Une centaine de cadres du corps spécifique de l'administration des transports, représentant 38 wilayas , ont observé, hier, un sit-in devant le siège du ministère des Transports à Alger, pour revendiquer à leur tour des conditions professionnelles meilleures. Le mouvement de protestation a été initié par le Conseil national des corps techniques du secteur des transports, affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) lequel a organisé, ces derniers mois, les grèves et les protestations de nombreuses corporations dans les différents secteur qu'il représente, notamment la Fonction publique. Les protestataires réclament principalement que leur organisation soit associée dans le processus d'élaboration de leur statut particulier, a affirmé Tarek Dehini, l'un des encadreurs du mouvement de protestation. La reconnaissance de cette filiale du Snapap comme représentant officiel des 270 cadres de ce corps spécifique figure aussi parmi les revendications avec la reconnaissance de leur diplôme par le ministère de l'Enseignement supérieur. Il faut rappeler que le diplôme est délivré par l'Ecole nationale d'application des techniques du transport, au bout de quatre années d'études après le baccalauréat. Le dernier point porté dans la plate-forme de revendications dénonce la «réduction» des tâches de ces cadres, par le nouveau statut en négociation entre la tutelle et la Fonction publique, à celles de simples agents d'exécution. Amar Tou, premier responsable du secteur, a promis aux protestataires de prendre en considération les revendications exposées. Une centaine de cadres du corps spécifique de l'administration des transports, représentant 38 wilayas , ont observé, hier, un sit-in devant le siège du ministère des Transports à Alger, pour revendiquer à leur tour des conditions professionnelles meilleures. Le mouvement de protestation a été initié par le Conseil national des corps techniques du secteur des transports, affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) lequel a organisé, ces derniers mois, les grèves et les protestations de nombreuses corporations dans les différents secteur qu'il représente, notamment la Fonction publique. Les protestataires réclament principalement que leur organisation soit associée dans le processus d'élaboration de leur statut particulier, a affirmé Tarek Dehini, l'un des encadreurs du mouvement de protestation. La reconnaissance de cette filiale du Snapap comme représentant officiel des 270 cadres de ce corps spécifique figure aussi parmi les revendications avec la reconnaissance de leur diplôme par le ministère de l'Enseignement supérieur. Il faut rappeler que le diplôme est délivré par l'Ecole nationale d'application des techniques du transport, au bout de quatre années d'études après le baccalauréat. Le dernier point porté dans la plate-forme de revendications dénonce la «réduction» des tâches de ces cadres, par le nouveau statut en négociation entre la tutelle et la Fonction publique, à celles de simples agents d'exécution. Amar Tou, premier responsable du secteur, a promis aux protestataires de prendre en considération les revendications exposées.