Le Conseil des ministres de la RASD a condamné, dans sa réunion de mercredi dernier, la répression des forces marocaines contre les militants sahraouis des droits humains à l'intérieur des prisons, a rapporté jeudi l'agence de presse sahraouie SPS. Le Conseil des ministres de la RASD a condamné, dans sa réunion de mercredi dernier, la répression des forces marocaines contre les militants sahraouis des droits humains à l'intérieur des prisons, a rapporté jeudi l'agence de presse sahraouie SPS. Réuni sous la présidence du Président Mohamed Abdelaziz, le conseil a signalé que ces répressions se traduisaient par "l'intimidation et le harcèlement et même des assassinats" de citoyens sahraouis innocents et sans défense, précise-t-on. Le conseil a réitéré, à cet effet, son appel à la communauté internationale, afin d'intervenir pour la protection des citoyens sahraouis dans les territoires occupés en général, à travers la création d'un mécanisme onusien chargée de surveiller et de rapporter la situation des droits humains au Sahara occidental. Il a également appelé la communauté à "faire pression sur le gouvernement marocain pour qu'il libère immédiatement et sans condition tous les prisonniers politiques sahraouis des prisons marocaines", rapporte l'agence. Les autorités marocaines sont également sommées de "faire toute la lumière sur le sort des personnes disparues, stopper le pillage des richesses naturelles du Sahara occidental et démanteler le mur de la honte, qui entraîne chaque jour la perte de plus de vies innocentes chez les nomades sahraouis et leur cheptel". Le conseil a en outre, examiné un premier bilan des dommages causés par les pluies et les tempêtes survenues récemment dans les zones libérées au Sahara occidental et qui ont affecté, note SPS, des habitations, des biens et des cheptels de la population sahraouie établie dans ces zones. A cet effet, le gouvernement sahraoui a constitué une commission de crise pour évaluer les dégâts, afin d'élaborer, dans les plus brefs délais, précise-t-on, un plan d'urgence pour apporter l'assistance nécessaire aux personnes et familles affectées par ces catastrophes naturelles. Réuni sous la présidence du Président Mohamed Abdelaziz, le conseil a signalé que ces répressions se traduisaient par "l'intimidation et le harcèlement et même des assassinats" de citoyens sahraouis innocents et sans défense, précise-t-on. Le conseil a réitéré, à cet effet, son appel à la communauté internationale, afin d'intervenir pour la protection des citoyens sahraouis dans les territoires occupés en général, à travers la création d'un mécanisme onusien chargée de surveiller et de rapporter la situation des droits humains au Sahara occidental. Il a également appelé la communauté à "faire pression sur le gouvernement marocain pour qu'il libère immédiatement et sans condition tous les prisonniers politiques sahraouis des prisons marocaines", rapporte l'agence. Les autorités marocaines sont également sommées de "faire toute la lumière sur le sort des personnes disparues, stopper le pillage des richesses naturelles du Sahara occidental et démanteler le mur de la honte, qui entraîne chaque jour la perte de plus de vies innocentes chez les nomades sahraouis et leur cheptel". Le conseil a en outre, examiné un premier bilan des dommages causés par les pluies et les tempêtes survenues récemment dans les zones libérées au Sahara occidental et qui ont affecté, note SPS, des habitations, des biens et des cheptels de la population sahraouie établie dans ces zones. A cet effet, le gouvernement sahraoui a constitué une commission de crise pour évaluer les dégâts, afin d'élaborer, dans les plus brefs délais, précise-t-on, un plan d'urgence pour apporter l'assistance nécessaire aux personnes et familles affectées par ces catastrophes naturelles.