Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football est revenu, hier, sur la dernière déroute des «vert» à Marrakech en l'a qualifiant d'une vraie catastrophe pour le football algérien et dira dans ce sens : «J'étais déçu comme tout Algérien voire même choqué. Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football est revenu, hier, sur la dernière déroute des «vert» à Marrakech en l'a qualifiant d'une vraie catastrophe pour le football algérien et dira dans ce sens : «J'étais déçu comme tout Algérien voire même choqué. "Je crois qu'il n'est plus nécessaire de commenter cette défaite, puisqu' elle a été déjà analysée de tous les côtés et en détaille par tous les gens qui aiment leur équipe. Pour ma part, dira Mohamed Raouraoua, je ne m'attendais pas à ce résultat. Bien au contraire, j'étais relativement optimiste pour que cette équipe revienne avec au moins un match nul de la terre marocaine. Ceci dit, s'il y a lieu de situer les responsabilités, je dirai que je n'ai pas l'habitude de fuir mes responsabilités, mais seulement je crois qu'il faut vite oublier cet épisode. Il faut que on s'attèle désormais à redresser la barre immédiatement. Je ne veux pas chercher des excusés à qui que ce soit. La vie est faite ainsi», a indiqué hier, le patron de la FAF sur les ondes de la Radio national, Chaîne III. Précisant, néanmoins que : «Les leçons seront tirées par le futur staff technique» qui sera, selon lui, "d'une grosse pointure, posséder un palmarès éloquent et jouir d'une grande expérience internationale», a-t-il souligné. Un technicien précise-t-il également, "qui sera capable de prendre ce puzzle afin d'en faire une machine à gagner», a déclaré M. Raouraoua. «L'entraîneur local, c'est fini !» Le dernier communiqué de la FAF était clair, les responsables du football algérien ne veulent plus que cette équipe algérienne soit coachée par un technicien local, chose qui a été confirmée, hier, par Mohamed Raouraoua «nous avons suffisamment utilisé la piste du cadre national. Il y avait plusieurs parties qui nous ont demandé avec une manière je dirai «obligatoir» de recruter un technicien local, mais avec tout mon respect, les entraîneurs nationaux ne peuvent pas atteindre ce niveau sauf parmi le staff technique afin d'acquérir de l'expérience pour l'avenir. Je ne suis pas contre la présence des techniciens locaux, avec un sélectionneur étranger qui compte, je le répète, une grosse pointure, pour que nous puissions faire une transition au futur. Par conséquent, nous avons lancé un appel à candidature dans pas mal de sites spécialisés. Nous avons commencé à recevoir des réponses, et elles ne sont pas des moindres, Précise-t-il. A cet effet, nous avons constitué une commission présidée par Mohamed Mecherar, dans laquelle figure également Fergani, Tasfaout, Atoui qui vont étudier les offres et choisir le meilleur technicien qui débutera son travail à partir du prochain match amical en aout prochain» a-t-il dit «Pour la seule journée d'aujourd'hui (hier vendredi) la faf a reçu, révèle Raouraoua, quatre propositions", a-t-il révélé. «Il faut commencer un nouveau cycle» Concernant l'avenir de cette équipe nationale qui ne donne plus de satisfaction sur le terrain, le premier responsable de l'instance nationale dira "qu'il faut commencer un nouveau cycle et changer ce qui s'impose. Ce nouveau cycle selon Raouraoua, veut dire de nouvelles méthodes de travail, un nouveau staff et peut-être de nouvelles ressources humaines." «C'est une réalité, il y a des joueurs qu'ont fait leur temps et ils devraient céder leur place pour d'autres, la vie est faite ainsi» a déclaré M. Raouraoua qui confirme que «le champ de prospection et de recrutement sera élargi pour cette équipe nationale, où les meilleurs selon l'avis du futur staff technique, bien évidemment, auront leur place. Cela veut dire, nous devons couper avec le passé. C'est vrai que nous avons participé à la Coupe d'Afrique et la Coupe du monde, c'est fini, aujourd'hui il y a sur le terrain des réalités qui sont complètement différentes. Quand on voie, le Botswana qui se qualifier dans un groupe où figure la Tunisie, le Niger qui se qualifiera dans un groupe où elle se trouve également l'Egypte, je dirai qu'il y a un grand changement qui s'est fait par l'apport évidement des nouveaux joueurs. Cela pour dire que ce n'est plus facile, il y a aujourd'hui un développement mondial, du essentiellement au programme de la FIFA, qui incite au développement de cette pratique dans toutes les régions sans exception aucune»a-t-il dit. "Je crois qu'il n'est plus nécessaire de commenter cette défaite, puisqu' elle a été déjà analysée de tous les côtés et en détaille par tous les gens qui aiment leur équipe. Pour ma part, dira Mohamed Raouraoua, je ne m'attendais pas à ce résultat. Bien au contraire, j'étais relativement optimiste pour que cette équipe revienne avec au moins un match nul de la terre marocaine. Ceci dit, s'il y a lieu de situer les responsabilités, je dirai que je n'ai pas l'habitude de fuir mes responsabilités, mais seulement je crois qu'il faut vite oublier cet épisode. Il faut que on s'attèle désormais à redresser la barre immédiatement. Je ne veux pas chercher des excusés à qui que ce soit. La vie est faite ainsi», a indiqué hier, le patron de la FAF sur les ondes de la Radio national, Chaîne III. Précisant, néanmoins que : «Les leçons seront tirées par le futur staff technique» qui sera, selon lui, "d'une grosse pointure, posséder un palmarès éloquent et jouir d'une grande expérience internationale», a-t-il souligné. Un technicien précise-t-il également, "qui sera capable de prendre ce puzzle afin d'en faire une machine à gagner», a déclaré M. Raouraoua. «L'entraîneur local, c'est fini !» Le dernier communiqué de la FAF était clair, les responsables du football algérien ne veulent plus que cette équipe algérienne soit coachée par un technicien local, chose qui a été confirmée, hier, par Mohamed Raouraoua «nous avons suffisamment utilisé la piste du cadre national. Il y avait plusieurs parties qui nous ont demandé avec une manière je dirai «obligatoir» de recruter un technicien local, mais avec tout mon respect, les entraîneurs nationaux ne peuvent pas atteindre ce niveau sauf parmi le staff technique afin d'acquérir de l'expérience pour l'avenir. Je ne suis pas contre la présence des techniciens locaux, avec un sélectionneur étranger qui compte, je le répète, une grosse pointure, pour que nous puissions faire une transition au futur. Par conséquent, nous avons lancé un appel à candidature dans pas mal de sites spécialisés. Nous avons commencé à recevoir des réponses, et elles ne sont pas des moindres, Précise-t-il. A cet effet, nous avons constitué une commission présidée par Mohamed Mecherar, dans laquelle figure également Fergani, Tasfaout, Atoui qui vont étudier les offres et choisir le meilleur technicien qui débutera son travail à partir du prochain match amical en aout prochain» a-t-il dit «Pour la seule journée d'aujourd'hui (hier vendredi) la faf a reçu, révèle Raouraoua, quatre propositions", a-t-il révélé. «Il faut commencer un nouveau cycle» Concernant l'avenir de cette équipe nationale qui ne donne plus de satisfaction sur le terrain, le premier responsable de l'instance nationale dira "qu'il faut commencer un nouveau cycle et changer ce qui s'impose. Ce nouveau cycle selon Raouraoua, veut dire de nouvelles méthodes de travail, un nouveau staff et peut-être de nouvelles ressources humaines." «C'est une réalité, il y a des joueurs qu'ont fait leur temps et ils devraient céder leur place pour d'autres, la vie est faite ainsi» a déclaré M. Raouraoua qui confirme que «le champ de prospection et de recrutement sera élargi pour cette équipe nationale, où les meilleurs selon l'avis du futur staff technique, bien évidemment, auront leur place. Cela veut dire, nous devons couper avec le passé. C'est vrai que nous avons participé à la Coupe d'Afrique et la Coupe du monde, c'est fini, aujourd'hui il y a sur le terrain des réalités qui sont complètement différentes. Quand on voie, le Botswana qui se qualifier dans un groupe où figure la Tunisie, le Niger qui se qualifiera dans un groupe où elle se trouve également l'Egypte, je dirai qu'il y a un grand changement qui s'est fait par l'apport évidement des nouveaux joueurs. Cela pour dire que ce n'est plus facile, il y a aujourd'hui un développement mondial, du essentiellement au programme de la FIFA, qui incite au développement de cette pratique dans toutes les régions sans exception aucune»a-t-il dit.