Comme annoncé, des milliers de médecins résidents, ont tenu hier leur énième sit-in, mais cette fois-ci dans la wilaya d'Oran. Ce sit-in a été tenu pour dire «halte à la répression». Cela suite aux événement du 1er juin courant où ils disent avoir été malmenés par les policiers antiémeutes alors qu'ils tentaient de marcher vers le siège de l'Assemblée populaire algérienne pour «faire entendre leurs voix et revendiquer leurs droits». Les médecins résidents «ont marché aujourd'hui depuis le CHU d'Oran jusqu'au siège de la wilaya, malgré la forte mobilisation des forces de l'ordre qui ont essayé de les en empêcher», nous a affirmé l'un des représentants des résidents, délégué du Collectif autonome des médecins résidents joint par téléphone. «Nous avons été, tout comme à Alger, réprimés mais notre marche a été néanmoins réussie», dira notre interlocuteur. Les médecins résidents en grève depuis le 28 mars dernier, ont été unanimes à affirmer, encore hier, leur détermination à maintenir la pression jusqu'à satisfaction de toutes leurs revendications, notamment l'abrogation du service civil, cela nonobstant les différentes déclarations du ministre de tutelle ou du Premier ministre lequel a clairement affirmé que l'abrogation du service civil est «impossible». Concernant les autres acquis, les résidents à travers leurs porte-parole, s'interrogent sur le devenir du statut dont la commission, a pourtant terminé l'élaboration depuis plusieurs semaines maintenant et qui reste bloqué au niveau du ministère du Travail jusqu'à ce jour pour des raisons inconnues. Concernant le volet pédagogique, les résidents estiment que tant qu'il n'y a rien de concret ils ne peuvent pas se réjouir. «Il faut que les décisions de la conférence des doyens soient concrétisées pour affirmer enfin qu'une partie des revendications a été satisfaite», nous a affirmé le docteur Merouane Sid-Ali, délégué des résidents. Comme annoncé, des milliers de médecins résidents, ont tenu hier leur énième sit-in, mais cette fois-ci dans la wilaya d'Oran. Ce sit-in a été tenu pour dire «halte à la répression». Cela suite aux événement du 1er juin courant où ils disent avoir été malmenés par les policiers antiémeutes alors qu'ils tentaient de marcher vers le siège de l'Assemblée populaire algérienne pour «faire entendre leurs voix et revendiquer leurs droits». Les médecins résidents «ont marché aujourd'hui depuis le CHU d'Oran jusqu'au siège de la wilaya, malgré la forte mobilisation des forces de l'ordre qui ont essayé de les en empêcher», nous a affirmé l'un des représentants des résidents, délégué du Collectif autonome des médecins résidents joint par téléphone. «Nous avons été, tout comme à Alger, réprimés mais notre marche a été néanmoins réussie», dira notre interlocuteur. Les médecins résidents en grève depuis le 28 mars dernier, ont été unanimes à affirmer, encore hier, leur détermination à maintenir la pression jusqu'à satisfaction de toutes leurs revendications, notamment l'abrogation du service civil, cela nonobstant les différentes déclarations du ministre de tutelle ou du Premier ministre lequel a clairement affirmé que l'abrogation du service civil est «impossible». Concernant les autres acquis, les résidents à travers leurs porte-parole, s'interrogent sur le devenir du statut dont la commission, a pourtant terminé l'élaboration depuis plusieurs semaines maintenant et qui reste bloqué au niveau du ministère du Travail jusqu'à ce jour pour des raisons inconnues. Concernant le volet pédagogique, les résidents estiment que tant qu'il n'y a rien de concret ils ne peuvent pas se réjouir. «Il faut que les décisions de la conférence des doyens soient concrétisées pour affirmer enfin qu'une partie des revendications a été satisfaite», nous a affirmé le docteur Merouane Sid-Ali, délégué des résidents.