Les cours du pétrole progressaient légèrement, hier, en cours d'échanges européens, affectés par une nouvelle hausse de l'inflation en Chine. A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord pour livraison en juillet s'échangeait à 119,38 dollars en fin de matinée, en hausse de 28 cents par rapport à la clôture de lundi. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 8 cents à 97,37 dollars. "La publication des chiffres de l'inflation chinoise (5,5% en mai) atteignant son plus haut niveau en près de trois ans a généré une certaine pression sur les prix du baril", qui ont brièvement évolué en recul dans les échanges asiatiques avant de se ressaisir, soulignaient des analystes. Selon eux "les chiffres de l'inflation fournissent une incitation aux autorités chinoises pour initier de nouveaux resserrements monétaires", au risque d'affecter sensiblement la consommation énergétique de la deuxième économie mondiale. La différence entre le cours du Brent londonien et celui du WTI échangé sur la place new-yorkaise, les deux prix de référence sur les marchés pétroliers, continuait par ailleurs d'évoluer à des niveaux historiques, avec un écart record d'environ 22 dollars. Les cours du pétrole progressaient légèrement, hier, en cours d'échanges européens, affectés par une nouvelle hausse de l'inflation en Chine. A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord pour livraison en juillet s'échangeait à 119,38 dollars en fin de matinée, en hausse de 28 cents par rapport à la clôture de lundi. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 8 cents à 97,37 dollars. "La publication des chiffres de l'inflation chinoise (5,5% en mai) atteignant son plus haut niveau en près de trois ans a généré une certaine pression sur les prix du baril", qui ont brièvement évolué en recul dans les échanges asiatiques avant de se ressaisir, soulignaient des analystes. Selon eux "les chiffres de l'inflation fournissent une incitation aux autorités chinoises pour initier de nouveaux resserrements monétaires", au risque d'affecter sensiblement la consommation énergétique de la deuxième économie mondiale. La différence entre le cours du Brent londonien et celui du WTI échangé sur la place new-yorkaise, les deux prix de référence sur les marchés pétroliers, continuait par ailleurs d'évoluer à des niveaux historiques, avec un écart record d'environ 22 dollars.