Le principal impératif qui tend à accompagner l'entreprise est que l'emploi doit être au centre de son développement. Abondant dans l'esprit de la feuille de route préconisée par le président de la République, le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd a précisé que pour ce qui est de la valorisation et la promotion de la production nationale, les pouvoirs publics, les organisations patronales et l'UGTa doivent s'atteler à travers les mécanismes, les instruments et les moyens matériels et humains, à faire de la sauvegarde et de la valorisation de l'appareil productif national une priorité durable. Parmi les propositions et suggestions formulées par l'UGTA dans ce chapitre, on peut notamment énumérer la relance du crédit à la consommation, la réduction du taux actuel de la TVA pour les produits fabriqués par l'entreprise nationale, ce qui stimulera la consommation. Aussi, Sidi Saïd a revendiqué l'interdiction définitive de l'importation de la friperie et autres articles de bazar destinés à la consommation, l'instauration d'une TVA plus lourde sur les importations de produits manufacturés ou destinés à la revente en l'état. Afin de promouvoir la production nationale, il a également indiqué qu'il est nécessaire « d'instaurer l'aménagement des conditions de paiement de l'importation de matières premières et intrants destinés à la production nationale. Ces aménagements permettront un allègement de trésorerie qui conduira, de fait, à une plus grande production ». D'autres recommandations ont été formulées par celui-ci pour relancer la production nationale (afin d'assurer le protectionnisme, tel que le font les pays avancés industrialisés Etats-Unis d'Amérique), notamment la relance des coopératives de consommation, la création des grandes surfaces de distribution en partenariat avec le secteur privé national… Expliquant que l'érosion du pouvoir d'achat des citoyens, en général, et des travailleurs en particulier, doit immédiatement cesser, il dira que ce dispositif serait efficace pour venir à bout des spéculation qui rongent le pouvoir d'achat de la population, et constituera un réservoir d'emplois en améliorant sans aucun doute, l'efficacité et le ciblage des transferts sociaux de l'Etat… Sidi Saïd soutient la valeur ajoutée nationale Dans le registre des marchés publics, l'intervenant a mis en relief les capacités de production des entreprises nationales en précisant : « L'UGTA considère que les pouvoirs publics doivent privilégier l'entreprise algérienne en matière de marchés publics et réduire le recours systématique à l'appel d'offres, notamment dans les secteurs où les entreprises algériennes sont compétentes ». Il a aussi, dans un autre resgistre, mis l'accent sur l'amélioration qualitative des relations du ministère chargé de la Formation professionnelle - entreprises - le développement de la PME-PME créatrices de richesses et d'emplois sachant que les pays avancés ont construit leur industrialisation et leur développement sur la base des PME (USA, Italie notamment), le développement de la relation économique interentreprises, la dépénalisation de l'acte de gestion et la levée des contraintes administratives et des entraves bureaucratiques qui freinent l'initiative et la libre entreprise et le renforcement du dialogue et de la concertation sociale au sein même de l'entreprise. Naït Abdelaziz prône une meilleure relation banques - entreprises Pour sa part, le président de la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), Mohamed Saïd Naït Abdelaziz, a mis en relief la nécessité de développer la relation banques - entreprises et la clarification de la politique de l'emploi tout en encourageant la formation professionnelle et la transparence dans l'attribution des marchés publics, ainsi que la problématique de la fiscalité. Le principal impératif qui tend à accompagner l'entreprise est que l'emploi doit être au centre de son développement. Abondant dans l'esprit de la feuille de route préconisée par le président de la République, le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd a précisé que pour ce qui est de la valorisation et la promotion de la production nationale, les pouvoirs publics, les organisations patronales et l'UGTa doivent s'atteler à travers les mécanismes, les instruments et les moyens matériels et humains, à faire de la sauvegarde et de la valorisation de l'appareil productif national une priorité durable. Parmi les propositions et suggestions formulées par l'UGTA dans ce chapitre, on peut notamment énumérer la relance du crédit à la consommation, la réduction du taux actuel de la TVA pour les produits fabriqués par l'entreprise nationale, ce qui stimulera la consommation. Aussi, Sidi Saïd a revendiqué l'interdiction définitive de l'importation de la friperie et autres articles de bazar destinés à la consommation, l'instauration d'une TVA plus lourde sur les importations de produits manufacturés ou destinés à la revente en l'état. Afin de promouvoir la production nationale, il a également indiqué qu'il est nécessaire « d'instaurer l'aménagement des conditions de paiement de l'importation de matières premières et intrants destinés à la production nationale. Ces aménagements permettront un allègement de trésorerie qui conduira, de fait, à une plus grande production ». D'autres recommandations ont été formulées par celui-ci pour relancer la production nationale (afin d'assurer le protectionnisme, tel que le font les pays avancés industrialisés Etats-Unis d'Amérique), notamment la relance des coopératives de consommation, la création des grandes surfaces de distribution en partenariat avec le secteur privé national… Expliquant que l'érosion du pouvoir d'achat des citoyens, en général, et des travailleurs en particulier, doit immédiatement cesser, il dira que ce dispositif serait efficace pour venir à bout des spéculation qui rongent le pouvoir d'achat de la population, et constituera un réservoir d'emplois en améliorant sans aucun doute, l'efficacité et le ciblage des transferts sociaux de l'Etat… Sidi Saïd soutient la valeur ajoutée nationale Dans le registre des marchés publics, l'intervenant a mis en relief les capacités de production des entreprises nationales en précisant : « L'UGTA considère que les pouvoirs publics doivent privilégier l'entreprise algérienne en matière de marchés publics et réduire le recours systématique à l'appel d'offres, notamment dans les secteurs où les entreprises algériennes sont compétentes ». Il a aussi, dans un autre resgistre, mis l'accent sur l'amélioration qualitative des relations du ministère chargé de la Formation professionnelle - entreprises - le développement de la PME-PME créatrices de richesses et d'emplois sachant que les pays avancés ont construit leur industrialisation et leur développement sur la base des PME (USA, Italie notamment), le développement de la relation économique interentreprises, la dépénalisation de l'acte de gestion et la levée des contraintes administratives et des entraves bureaucratiques qui freinent l'initiative et la libre entreprise et le renforcement du dialogue et de la concertation sociale au sein même de l'entreprise. Naït Abdelaziz prône une meilleure relation banques - entreprises Pour sa part, le président de la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), Mohamed Saïd Naït Abdelaziz, a mis en relief la nécessité de développer la relation banques - entreprises et la clarification de la politique de l'emploi tout en encourageant la formation professionnelle et la transparence dans l'attribution des marchés publics, ainsi que la problématique de la fiscalité.