Les travailleurs des communes renouent avec la protesta. C'est à l'appel du Conseil national du secteur des communes affilié au Snapap que les travailleurs des communes vont initier une grève de deux jours à partir de demain. Les travailleurs des communes renouent avec la protesta. C'est à l'appel du Conseil national du secteur des communes affilié au Snapap que les travailleurs des communes vont initier une grève de deux jours à partir de demain. Le Snapap compte observer deux jours de grève les mardi et mercredi de chaque semaine. Parallèlement à ce débrayage les communaux comptent aussi tenir des rassemblements devant les sièges des wilayas et daïras. A travers ce nouveau mouvement de protestation, ce syndicat veut dénoncer les atteintes aux libertés syndicales enregistrées quotidiennement au niveau national et pour s'élever aussi contre le silence et la complicité des pouvoirs publics. Le Snapap vise aussi à attirer l'attention des pouvoirs publics sur la dégradation du pouvoir d'achat des travailleurs communaux qui font face à la cherté de la vie et à la précarité de l'emploi qui s'installe de plus en plus dans les communes. A ce titre le syndicat a dénoncé, dans le communiqué annonçant ce mouvement de grève, le recours abusif aux recrutements précaires dans le cadre du pré-emploi, de l'emploi de jeunes, etc. Le Snapap, qui reprend donc la protesta après avoir gelé le 20 smai dernier un autre mouvement de grève illimité, considère que la plateforme de revendication soumise aux pouvoirs publics qu'il accuse, par ailleurs, d'avoir fermer les portes du dialogue et d'avoir écarté le syndicat dans l'opération relative à l'élaboration du régime indemnitaire et du statut particulier. Lors du dernier mouvement de grève ce syndicat s'était plaint des intimidations exercées à l'encontre des syndicalistes ainsi que du recours, par les pouvoirs publics, à la justice pour «casser le mouvement de grève» et ce «en violation des lois de la République et de la Constitution». Aussi, et par voie de conséquence, le conseil national du secteur des communes a initié ce débrayage pour revendiquer le respect des libertés syndicales et le droit de grève ; la réintégration de tous les syndicalistes licenciés et suspendus arbitrairement et l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs communaux en harmonie avec le coût de la vie ; l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en postes ; l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90/11 et le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge. Le syndicat revendique en outre, l'ouverture immédiate des négociations sur le projet du statut particulier et le régime indemnitaire des travailleurs communaux. Le Snapap compte observer deux jours de grève les mardi et mercredi de chaque semaine. Parallèlement à ce débrayage les communaux comptent aussi tenir des rassemblements devant les sièges des wilayas et daïras. A travers ce nouveau mouvement de protestation, ce syndicat veut dénoncer les atteintes aux libertés syndicales enregistrées quotidiennement au niveau national et pour s'élever aussi contre le silence et la complicité des pouvoirs publics. Le Snapap vise aussi à attirer l'attention des pouvoirs publics sur la dégradation du pouvoir d'achat des travailleurs communaux qui font face à la cherté de la vie et à la précarité de l'emploi qui s'installe de plus en plus dans les communes. A ce titre le syndicat a dénoncé, dans le communiqué annonçant ce mouvement de grève, le recours abusif aux recrutements précaires dans le cadre du pré-emploi, de l'emploi de jeunes, etc. Le Snapap, qui reprend donc la protesta après avoir gelé le 20 smai dernier un autre mouvement de grève illimité, considère que la plateforme de revendication soumise aux pouvoirs publics qu'il accuse, par ailleurs, d'avoir fermer les portes du dialogue et d'avoir écarté le syndicat dans l'opération relative à l'élaboration du régime indemnitaire et du statut particulier. Lors du dernier mouvement de grève ce syndicat s'était plaint des intimidations exercées à l'encontre des syndicalistes ainsi que du recours, par les pouvoirs publics, à la justice pour «casser le mouvement de grève» et ce «en violation des lois de la République et de la Constitution». Aussi, et par voie de conséquence, le conseil national du secteur des communes a initié ce débrayage pour revendiquer le respect des libertés syndicales et le droit de grève ; la réintégration de tous les syndicalistes licenciés et suspendus arbitrairement et l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs communaux en harmonie avec le coût de la vie ; l'intégration en priorité de tous les contractuels et vacataires en postes ; l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90/11 et le maintien du régime de la retraite sans condition d'âge. Le syndicat revendique en outre, l'ouverture immédiate des négociations sur le projet du statut particulier et le régime indemnitaire des travailleurs communaux.