L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé de laisser inchangés ses quotas de production, a déclaré le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) Abdallah El-Badri, à l'issue de la réunion ministérielle de l'organisation tenue mercredi à Vienne. «Les membres n'ont pas obtenu de consensus sur une modification de la production», a précisé M. El-Badri qui s'exprimait lors d'une conférence de presse. Plusieurs membres de l'Opep avaient demandé une augmentation des quotas fixés à 24,84 millions de barils/jour depuis début 2009 pour répondre aux inquiétudes des pays consommateurs, en raison de la hausse des cours du pétrole. M. El-Badri a fait savoir, par ailleurs, que l'Opep tiendra sa prochaine réunion ministérielle les 13 et 14 décembre à Vienne, faute d'un consensus pour tenir une réunion dans les trois mois. «Nous ne sommes pas en crise en ce moment, il n'y a pas de pénurie sur le marché», a expliqué M. El-Badri. «Nous avons suggéré un délai de trois mois pour évaluer le marché et pour prendre une décision appropriée (lors d'une réunion exceptionnelle) mais cette proposition n'a pas obtenu de consensus", a déploré le ministre iranien du Pétrole Mohammad Aliabad. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé de laisser inchangés ses quotas de production, a déclaré le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) Abdallah El-Badri, à l'issue de la réunion ministérielle de l'organisation tenue mercredi à Vienne. «Les membres n'ont pas obtenu de consensus sur une modification de la production», a précisé M. El-Badri qui s'exprimait lors d'une conférence de presse. Plusieurs membres de l'Opep avaient demandé une augmentation des quotas fixés à 24,84 millions de barils/jour depuis début 2009 pour répondre aux inquiétudes des pays consommateurs, en raison de la hausse des cours du pétrole. M. El-Badri a fait savoir, par ailleurs, que l'Opep tiendra sa prochaine réunion ministérielle les 13 et 14 décembre à Vienne, faute d'un consensus pour tenir une réunion dans les trois mois. «Nous ne sommes pas en crise en ce moment, il n'y a pas de pénurie sur le marché», a expliqué M. El-Badri. «Nous avons suggéré un délai de trois mois pour évaluer le marché et pour prendre une décision appropriée (lors d'une réunion exceptionnelle) mais cette proposition n'a pas obtenu de consensus", a déploré le ministre iranien du Pétrole Mohammad Aliabad.