vidéos, rappelons-le, qui ont été trouvées lors du raid lancé par le commando américain sur la maison qu'habitait Ben Laden à Abbottabad, au Pakistan. En diffusant ces vidéos les Américains veulent ainsi achever un mythe. Et non pas un martyr.
Pour certains, le chef d'Al Qaida n'est pas mort, pour d'autres il continue de hanter les esprits mais surtout il continue de préoccuper les Américains. Les cinq vidéos que le Pentagone a présentées à la télévision ont présenté un Ben Laden avec une barbe grisonnante qu'il teintait lors de ces apparitions lorsqu'il diffusait des communiqués. C'est dire qu'il tenait à tout prix à son image de marque pour l'extérieur lui le redoutable pourfendeur de l'Amérique. Et l'on comprend aisément pourquoi les Etats-Unis ont tenu à présenter ces vidéos, «un acteur vieillissant qui imagine un come-back» pour paraphraser le New-York Times au monde entier. Des vidéos, rappelons-le, qui ont été trouvées lors du raid lancé par le commando américain sur la maison qu'habitait Ben Laden à Abbottabad, au Pakistan. En diffusant ces vidéos les Américains veulent ainsi achever un mythe. Et non pas un martyr.
Oussama Ben Laden, l'ennemi public numéro un, était le plus recherché au monde, traqué dans chaque coin de la planète depuis dix ans, avec des moyens jamais égalés. On l'avait annoncé au Soudan, entrevu au Sahel, entre le Tchad, le Niger et le Mali, aperçu en Somalie et suspecté même d'être en Libye. Finalement, il n'était pas en Afrique et c'est au Pakistan, pays allié des Américains, que Oussama Ben Laden vivait avec sa famille, dans une paisible résidence entourée d'eau, de verdure et de militaires. Le fondateur d'Al Qaïda, qui aurait orchestré les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, a été tué dans la nuit du 1er au 2 mai par les forces spéciales américaines dans sa cache d'Abbottabad, à une soixantaine de kilomètres de la capitale pakistanaise, Islamabad
Mais pourquoi pas au Sahel?
Parce qu'au-delà de son infinie superficie et de son instabilité politique, il est le repaire de tous les services de renseignements du monde, de contrebandiers prêts à tout vendre, de jeunes désœuvrés et nomades pauvres, de tribus touarègues entre la guerre et la paix, bref, tout sauf un endroit sécurisant. Le Pakistan a une géographie différente, plus difficile à contrôler par satellite que les plaines désertiques du Sahel et les silences y sont une tradition bien ancrée, les relations entre les talibans et les tribus afghano-pakistanaises reposant sur des systèmes sociaux bien plus solides qu'au Sahel. Maintenant que le Pakistan est en quelque sorte dans "l'œil du cyclone" Al-Qaida va-t-elle se redéployer en Afrique ? En ce qui concerne le sort des otages il était directement lié à Ben Laden, en novembre 2010, deux mois après leur enlèvement à Arlit, au Nord du Niger, le chef d'Aqmi, l'Algérien Abdelmalek Droukdel, avait déclaré que «toute forme de négociation à l'avenir sur les otages sera conduite avec personne d'autre que notre Cheikh Oussama ben Laden.» Ben Laden mort, les otages sont toujours aux mains du salafiste Abdelhalim Abou Zeid, maître du Sahel avec l'Algérien Abdelamalek Droudkel. On peut craindre les représailles d'Aqmi, «seule organisation terroriste qui puisse facilement et immédiatement faire quelque chose pour venger sa mort», selon l'Algérien Mohamed Mokeddem, auteur notamment du livre Aqmi, contrebande au nom de l'Islam. Les services américains s'interrogent aussi sur la succession de Ben Laden, soulignant que le communiqué d'Al-Qaeda confirmant sa mort n'a pas mentionné l'Egyptien Ayman al-Zawahiri, jusqu'alors considéré comme «numéro deux» du réseau. Al-Zawahiri «n'est pas populaire dans certains cercles du groupe» souligne-t-on à Washington, et Al-Qaeda ne manque pas d'«alternatives», tels les Libyens Atiyah Abd al-Rahman et Abu Yahya al-Libi, qui «présentent bien» et ont aussi fait leurs preuves sur le terrain. Et Aqmi dans tout cela ? La guerre de succession est ouverte si ce n'est pas le numéro 2 égyptien Ayman al-Zawahiri, cela pourrait être l'un des djihadistes du désert, Abou Zeïd, Droudkel ou Belmokhtar, autre activiste de la région. La nouvelle Al-Qaida sera t elle dirigée par un Africain ?
Les relations américano-pakistanises se tendent, mais ne se rompront pas
Accusé par les Etats Unis d'être le complice ou d'incompétences le Premier ministre pakistanais a qualifié d' «absurdes» les soupçons de complicité … C'est ainsi que le Premier ministre pakistanais, Yousouf Raza Gilani, a qualifié les allégations de complicité ou d'incompétences à l'encontre de son gouvernement. Dimanche dernier le président Obama a déclaré que les Etats-Unis pensaient que Ben Laden avait bénéficié au Pakistan d'«un réseau de soutien, sous une forme ou sous une autre».
Les soupçons, l'opération américaine qui ressemble à une ingérence ou la divulgation du nom du responsable de la CIA au Pakistan engendrent la discorde. Mais si les esprits s'échauffent, Washington et Islamabad ont tout de même besoin l'un de l'autre. Car derrière les tensions autour de Ben Laden, il y a la guerre en Afghanistan, le retrait programmé des forces américaines, et des talibans loin d'être vaincus, les Américains ont besoin d'Islamabad pour organiser leur stratégie de sortie du conflit en Afghanistan. Il leur sera difficile de se priver des intermédiaires pakistanais et de leurs réseaux, pour négocier avec les talibans. Critiqué, notamment par l'opposition, le gouvernement pakistanais a ordonné une enquête sur des complicités. Le président des Etats-Unis s'est étonné d'apprendre que Ben Laden avait pu trouver refuge si longtemps dans un imposant complexe d'Abbottabad, au nord d'Islamabad. "Nous savons qu'il est resté là durant au moins cinq ans", a-t-il dit «Nous sommes évidemment en train de rassembler toutes les informations que nous avons, de les analyser, de les évaluer (...) et nous savons que nous avons la possibilité, même si ce n'est pas encore fini, d'infliger véritablement une défaite au moins à Al Qaïda dans cette région frontalière entre le Pakistan et l'Afghanistan», a poursuivi le président américain. «Cela ne signifie pas que nous vaincrons le terrorisme, cela ne signifie pas qu'Al Qaïda ne s'est pas disséminée dans d'autres régions du monde (...) mais je pense que nous avons vraiment une chance de porter un coup fatal à cette organisation». Le président a suivi l'opération pour neutraliser le cerveau du 11-septembre, en direct depuis la "Situation Room" de la Maison blanche,. Cela lui a paru une éternité "Justice a été faite. Et je pense que toute personne qui s'interroge sur le fait que l'instigateur d'un crime de masse perpétré sur le sol américain n'a pas eu ce qu'il méritait a besoin de se faire examiner", a dit Obama En hausse dans les sondages depuis la mort de "l'ennemi public numéro un des Etats-Unis", le président démocrate, qui briguera un second mandat en 2012, reconnaît que la semaine écoulée "a sans doute été l'une des semaines les plus satisfaisantes non seulement pour ma présidence, mais aussi pour les Etats-Unis depuis que je suis président". Après la saisie des documents par les Américains,Washington et Paris misent sur les documents, disques durs et vidéos récupérés dans la résidence d'Oussama ben Laden au Pakistan pour réduire la menace qui reste élevée après la mort du fondateur d'Al Qaïda car la traque n'est pas terminée.
Le point noir pour l'opposition américaine reste la fermeture de la prison de Guatanamo comme il l'avait promis lors de sa campagne présidentielle et affimé solennelement lors de son investiture et semble resté sur cette position
Oussama Ben Laden, l'ennemi public numéro un, était le plus recherché au monde, traqué dans chaque coin de la planète depuis dix ans, avec des moyens jamais égalés. On l'avait annoncé au Soudan, entrevu au Sahel, entre le Tchad, le Niger et le Mali, aperçu en Somalie et suspecté même d'être en Libye. Finalement, il n'était pas en Afrique et c'est au Pakistan, pays allié des Américains, que Oussama Ben Laden vivait avec sa famille, dans une paisible résidence entourée d'eau, de verdure et de militaires. Le fondateur d'Al Qaïda, qui aurait orchestré les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, a été tué dans la nuit du 1er au 2 mai par les forces spéciales américaines dans sa cache d'Abbottabad, à une soixantaine de kilomètres de la capitale pakistanaise, Islamabad
Mais pourquoi pas au Sahel?
Parce qu'au-delà de son infinie superficie et de son instabilité politique, il est le repaire de tous les services de renseignements du monde, de contrebandiers prêts à tout vendre, de jeunes désœuvrés et nomades pauvres, de tribus touarègues entre la guerre et la paix, bref, tout sauf un endroit sécurisant. Le Pakistan a une géographie différente, plus difficile à contrôler par satellite que les plaines désertiques du Sahel et les silences y sont une tradition bien ancrée, les relations entre les talibans et les tribus afghano-pakistanaises reposant sur des systèmes sociaux bien plus solides qu'au Sahel. Maintenant que le Pakistan est en quelque sorte dans "l'œil du cyclone" Al-Qaida va-t-elle se redéployer en Afrique ? En ce qui concerne le sort des otages il était directement lié à Ben Laden, en novembre 2010, deux mois après leur enlèvement à Arlit, au Nord du Niger, le chef d'Aqmi, l'Algérien Abdelmalek Droukdel, avait déclaré que «toute forme de négociation à l'avenir sur les otages sera conduite avec personne d'autre que notre Cheikh Oussama ben Laden.» Ben Laden mort, les otages sont toujours aux mains du salafiste Abdelhalim Abou Zeid, maître du Sahel avec l'Algérien Abdelamalek Droudkel. On peut craindre les représailles d'Aqmi, «seule organisation terroriste qui puisse facilement et immédiatement faire quelque chose pour venger sa mort», selon l'Algérien Mohamed Mokeddem, auteur notamment du livre Aqmi, contrebande au nom de l'Islam. Les services américains s'interrogent aussi sur la succession de Ben Laden, soulignant que le communiqué d'Al-Qaeda confirmant sa mort n'a pas mentionné l'Egyptien Ayman al-Zawahiri, jusqu'alors considéré comme «numéro deux» du réseau. Al-Zawahiri «n'est pas populaire dans certains cercles du groupe» souligne-t-on à Washington, et Al-Qaeda ne manque pas d'«alternatives», tels les Libyens Atiyah Abd al-Rahman et Abu Yahya al-Libi, qui «présentent bien» et ont aussi fait leurs preuves sur le terrain. Et Aqmi dans tout cela ? La guerre de succession est ouverte si ce n'est pas le numéro 2 égyptien Ayman al-Zawahiri, cela pourrait être l'un des djihadistes du désert, Abou Zeïd, Droudkel ou Belmokhtar, autre activiste de la région. La nouvelle Al-Qaida sera t elle dirigée par un Africain ?
Les relations américano-pakistanises se tendent, mais ne se rompront pas
Accusé par les Etats Unis d'être le complice ou d'incompétences le Premier ministre pakistanais a qualifié d' «absurdes» les soupçons de complicité … C'est ainsi que le Premier ministre pakistanais, Yousouf Raza Gilani, a qualifié les allégations de complicité ou d'incompétences à l'encontre de son gouvernement. Dimanche dernier le président Obama a déclaré que les Etats-Unis pensaient que Ben Laden avait bénéficié au Pakistan d'«un réseau de soutien, sous une forme ou sous une autre».
Les soupçons, l'opération américaine qui ressemble à une ingérence ou la divulgation du nom du responsable de la CIA au Pakistan engendrent la discorde. Mais si les esprits s'échauffent, Washington et Islamabad ont tout de même besoin l'un de l'autre. Car derrière les tensions autour de Ben Laden, il y a la guerre en Afghanistan, le retrait programmé des forces américaines, et des talibans loin d'être vaincus, les Américains ont besoin d'Islamabad pour organiser leur stratégie de sortie du conflit en Afghanistan. Il leur sera difficile de se priver des intermédiaires pakistanais et de leurs réseaux, pour négocier avec les talibans. Critiqué, notamment par l'opposition, le gouvernement pakistanais a ordonné une enquête sur des complicités. Le président des Etats-Unis s'est étonné d'apprendre que Ben Laden avait pu trouver refuge si longtemps dans un imposant complexe d'Abbottabad, au nord d'Islamabad. "Nous savons qu'il est resté là durant au moins cinq ans", a-t-il dit «Nous sommes évidemment en train de rassembler toutes les informations que nous avons, de les analyser, de les évaluer (...) et nous savons que nous avons la possibilité, même si ce n'est pas encore fini, d'infliger véritablement une défaite au moins à Al Qaïda dans cette région frontalière entre le Pakistan et l'Afghanistan», a poursuivi le président américain. «Cela ne signifie pas que nous vaincrons le terrorisme, cela ne signifie pas qu'Al Qaïda ne s'est pas disséminée dans d'autres régions du monde (...) mais je pense que nous avons vraiment une chance de porter un coup fatal à cette organisation». Le président a suivi l'opération pour neutraliser le cerveau du 11-septembre, en direct depuis la "Situation Room" de la Maison blanche,. Cela lui a paru une éternité "Justice a été faite. Et je pense que toute personne qui s'interroge sur le fait que l'instigateur d'un crime de masse perpétré sur le sol américain n'a pas eu ce qu'il méritait a besoin de se faire examiner", a dit Obama En hausse dans les sondages depuis la mort de "l'ennemi public numéro un des Etats-Unis", le président démocrate, qui briguera un second mandat en 2012, reconnaît que la semaine écoulée "a sans doute été l'une des semaines les plus satisfaisantes non seulement pour ma présidence, mais aussi pour les Etats-Unis depuis que je suis président". Après la saisie des documents par les Américains,Washington et Paris misent sur les documents, disques durs et vidéos récupérés dans la résidence d'Oussama ben Laden au Pakistan pour réduire la menace qui reste élevée après la mort du fondateur d'Al Qaïda car la traque n'est pas terminée.
Le point noir pour l'opposition américaine reste la fermeture de la prison de Guatanamo comme il l'avait promis lors de sa campagne présidentielle et affimé solennelement lors de son investiture et semble resté sur cette position


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