Les médecins résidents, ont été, hier, unanimes à dire non à la reprise de travail. Ils affichent encore une fois leur détermination à continuer le combat jusqu'à satisfaction de leurs revendications et précisément celle concernant l'abrogation de la loi du service civil qui reste leur «première condition pour geler leur grève illimitée» qui perdure depuis plus de trois mois maintenant. «L'opération de vote pour le maintien ou l'arrêt de la grève, lancée mercredi dernier par le Collectif autonome des médecins résidents algériens, a été clôturée aujourd'hui (hier ndlr) et nos délégués des 48 wilayas nous ont affirmé la volonté de l'ensemble des résidents algériens affiliés au Camra de maintenir pression et de ne plus négocier avec la tutelle la possibilité de reprendre le travail avant que la décision d'abroger le service civil ne soit officiellement prise », nous a affirmé le Dr Sahnoune, l'un des porte-parole du Camra, contacté hier par le Midi Libre. Les résidents n'ont ainsi pas répondu aux appels et aux propositions d'Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui était pourtant très clair concernant «l'impossibilité de l'abrogation du service civil», lors de l'installation de la commission des sages installée principalement pour trouver des solution à cette question. Ould Abbès a affirmé, la semaine dernière, aux représentants des résidents que cette commission n'a pas été installée dans le but de discuter les mesures d'abrogation de la loi du service civil mais plutôt pour «réfléchir sur les mesures incitatives et sur le réaménagement du service civil en fonction des nouvelles donnes, notamment par rapport à l'évolution démographique. Il faut dire que malgré la menace d'Ould Abbès de supprimer définitivement la commission en cas de décision des résidents de revendiquer l'abrogation du service civil, les résidents se disent conscients de leur position et qu'aucune sanction ne pourra les faire reculer». Il faut rappeler qu' Ould Abbès avait proposé, «en cas d'accord par les résidents du maintien du service civil, que la commission continuera à siéger pour la négociation des mesures incitatives dans un délai de deux mois». «Une promesse qui ne semble pas satisfaire les résidents grévistes qui n'ont vu jusqu'ici aucune promesse se concrétiser sur le terrain», ajoute le porte-parole du Camra. Les médecins résidents, ont été, hier, unanimes à dire non à la reprise de travail. Ils affichent encore une fois leur détermination à continuer le combat jusqu'à satisfaction de leurs revendications et précisément celle concernant l'abrogation de la loi du service civil qui reste leur «première condition pour geler leur grève illimitée» qui perdure depuis plus de trois mois maintenant. «L'opération de vote pour le maintien ou l'arrêt de la grève, lancée mercredi dernier par le Collectif autonome des médecins résidents algériens, a été clôturée aujourd'hui (hier ndlr) et nos délégués des 48 wilayas nous ont affirmé la volonté de l'ensemble des résidents algériens affiliés au Camra de maintenir pression et de ne plus négocier avec la tutelle la possibilité de reprendre le travail avant que la décision d'abroger le service civil ne soit officiellement prise », nous a affirmé le Dr Sahnoune, l'un des porte-parole du Camra, contacté hier par le Midi Libre. Les résidents n'ont ainsi pas répondu aux appels et aux propositions d'Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière qui était pourtant très clair concernant «l'impossibilité de l'abrogation du service civil», lors de l'installation de la commission des sages installée principalement pour trouver des solution à cette question. Ould Abbès a affirmé, la semaine dernière, aux représentants des résidents que cette commission n'a pas été installée dans le but de discuter les mesures d'abrogation de la loi du service civil mais plutôt pour «réfléchir sur les mesures incitatives et sur le réaménagement du service civil en fonction des nouvelles donnes, notamment par rapport à l'évolution démographique. Il faut dire que malgré la menace d'Ould Abbès de supprimer définitivement la commission en cas de décision des résidents de revendiquer l'abrogation du service civil, les résidents se disent conscients de leur position et qu'aucune sanction ne pourra les faire reculer». Il faut rappeler qu' Ould Abbès avait proposé, «en cas d'accord par les résidents du maintien du service civil, que la commission continuera à siéger pour la négociation des mesures incitatives dans un délai de deux mois». «Une promesse qui ne semble pas satisfaire les résidents grévistes qui n'ont vu jusqu'ici aucune promesse se concrétiser sur le terrain», ajoute le porte-parole du Camra.