Les prix du pétrole s'établissaient en légère baisse, hier, à l'ouverture des séances de cotations européennes, dans un contexte marqué par la morosité des marchés boursiers et l'inquiétude quant aux indicateurs économiques américains attendus dans la journée. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre s'échangeait à 78,22 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, en recul de 35 cents par rapport à la clôture de la veille. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance lâchait 46 cents à 76,06 dollars. Les cours du brut semblaient évoluer en fonction des Bourses asiatiques puis européennes, en nette baisse "en raison des prises de bénéfices de fin du mois, sur fond de craintes sur les dettes européennes", selon les experts. L'affaiblissement de la monnaie américaine, face à un euro plombé par un regain d'inquiétudes sur les dettes de l'Irlande et du Portugal, devait revigorer les cours, rendant plus attractifs les achats de pétrole libellés en dollars pour les investisseurs munis d'autres devises. Par ailleurs, la publication aujourd'hui des chiffres hebdomadaires du Département américain de l'Energie "devraient fournir un catalyseur au marché, une modeste progression des produits raffinés et un recul des stocks de brut étant attendus", estime-t-on. Les prévisions tablent sur des réserves de brut aux Etats-Unis en légère baisse de 100 mille barils, tandis que les stocks d'essence devraient monter de 1,1 million de barils. Les prix du pétrole s'établissaient en légère baisse, hier, à l'ouverture des séances de cotations européennes, dans un contexte marqué par la morosité des marchés boursiers et l'inquiétude quant aux indicateurs économiques américains attendus dans la journée. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre s'échangeait à 78,22 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, en recul de 35 cents par rapport à la clôture de la veille. Dans les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance lâchait 46 cents à 76,06 dollars. Les cours du brut semblaient évoluer en fonction des Bourses asiatiques puis européennes, en nette baisse "en raison des prises de bénéfices de fin du mois, sur fond de craintes sur les dettes européennes", selon les experts. L'affaiblissement de la monnaie américaine, face à un euro plombé par un regain d'inquiétudes sur les dettes de l'Irlande et du Portugal, devait revigorer les cours, rendant plus attractifs les achats de pétrole libellés en dollars pour les investisseurs munis d'autres devises. Par ailleurs, la publication aujourd'hui des chiffres hebdomadaires du Département américain de l'Energie "devraient fournir un catalyseur au marché, une modeste progression des produits raffinés et un recul des stocks de brut étant attendus", estime-t-on. Les prévisions tablent sur des réserves de brut aux Etats-Unis en légère baisse de 100 mille barils, tandis que les stocks d'essence devraient monter de 1,1 million de barils.