Rappelant que la CFNA doit être au service des agriculteurs, le ministre a mis en exergue la stratégie du renouveau agricole et rural tel que défini par l'esprit de la rencontre de Biskra. Rappelant que la CFNA doit être au service des agriculteurs, le ministre a mis en exergue la stratégie du renouveau agricole et rural tel que défini par l'esprit de la rencontre de Biskra. «Il devient impérieux de développer la mutualisation des agriculteurs en accentuant la coopération agricole et en assurant la sécurité alimentaire. Donc, il s'agit de contribuer activement à la création de coopératives et d'espaces de regroupement ouverts aux investisseurs. Aussi, faudra-t-il mettre l'accent sur la formation des fellahs en renforçant leurs capacités productives et voir ce qui se passe autour d'eux tout en relevant le défi de la sécurité alimentaire » a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, au cours de la célébration du 20e anniversaire de la création de la Chambre nationale d'agriculture (CNA), en présence des présidents des chambres d'agriculture des 48 wilayas et des personnalités du monde agricole et rural. Rappelant que la CFNA doit être au service des agriculteurs, le ministre a mis en exergue la stratégie du renouveau agricole et rural tel que défini par l'esprit de la rencontre de Biskra. « Il s'agit d'appuyer le travail des agriculteurs en prenant en considération les énormes potentialités agricoles du pays tout en encourageant les initiatives personnelles afin de consolider la souveraineté nationale » a-t-il dit. En effet, la politique de renouveau agricole et rural repose, en fait, sur l'organisation de la profession d'agriculteur et préconise la coopération, la négociation et la concertation lors du processus de prise de décision. Benaïssa a notamment insisté sur l'optimisation de production des agriculteurs en faisant allusion au contrat de performances précisant que «sur 1,2 million de fermes et d'exploitations agricoles, 174 relèvent du secteur privé de l'Etat tandis que le reste est du domaine du secteur privé et géré selon des normes et des méthodes strictement privées ». « Le réveil collectif sur la sécurité alimentaire a commencé" a insisté le minsitre. Il y a aussi la prise de conscience chez tous les acteurs agricoles qui prennent des initiatives importantes en termes notamment de formation et de participation aux salons nationaux et internationaux. C'est ainsi que Benaissa a mis l'accent sur cette lancinante et sempiternelle question de la sécurité alimentaire, condition sine qua non du déveleppement durable et de la stabilité sociale, qui se conjugue par la consolidation des capacités économiques des fellahs et éleveurs et la formation nécessaire pour élever les niveaux de production et de la productivité. « C'est notre prochaine étape déterminante et prioritaire dans la politique nationale du renouveau de l'économie rurale qui se pose en tant que question de souveraineté nationale » a-t-il dit, mettant, ainsi, en évidence la professionnalisation des acteurs et l'émergence de nouvelles règles de gestion et d'exploitation. Pour sa part, le président de la Chambre nationale d'agriculture, Doubbi Bounoua Ladjel, a mis en relief la nécessité de coopérer entre les pouvoirs publics et les opérateurs économiques afin de participer à l'effort de la sécurité alimentaire. Aussi, pour le président de la Chambre d'agriculture de Khenchela et membre de la CNA, M. Bouzidi, « les réformes dans le secteur de la l'agriculture ont notamment permis au secteur de se transformer durant trois décennies et arriver à un niveau d'investissement et de promotion de la femme rural appréciable, alors que la formation et la décentralisation bureaucratique ont également joué leur rôle ». Des recettes de près de 62,5 millions DA Le bilan moral et financier du conseil d'administration de la CNA en 2010 a fait ressortir dans ses activités des statistiques, telle que la dotation de 1,6 million DA pour chaque chambre d'agriculture de wilaya destinée à la formation des agriculteurs et la réforme de matériels de la CNA. Parmi les cycles de formation organisés par la CNA, on peut notamment citer celui relatif au perfectionnement de proximité des éleveurs de bovins laitiers et de leur encadrement dans le domaine de la pratique de l'élevage bovin laitier en coopération avec le groupe néerlandais VEEPRO Holland et le concours de son expert Foko Tolsma et le partenariat avec ‘'PUM experts séniors néerlandais''. Concernant le bilan financier, les recettes globales réalisées durant l'année précédente au compte de gestion de la CNA se chiffrent à près de 62.500.000 DA provenant notamment de la dotation parafiscale, des recettes de fichier 2009, de la subvention du ministère de l'Agriculture et du Développement rural… Pour ce qui est des dépenses de la CNA, le rapport indique que les dépenses effectives au titre de l'exercice 2010 sont de l'ordre de plus de 68.550.000 DA ventilés en achats consommés, services extérieurs, charges de personnels, impôts et taxes, charges opérationnelles et immobilisations corporelles. Cependant, le rapport du conseil d'administration montre que « le résultat de l'exercice (bilan comptable) est déficitaire de près de 16 millions DA sachant que ce chiffre reflète un montant négatif des mouvements incluant des opérations telles que les dotations aux amortissements, des transferts de charges des exercices antérieurs et des opérations d'assainissement de l'inventaire des biens de la CNA de moins de 30.000 DA ». «Il devient impérieux de développer la mutualisation des agriculteurs en accentuant la coopération agricole et en assurant la sécurité alimentaire. Donc, il s'agit de contribuer activement à la création de coopératives et d'espaces de regroupement ouverts aux investisseurs. Aussi, faudra-t-il mettre l'accent sur la formation des fellahs en renforçant leurs capacités productives et voir ce qui se passe autour d'eux tout en relevant le défi de la sécurité alimentaire » a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, au cours de la célébration du 20e anniversaire de la création de la Chambre nationale d'agriculture (CNA), en présence des présidents des chambres d'agriculture des 48 wilayas et des personnalités du monde agricole et rural. Rappelant que la CFNA doit être au service des agriculteurs, le ministre a mis en exergue la stratégie du renouveau agricole et rural tel que défini par l'esprit de la rencontre de Biskra. « Il s'agit d'appuyer le travail des agriculteurs en prenant en considération les énormes potentialités agricoles du pays tout en encourageant les initiatives personnelles afin de consolider la souveraineté nationale » a-t-il dit. En effet, la politique de renouveau agricole et rural repose, en fait, sur l'organisation de la profession d'agriculteur et préconise la coopération, la négociation et la concertation lors du processus de prise de décision. Benaïssa a notamment insisté sur l'optimisation de production des agriculteurs en faisant allusion au contrat de performances précisant que «sur 1,2 million de fermes et d'exploitations agricoles, 174 relèvent du secteur privé de l'Etat tandis que le reste est du domaine du secteur privé et géré selon des normes et des méthodes strictement privées ». « Le réveil collectif sur la sécurité alimentaire a commencé" a insisté le minsitre. Il y a aussi la prise de conscience chez tous les acteurs agricoles qui prennent des initiatives importantes en termes notamment de formation et de participation aux salons nationaux et internationaux. C'est ainsi que Benaissa a mis l'accent sur cette lancinante et sempiternelle question de la sécurité alimentaire, condition sine qua non du déveleppement durable et de la stabilité sociale, qui se conjugue par la consolidation des capacités économiques des fellahs et éleveurs et la formation nécessaire pour élever les niveaux de production et de la productivité. « C'est notre prochaine étape déterminante et prioritaire dans la politique nationale du renouveau de l'économie rurale qui se pose en tant que question de souveraineté nationale » a-t-il dit, mettant, ainsi, en évidence la professionnalisation des acteurs et l'émergence de nouvelles règles de gestion et d'exploitation. Pour sa part, le président de la Chambre nationale d'agriculture, Doubbi Bounoua Ladjel, a mis en relief la nécessité de coopérer entre les pouvoirs publics et les opérateurs économiques afin de participer à l'effort de la sécurité alimentaire. Aussi, pour le président de la Chambre d'agriculture de Khenchela et membre de la CNA, M. Bouzidi, « les réformes dans le secteur de la l'agriculture ont notamment permis au secteur de se transformer durant trois décennies et arriver à un niveau d'investissement et de promotion de la femme rural appréciable, alors que la formation et la décentralisation bureaucratique ont également joué leur rôle ». Des recettes de près de 62,5 millions DA Le bilan moral et financier du conseil d'administration de la CNA en 2010 a fait ressortir dans ses activités des statistiques, telle que la dotation de 1,6 million DA pour chaque chambre d'agriculture de wilaya destinée à la formation des agriculteurs et la réforme de matériels de la CNA. Parmi les cycles de formation organisés par la CNA, on peut notamment citer celui relatif au perfectionnement de proximité des éleveurs de bovins laitiers et de leur encadrement dans le domaine de la pratique de l'élevage bovin laitier en coopération avec le groupe néerlandais VEEPRO Holland et le concours de son expert Foko Tolsma et le partenariat avec ‘'PUM experts séniors néerlandais''. Concernant le bilan financier, les recettes globales réalisées durant l'année précédente au compte de gestion de la CNA se chiffrent à près de 62.500.000 DA provenant notamment de la dotation parafiscale, des recettes de fichier 2009, de la subvention du ministère de l'Agriculture et du Développement rural… Pour ce qui est des dépenses de la CNA, le rapport indique que les dépenses effectives au titre de l'exercice 2010 sont de l'ordre de plus de 68.550.000 DA ventilés en achats consommés, services extérieurs, charges de personnels, impôts et taxes, charges opérationnelles et immobilisations corporelles. Cependant, le rapport du conseil d'administration montre que « le résultat de l'exercice (bilan comptable) est déficitaire de près de 16 millions DA sachant que ce chiffre reflète un montant négatif des mouvements incluant des opérations telles que les dotations aux amortissements, des transferts de charges des exercices antérieurs et des opérations d'assainissement de l'inventaire des biens de la CNA de moins de 30.000 DA ».