Hu Jia, l'un des dissidents chinois les plus connus, a retrouvé sa famille dimanche aux premières heures après avoir purgé trois ans et demi de prison pour subversion, a annoncé son épouse. Hu avait été condamné en 2008 pour incitation à la subversion contre l'Etat après avoir dénoncé des problèmes liés aux droits de l'homme en Chine. Certains voyaient en lui un lauréat possible du prix Nobel de la paix avant son attribution l'an dernier à un autre dissident chinois, Liu Xiaobo. "Je ne sais pas si je pourrai parler plus tard. A l'heure qu'il est, je souhaite que tout soit paisible. Je crains que le fait de donner des interviews au stade actuel ne créée des difficultés. Comprenez-le, s'il vous plaît", a déclaré sa femme. La libération de Hu Jia fait suite à celle de l'artiste et dissident Ai Weiwei, libéré mercredi dernier après plus de deux mois de détention. Weiwei n'a pas l'autorisation de communiquer via Twitter, de répondre aux interviews ou de voyager pendant un an, a-t-on fait savoir dans se source proche de sa famille. Cette nouvelle remise en liberté d'un dissident coïncide aussi avec la visite qu'effectue le Premier ministre chinois Wen Jiabao dans plusieurs pays d'Europe. Hu Jia, l'un des dissidents chinois les plus connus, a retrouvé sa famille dimanche aux premières heures après avoir purgé trois ans et demi de prison pour subversion, a annoncé son épouse. Hu avait été condamné en 2008 pour incitation à la subversion contre l'Etat après avoir dénoncé des problèmes liés aux droits de l'homme en Chine. Certains voyaient en lui un lauréat possible du prix Nobel de la paix avant son attribution l'an dernier à un autre dissident chinois, Liu Xiaobo. "Je ne sais pas si je pourrai parler plus tard. A l'heure qu'il est, je souhaite que tout soit paisible. Je crains que le fait de donner des interviews au stade actuel ne créée des difficultés. Comprenez-le, s'il vous plaît", a déclaré sa femme. La libération de Hu Jia fait suite à celle de l'artiste et dissident Ai Weiwei, libéré mercredi dernier après plus de deux mois de détention. Weiwei n'a pas l'autorisation de communiquer via Twitter, de répondre aux interviews ou de voyager pendant un an, a-t-on fait savoir dans se source proche de sa famille. Cette nouvelle remise en liberté d'un dissident coïncide aussi avec la visite qu'effectue le Premier ministre chinois Wen Jiabao dans plusieurs pays d'Europe.