Les différents genres de la chanson populaire tunisienne interprétés par l'artiste Zahra El Ajnaf et sa troupe musicale ont conquis le public de Tlemcen présent en nombre à la maison de la culture de la ville des Zianides pour se délecter d'un spectacle très show clôturant la semaine culturelle de ce pays. Lors de ce spectacle, organisé mercredi soir dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011", la chanteuse El Ajnaf avec sa voix douce a réussi à subjuguer le public tlémcenien, l'invitant à faire à un voyage au fin fond du terroir musical tunisien. Interprétant un répertoire de refrains "El Malalia", puisé du patrimoine artistique commun à l'est algérien et au sud tunisien, l'artiste a fait "sensation". Ce genre musical, a-t-elle dit à ce propos, "est un art poétique chanté par les femmes dans diverses cérémonies à Gafsa (Tunisie) et dans la région des Aurès (Algérie), pour exprimer leurs émotions et leur désir de liberté". Le spectacle a comporté également des partitions musicales, où les membres de la troupe ont utilisé des instruments modernes et reproduit des "maqamate" tunisiennes comme "El Kebli" et "El Rekrouki", ainsi que des morceaux musicaux populaires, ramenant à la mémoire du public, dont certains anciens nostalgiques ayant été bercés par ces genres, les stars de la chanson de Tounes el khadra dont Alia et Ahmed Hamza. La semaine culturelle tunisienne, qui s'est étalée du 22 au 25 mai, a été marquée par l'organisation de plusieurs activités culturelles et artistiques dont des expositions d'arts plastiques, de calligraphie arabe avec ses différentes écoles et styles artistiques, ainsi qu'une exposition de livres mettant en exergue la production intellectuelle et créative d'écrivains tunisiens. En plus des conférences académiques qui ont abordé le paysage culturel tunisien, plusieurs courts-métrages et films documentaires ont été projetés à cette occasion, à l'instar de "Kitab" et "Ez-Zeitouna fi qalb Tounes" et "Sakia", ainsi que de longs-métrages, comme "Wajd", "Baba Aziz" et "Mejnoun Leila". Les amateurs du quatrième art ont pu suivre la pièce théâtrale "Rissala li Oummi" (Lettre à ma mère), mise en scène par Salah Benyounes Faleh et interprétée par un groupe de jeunes qui ont réussi, dans un style comico-tragique, à décrire la nouvelle situation que connaît la Tunisie et à poser différentes questions sur les problèmes auxquels est confronté le citoyen tunisien dans sa vie quotidienne. Les différents genres de la chanson populaire tunisienne interprétés par l'artiste Zahra El Ajnaf et sa troupe musicale ont conquis le public de Tlemcen présent en nombre à la maison de la culture de la ville des Zianides pour se délecter d'un spectacle très show clôturant la semaine culturelle de ce pays. Lors de ce spectacle, organisé mercredi soir dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011", la chanteuse El Ajnaf avec sa voix douce a réussi à subjuguer le public tlémcenien, l'invitant à faire à un voyage au fin fond du terroir musical tunisien. Interprétant un répertoire de refrains "El Malalia", puisé du patrimoine artistique commun à l'est algérien et au sud tunisien, l'artiste a fait "sensation". Ce genre musical, a-t-elle dit à ce propos, "est un art poétique chanté par les femmes dans diverses cérémonies à Gafsa (Tunisie) et dans la région des Aurès (Algérie), pour exprimer leurs émotions et leur désir de liberté". Le spectacle a comporté également des partitions musicales, où les membres de la troupe ont utilisé des instruments modernes et reproduit des "maqamate" tunisiennes comme "El Kebli" et "El Rekrouki", ainsi que des morceaux musicaux populaires, ramenant à la mémoire du public, dont certains anciens nostalgiques ayant été bercés par ces genres, les stars de la chanson de Tounes el khadra dont Alia et Ahmed Hamza. La semaine culturelle tunisienne, qui s'est étalée du 22 au 25 mai, a été marquée par l'organisation de plusieurs activités culturelles et artistiques dont des expositions d'arts plastiques, de calligraphie arabe avec ses différentes écoles et styles artistiques, ainsi qu'une exposition de livres mettant en exergue la production intellectuelle et créative d'écrivains tunisiens. En plus des conférences académiques qui ont abordé le paysage culturel tunisien, plusieurs courts-métrages et films documentaires ont été projetés à cette occasion, à l'instar de "Kitab" et "Ez-Zeitouna fi qalb Tounes" et "Sakia", ainsi que de longs-métrages, comme "Wajd", "Baba Aziz" et "Mejnoun Leila". Les amateurs du quatrième art ont pu suivre la pièce théâtrale "Rissala li Oummi" (Lettre à ma mère), mise en scène par Salah Benyounes Faleh et interprétée par un groupe de jeunes qui ont réussi, dans un style comico-tragique, à décrire la nouvelle situation que connaît la Tunisie et à poser différentes questions sur les problèmes auxquels est confronté le citoyen tunisien dans sa vie quotidienne.