Le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), M. Mohamed Abdelaziz, a saisi l'Union africaine (UA) après l'arrestation, par les autorités marocaines, de sept militants sahraouis des droits de l'Homme, rapporte, hier, l'agence de presse sahraoui (SPS). Ainsi, tout en condamnant «la répression qui s'abat depuis quelque temps sur les territoires occupés du Sahara Occidental», le président Abdelaziz a affirmé, dans un message adressé au président de l'UA, M. Jean Ping, que l'Union africaine «ne peut, en aucun cas accepter la poursuite de telles pratiques dans la partie occupée de la RASD». «Ce serait une honte pour la communauté internationale d'accepter les pratiques dégradantes du droit international en ce 21ème siècle», s'est-il indigné. Le président sahraoui a demandé, par conséquent, à l'UA d'intervenir pour imposer des "sanctions" contre le gouvernement marocain et "mettre un terme à toutes les formes d'oppression imposées au peuple sahraoui". Il appelle, dans ce sens, à la libération «immédiate» des sept militants sahraouis des droits de l'Homme, enlevés récemment à Casablanca, ajoute la même source. Le président de la RASD estime «inadmissible» que des militants pour le respect des principes et de la Charte des Nations unies, «soient traités de cette manière répressive»". Le groupe des sept militants sahraouis, composé de six hommes et une femme, ont été déférés, jeudi dernier, devant le parquet militaire de Rabat avant d'être conduits à la prison de Salé, dans la capitale marocaine. Le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), M. Mohamed Abdelaziz, a saisi l'Union africaine (UA) après l'arrestation, par les autorités marocaines, de sept militants sahraouis des droits de l'Homme, rapporte, hier, l'agence de presse sahraoui (SPS). Ainsi, tout en condamnant «la répression qui s'abat depuis quelque temps sur les territoires occupés du Sahara Occidental», le président Abdelaziz a affirmé, dans un message adressé au président de l'UA, M. Jean Ping, que l'Union africaine «ne peut, en aucun cas accepter la poursuite de telles pratiques dans la partie occupée de la RASD». «Ce serait une honte pour la communauté internationale d'accepter les pratiques dégradantes du droit international en ce 21ème siècle», s'est-il indigné. Le président sahraoui a demandé, par conséquent, à l'UA d'intervenir pour imposer des "sanctions" contre le gouvernement marocain et "mettre un terme à toutes les formes d'oppression imposées au peuple sahraoui". Il appelle, dans ce sens, à la libération «immédiate» des sept militants sahraouis des droits de l'Homme, enlevés récemment à Casablanca, ajoute la même source. Le président de la RASD estime «inadmissible» que des militants pour le respect des principes et de la Charte des Nations unies, «soient traités de cette manière répressive»". Le groupe des sept militants sahraouis, composé de six hommes et une femme, ont été déférés, jeudi dernier, devant le parquet militaire de Rabat avant d'être conduits à la prison de Salé, dans la capitale marocaine.