Etant cruciale et stratégique pour l'avenir des opérateurs économiques, notamment pour ce qui est de leurs transactions financières avec des firmes et des entreprises étrangères pour les importations de biens et de l'acquisition des équipements nécessaires au fonctionnement de leurs unités de production, la question du crédit documentaire (Credoc) sera la pierre angulaire des discussions de la prochaine réunion tripartite. Etant cruciale et stratégique pour l'avenir des opérateurs économiques, notamment pour ce qui est de leurs transactions financières avec des firmes et des entreprises étrangères pour les importations de biens et de l'acquisition des équipements nécessaires au fonctionnement de leurs unités de production, la question du crédit documentaire (Credoc) sera la pierre angulaire des discussions de la prochaine réunion tripartite. En effet, la question du crédit documentaire (Crédoc) sera décortiquée et longuement discutée lors de la prochaine tripartite, gouvernement-UGTA-patronat, prévue le 28 mai prochain, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. "Je pense que cela (le Crédoc) va être discuté lors da la prochaine tripartite", a déclaré Benmeradi à une question d'un journaliste, en marge d'une séance à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée à la coopération algéro-française, rapporte l'APS. "Les organisations patronales vont poser ce problème avec force", a ajouté le ministre sans plus de détails sur la question. Selon une disposition de loi de finances complémentaire 2009, le Crédoc est leur seul moyen de paiement des importations, une mesure très contestée par les opérateurs économiques publics et privés en raison des lourdeurs enregistrées dans les opérations d'importation. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, avait annoncé mardi dernier que la tripartie se réunira théoriquement le 28 mai pour discuter des thèmes liés directement au domaine économique, notamment l'investissement et les entreprises économiques.L'épineuse question de l'investissement public productif de richesses et d'emplois sera aussi au centre des tractations de cette réunion qui devra également déterminer la forme de l'aide destinée aux entreprises économiques afin d`accroître leurs performances, car en économie de marché, seule la plus-value est prise en considération. Autrement dit, les entreprises défaillantes sont sommées de se mettre à niveau afin d'éviter le gâchis financier et les surcouts inhérents au mauvais fonctionnement. L'organisation de cette tripartite intervient en application des décisions prises par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika lors du dernier Conseil des ministres, avait ajouté Louh. En outre, la tripartite chargée des affaires et dossiers sociaux aura lieu en septembre prochain conformément aux instructions du Chef de l'Etat, selon Louh. Lors de la réunion du Conseil des ministres du 2 mai dernier, le président de la République avait chargé le gouvernement de convier rapidement ses partenaires économiques et sociaux à une concertation tripartite exclusivement consacrée aux voies et moyens de soutenir le développement de l'entreprise et de promouvoir un climat plus propice à l'investissement et à l'activité économique. Les dirigeants d'entreprise et les travailleurs ont fondé d'énormes espoirs dans ces réunions tripartites en vue de hausser la qualité de la vie et améliorer les conditions de vie des citoyens, notamment l'élévation de leur pouvoir d'achat. Cela peut aboutir notamment à réduire la contestation sociale. En effet, la question du crédit documentaire (Crédoc) sera décortiquée et longuement discutée lors de la prochaine tripartite, gouvernement-UGTA-patronat, prévue le 28 mai prochain, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. "Je pense que cela (le Crédoc) va être discuté lors da la prochaine tripartite", a déclaré Benmeradi à une question d'un journaliste, en marge d'une séance à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée à la coopération algéro-française, rapporte l'APS. "Les organisations patronales vont poser ce problème avec force", a ajouté le ministre sans plus de détails sur la question. Selon une disposition de loi de finances complémentaire 2009, le Crédoc est leur seul moyen de paiement des importations, une mesure très contestée par les opérateurs économiques publics et privés en raison des lourdeurs enregistrées dans les opérations d'importation. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, avait annoncé mardi dernier que la tripartie se réunira théoriquement le 28 mai pour discuter des thèmes liés directement au domaine économique, notamment l'investissement et les entreprises économiques.L'épineuse question de l'investissement public productif de richesses et d'emplois sera aussi au centre des tractations de cette réunion qui devra également déterminer la forme de l'aide destinée aux entreprises économiques afin d`accroître leurs performances, car en économie de marché, seule la plus-value est prise en considération. Autrement dit, les entreprises défaillantes sont sommées de se mettre à niveau afin d'éviter le gâchis financier et les surcouts inhérents au mauvais fonctionnement. L'organisation de cette tripartite intervient en application des décisions prises par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika lors du dernier Conseil des ministres, avait ajouté Louh. En outre, la tripartite chargée des affaires et dossiers sociaux aura lieu en septembre prochain conformément aux instructions du Chef de l'Etat, selon Louh. Lors de la réunion du Conseil des ministres du 2 mai dernier, le président de la République avait chargé le gouvernement de convier rapidement ses partenaires économiques et sociaux à une concertation tripartite exclusivement consacrée aux voies et moyens de soutenir le développement de l'entreprise et de promouvoir un climat plus propice à l'investissement et à l'activité économique. Les dirigeants d'entreprise et les travailleurs ont fondé d'énormes espoirs dans ces réunions tripartites en vue de hausser la qualité de la vie et améliorer les conditions de vie des citoyens, notamment l'élévation de leur pouvoir d'achat. Cela peut aboutir notamment à réduire la contestation sociale.