L'ex-secrétaire général du FLN, Abdelhamid Mehri a, de nouveau, appelé à un dialogue n'excluant aucune partie. L'ex-secrétaire général du FLN, Abdelhamid Mehri a, de nouveau, appelé à un dialogue n'excluant aucune partie. Reçu hier en tant que personnalité politique nationale par l'instance de consultations sur les reforme politiques Mehri a, en effet, indiqué dans une déclaration de presse au sortir de cette rencontre avoir «insisté sur le fait que la réforme vraie et profonde doit toucher la structure de l'Etat, ses organes et les méthode de son travail et cela a besoin d'une large consultation et l'association de toutes les forces politiques sans aucune exclusion». Il faisait certainement allusion non seulement au parti dissous, mais aussi à toutes les personnalités nationales et partis politiques qui ont , pour une raison ou une autre, décliné l'invitation de l'instance de consultations sur les reformes politiques, qui est présidée par Abdelkader Bensalah. Interpellé justement par les journalistes sur le FIS dissous Abdelhamid Mehri a eu cette réponse : «Je suis pour l'association de tous les islamistes et tous ceux qui exercent la politique et le pays a besoin de tous se enfants». Il a toutefois ajouté qu'il est contre «tous ceux qui soutiennent la violence et l'Etat théocratique» en soulignant que le pays a besoin de tous ses enfants pour réussir les réformes. Dans sa déclaration à la presse, Mehri a aussi affirmé que «l'objectif aujourd'hui consiste en le parachèvement de l'édification de l'Etat algérien ou chaque algérien aura les pleins droits». Il s'est dit, en outre, contre la logique de la prééminence de la majorité en estimant que l'œuvre de la reforme doit être l'aboutissement du consensus de toutes les forces politiques. "C'est cette approche que j'aurai expliqué aux frères (Bebsalah, Touati et Boughazi) et elle est différente de l'approche qui existe actuellement portant sur la révision des textes» dira-t-il encore tout en épinglant le pouvoir dont les pratiques réellessont loin de tout texte. L'ex-patron du FLN a aussi réitéré sa revendication relative à la nécessité de tenir une conférence nationale politique avec la participation de tous les acteurs. Rappelons que Mehri n'a donné son accord pour l'invitation de l'instance de Bensalah que vendredi dernier. Un oui qui a surpris quelque peu les observateurs qui s'attendaient à ce qu'il boycotte ces consultations comme c'est le cas pour certains partis poitqiues, dont le FFS, et des personnalités politiques nationales. «J'ai reçu avec un grand intérêt votre invitation à participer au débat sur ces importantes réformes politiques pour l'avenir de notre pays (…). Et avec toute la considération que je porte à la mission dont vous avez été chargée et mes réserves sur certains côtés, je considère que ma rencontre avec vous et vos collaborateurs, sera une occasion pour moi afin de participer à ce débat», a-t-il souligné dans la lettre adressée à Bensalah. «Je suis en contact permanent avec Hocine Aït Ahmed, mais nous n'avons pris aucune position commune à propos des consultations» a enfin affirmé Mehri. Reçu hier en tant que personnalité politique nationale par l'instance de consultations sur les reforme politiques Mehri a, en effet, indiqué dans une déclaration de presse au sortir de cette rencontre avoir «insisté sur le fait que la réforme vraie et profonde doit toucher la structure de l'Etat, ses organes et les méthode de son travail et cela a besoin d'une large consultation et l'association de toutes les forces politiques sans aucune exclusion». Il faisait certainement allusion non seulement au parti dissous, mais aussi à toutes les personnalités nationales et partis politiques qui ont , pour une raison ou une autre, décliné l'invitation de l'instance de consultations sur les reformes politiques, qui est présidée par Abdelkader Bensalah. Interpellé justement par les journalistes sur le FIS dissous Abdelhamid Mehri a eu cette réponse : «Je suis pour l'association de tous les islamistes et tous ceux qui exercent la politique et le pays a besoin de tous se enfants». Il a toutefois ajouté qu'il est contre «tous ceux qui soutiennent la violence et l'Etat théocratique» en soulignant que le pays a besoin de tous ses enfants pour réussir les réformes. Dans sa déclaration à la presse, Mehri a aussi affirmé que «l'objectif aujourd'hui consiste en le parachèvement de l'édification de l'Etat algérien ou chaque algérien aura les pleins droits». Il s'est dit, en outre, contre la logique de la prééminence de la majorité en estimant que l'œuvre de la reforme doit être l'aboutissement du consensus de toutes les forces politiques. "C'est cette approche que j'aurai expliqué aux frères (Bebsalah, Touati et Boughazi) et elle est différente de l'approche qui existe actuellement portant sur la révision des textes» dira-t-il encore tout en épinglant le pouvoir dont les pratiques réellessont loin de tout texte. L'ex-patron du FLN a aussi réitéré sa revendication relative à la nécessité de tenir une conférence nationale politique avec la participation de tous les acteurs. Rappelons que Mehri n'a donné son accord pour l'invitation de l'instance de Bensalah que vendredi dernier. Un oui qui a surpris quelque peu les observateurs qui s'attendaient à ce qu'il boycotte ces consultations comme c'est le cas pour certains partis poitqiues, dont le FFS, et des personnalités politiques nationales. «J'ai reçu avec un grand intérêt votre invitation à participer au débat sur ces importantes réformes politiques pour l'avenir de notre pays (…). Et avec toute la considération que je porte à la mission dont vous avez été chargée et mes réserves sur certains côtés, je considère que ma rencontre avec vous et vos collaborateurs, sera une occasion pour moi afin de participer à ce débat», a-t-il souligné dans la lettre adressée à Bensalah. «Je suis en contact permanent avec Hocine Aït Ahmed, mais nous n'avons pris aucune position commune à propos des consultations» a enfin affirmé Mehri.