Les leçons à tirer de 45 ans d'expériences, de développement, d'enjeux, de divers défis relevés et à relever, le dialogue social, la problématique de la jeunesse sont autant de questions et bien d'autres encore, qui seront débattues, durant trois jours, au Palais des Nations. Les leçons à tirer de 45 ans d'expériences, de développement, d'enjeux, de divers défis relevés et à relever, le dialogue social, la problématique de la jeunesse sont autant de questions et bien d'autres encore, qui seront débattues, durant trois jours, au Palais des Nations. Ainsi, les premiers états généraux de la société civile ont débuté, hier, en présence de quelque 1.100 participants, venus de divers horizons professionnels : sociaux, culturels et universitaires. Qualifiant l'événement d'«important», le président du Conseil national économique et social (Cnes), organisateur de l'évènement, Mohamed Séghir Babès, a indiqué : «Nous voulons faire de cette rencontre une occasion pour que nos potentialités nationales participent dans la prise de décision». Cette rencontre, a-t-il poursuivi, vise notamment à «libérer la parole, en toute transparence, et à ouvrir davantage les portes de la communication». S'agissant de la conjoncture dans laquelle a été décidé l'organisation de la rencontre, «le Cnes vise à ce que la société civile prenne ses responsabilité (…) c'est une des déclinaisons du Printemps arabe» explique M. Babès, avant d'ajouter «contrairement à certaines révolutions arabes, nous allons vivre le débat à ciel ouvert et en toute liberté». M. Babès a, dans ce contexte, souligné : «D'un côté nous (Algériens) avons les consultations politiques, je dirais que c'est le couloir A, de l'autre côté, à savoir le couloir B, nous avons la société civile» qui devra, à l'issue de cette rencontre, adopter une déclaration finale sur la base des recommandations des ateliers, au nombre de cinq. Il s'agit notamment des volets économique, social, celui relatif à la gouvernance, à la jeunesse et d'un atelier concernant la problématique du renforcement du rôle et de l'organisation de la société civile. Dans son discours, M. Babès a également insisté sur le fait que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, entend «libérer la parole» des différentes composantes de la société civile dans le cadre d'une approche basée sur de nouveaux rapports consensuels entre la base et le sommet de la pyramide sociale. «Le président de la République m'a demandé de transmettre à l'ensemble des participants son sentiment intime de soutien et d'écoute. Il entend, en particulier, libérer la parole de la société civile dans l'ordre d'un nouveau système de gouvernance pour dire que nous sommes dans une approche de la base vers le sommet». Il a également insisté sur la nécessité de dégager des consensus autour des thèmes qui seront débattus lors de ces assises inédites. «Le président de la République nous a donnés l'occasion de dialoguer et de partager nos points de vues et a voulu faire participer toutes les potentialités nationales en toute transparence», a souligné M. Babès. «II s'agit d'un nouveau modèle de gouvernance qui nous est ainsi proposé», a-t-il résumé. M. Babès a ensuite assuré que les recommandations, issues de cette réunion de trois jours, seront soumises au président de la République. Pour cela, cinq thèmes seront débattus en ateliers thématiques : «Economie et croissance», «Protection sociale et solidarité», «Rénovation du système de gouvernance», «La jeunesse et ses aspirations», «Le cadre organique et de fonctionnement autour d'une charte de la société civile». Notons enfin qu'outre les participants nationaux, à l'image des mouvements associatifs, des syndicats, des académiciens et autres, des ONG étrangères, une représentation de l'Union européenne, d'autres de l'Union africaine ainsi que plusieurs responsables des Conseils économique et social étrangers, sont à ce rendez-vous qui prendra fin demain. Ainsi, les premiers états généraux de la société civile ont débuté, hier, en présence de quelque 1.100 participants, venus de divers horizons professionnels : sociaux, culturels et universitaires. Qualifiant l'événement d'«important», le président du Conseil national économique et social (Cnes), organisateur de l'évènement, Mohamed Séghir Babès, a indiqué : «Nous voulons faire de cette rencontre une occasion pour que nos potentialités nationales participent dans la prise de décision». Cette rencontre, a-t-il poursuivi, vise notamment à «libérer la parole, en toute transparence, et à ouvrir davantage les portes de la communication». S'agissant de la conjoncture dans laquelle a été décidé l'organisation de la rencontre, «le Cnes vise à ce que la société civile prenne ses responsabilité (…) c'est une des déclinaisons du Printemps arabe» explique M. Babès, avant d'ajouter «contrairement à certaines révolutions arabes, nous allons vivre le débat à ciel ouvert et en toute liberté». M. Babès a, dans ce contexte, souligné : «D'un côté nous (Algériens) avons les consultations politiques, je dirais que c'est le couloir A, de l'autre côté, à savoir le couloir B, nous avons la société civile» qui devra, à l'issue de cette rencontre, adopter une déclaration finale sur la base des recommandations des ateliers, au nombre de cinq. Il s'agit notamment des volets économique, social, celui relatif à la gouvernance, à la jeunesse et d'un atelier concernant la problématique du renforcement du rôle et de l'organisation de la société civile. Dans son discours, M. Babès a également insisté sur le fait que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, entend «libérer la parole» des différentes composantes de la société civile dans le cadre d'une approche basée sur de nouveaux rapports consensuels entre la base et le sommet de la pyramide sociale. «Le président de la République m'a demandé de transmettre à l'ensemble des participants son sentiment intime de soutien et d'écoute. Il entend, en particulier, libérer la parole de la société civile dans l'ordre d'un nouveau système de gouvernance pour dire que nous sommes dans une approche de la base vers le sommet». Il a également insisté sur la nécessité de dégager des consensus autour des thèmes qui seront débattus lors de ces assises inédites. «Le président de la République nous a donnés l'occasion de dialoguer et de partager nos points de vues et a voulu faire participer toutes les potentialités nationales en toute transparence», a souligné M. Babès. «II s'agit d'un nouveau modèle de gouvernance qui nous est ainsi proposé», a-t-il résumé. M. Babès a ensuite assuré que les recommandations, issues de cette réunion de trois jours, seront soumises au président de la République. Pour cela, cinq thèmes seront débattus en ateliers thématiques : «Economie et croissance», «Protection sociale et solidarité», «Rénovation du système de gouvernance», «La jeunesse et ses aspirations», «Le cadre organique et de fonctionnement autour d'une charte de la société civile». Notons enfin qu'outre les participants nationaux, à l'image des mouvements associatifs, des syndicats, des académiciens et autres, des ONG étrangères, une représentation de l'Union européenne, d'autres de l'Union africaine ainsi que plusieurs responsables des Conseils économique et social étrangers, sont à ce rendez-vous qui prendra fin demain.